terrain en organisant 2 entretiens qualitatifs auprès des personnes ressources ayant vécues une
expérience éthique ou connaissant bien un cas d’étude particulière sur la sociologie de l’éthique.
Les étudiants et étudiantes déposeront un rapport de recherche contenant les principaux
éléments de leur recherche (12 pages max. double interligne, Time Roman 14). Ce rapport sera
déposé le dernier jour de cours (soit le 09 avril 2015) afin qu’ils soient dégagés de ce travail
pendant la période d’examen. Par ailleurs, les étudiants qui choisiront l’engagement dans la
communauté soit, ils animeront un atelier, soit ils remettront, chacun ou en groupe, un travail
de réflexion personnelle sur la manière dont l’éthique est intégrée en milieux professionnels ou
communautaires sous forme d’une dissertation.
4. Évaluation par participation (10 pts de la note finale).
Cette dernière note aidera les étudiants à participer activement au cours. Elle sera donnée aux
étudiants fidèles au rendez-vous de la sociologie de l’éthique pour faire la différence avec les
autres étudiants toujours absents sans motif grave et justification.
Informations concernant le travail de recherche : Les thématiques proposées :
- Travail de recherche sur BOUDON R., Déclin de la morale ? Déclin des valeurs ? Paris : Presses
Universitaires de France, 2003, p. 9-25.
- Travail de recherche sur DURKHEIM, É., L'éducation morale. Avertissement de Paul Fauconnet,
Paris, QUADRIGE / Presses Universitaires de France, 1963, pp. 81- 106.
- Travail de recherche sur GURVITCH G., Morale théorique et science des mœurs. Leurs
possibilités - Leurs conditions. «Bibliothèque de philosophie contemporaine», 3e éd. revue et
corrigée, Paris, Presses Universitaires de France, 1961, chapitre premier entier, 7-26.
- Travail de recherche sur LÉVY-BRUHL L., La morale et la science des mœurs. «Bibliothèque de
philosophie contemporaine», Paris, Presses Universitaires de France, 1971, chapitre V entier, p.
129-159.
- Travail de recherche sur PARSONS T., Sociétés. Essai sur leur évolution comparée. Trad. par
Gérard Prunier, introd. de François Chazel, «Organisation et sciences humaines», nº 12, Paris,
Dunod, 1973, p. 13-19.
- Travail de recherche sur TAYLOR C., Le malaise de la modernité. Trad. de l'anglais par Charlotte
Melançon, «Humanités», Paris, Éditions du Cerf, 2005, p. 33-37 et 63-76.
- Travail de recherche sur TERRENOIRE J. P., Approche théorique du champs éthique, L’Année
sociologique, 72-75.
Idem, Éthique et politique, ou les intellectuels dans l’histoire, L’Année sociologique, p. 129-160.
- Travail de recherche sur WEBER M., Le savant et le politique. Préface, trad. et notes de
Catherine Colliot-Thélène, Paris, «Poche», nº 158, La Découverte, 2003, p. 192- 206.
- Idem, L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, suivi d'autres essais. Édité, traduit et
présenté par Jean-Pierre Grossein, «Coll. TEL», [s.l.], Gallimard, 2003, p. 20-62.
N. B. :
1- Bien définir la problématique de recherche avant de commencer à identifier les institutions et
personnes ressources pertinentes qui vont alimenter votre réflexion.
2-Votre projet de recherche de 3 pages devra bien préciser comment vous aller vous y prendre
afin qu’avec le professeur les réajustements nécessaires puissent s’opérer à temps :
- Identification des institutions/personnes pertinentes à interviewer
- travail de prise de contact
-choix de la méthode d’entretien (individuel ou de groupe, semi-structuré ou récit de vie)
et élaboration d’un guide d’entretien adapté aux personnes visées
- entretien-test à réaliser si possible
- choix du mode de collecte : prise de notes, enregistrement)