Règles d’écriture d’un article Il est peut-être temps de rappeler les règles d’écriture d’un article. Objectif : accrocher le lecteur. Trouver les images libres de droit, affiner les formules, jouer avec le rythme de la phrase. Le sujet de l’article Une bonne information, des témoignages, des chiffres fiables. Il faut pouvoir répondre aux six questions de référence : Qui, quand, comment, où, quoi, pourquoi. L’article doit apporter au lecteur des informations précises, des détails concrets émanant de sources fiables. Il faut éviter les généralités que tout le monde connaît. Ne pas oublier d’utiliser des citations pour faire parler la personne interrogée. Le contenu de l’article étant le fruit d’un travail personnel, tout copier-coller résultant d’internet sera sanctionné par un… 0/20 Le traitement de l’information Pour que l’article soit intéressant, l’information brute ne suffit pas. Il faut analyser le contenu et le mettre en valeur par une écriture claire, précise et soignée. Le titre doit être soigneusement choisi et parlant. La première phrase doit donner envie de continuer et l’information doit se trouver au début de l’article. Utiliser les expressions, les images, les anecdotes les plus « parlantes ». Ne pas hésiter à rajouter une image (photo, caricature, schéma…) pour illustrer son propo Transformation Digitale : LEGO Lego (stylisé en LEGO) est une gamme de jouets de construction fabriqués par le groupe danois THE LEGO GROUP. Elle se compose de briques emboîtables, de figurines et diverses autres pièces. Les briques Lego peuvent être assemblées et reliées afin de construire des objets tels que des véhicules, des bâtiments, des robots… Les constructions peuvent être démontées pour créer de nouveaux montages avec les pièces. The Lego Group a commencé à fabriquer des briques de jeu à verrouillage en 1932 Le 17 Février 2015, Lego est classée « entreprise la plus puissante au monde » par le cabinet Brand Finances et ceci malgrès le tournant qu’a pris Lego en transformant sa stratégie en digitale ! 1 . Qu’est-ce que le Digital ? Aujourd’hui nous n’utilisons plus le mot NTIC. La tendance est au mot « Digital ». C’est devenu un panier dans lequel chacun choisit ce qu’il y met. Les entreprises, les chasseurs de tête recherchent des profils à forte expérience « digitale ». En fonction des métiers ou de la connaissance du sujet, ils sous-entendent réseaux sociaux, ou création de contenu multimédia, ou CRM, ou bien concept « branding » à destination du Web, ou encore carrière IT, ou très orientées technologie, ou encore autre chose. Une divergence sémantique dès le départ qui biaise la suite des échanges. En réalité, si nous fusionnons tout ce que chacun y met et tout ce qui existe dans le domaine, nous nous apercevons que le Digital est l’ensemble du business des technologies à destination des individus. Et que, ce que chacun en fait, est parfois limité, au regard de ce que le Digital a réellement à offrir et au regard de ses enjeux business et sociétaux. Ainsi, le Digital n’est pas un simple canal au sein des stratégies médias. Le Digital est une nouvelle organisation intégrant totalement la dimension internationale et le décloisonnement industriel/sectoriel. Ce sont de nouveaux processus, de nouveaux outils de travail numérisés. Le digital est un nouveau mode de gestion cross-fonctionnel, potentiellement cross-industriel, et mondial. 2 . LEGO et son changement de stratégie L’habileté de Lego à convertir son image en valeur commerciale est avérée. A ce jeu, la marque devance même des noms comme L’Oréal, Red Bull, Rolex, Walt Disney, Apple, Burberry et Ferrari jusqu’alors 1er de la classe. Cette distinction trouve aussi ses racines dans la stratégie digitale sociale mise en place par Lego depuis 4 ans environ. Explications. Il y a encore 4 ans, Lego n’avait tout bonnement pas de page Facebook. Une incongruité aujourd’hui réparée magistralement puisque la marque danoise dénombre plus de 10,4 millions de fans à travers la planète. Sur Twitter, Lego partait également de rien. Désormais, 236 000 aficionados suivent l’actualité des produits et des temps forts de la marque.Clairement sous-exploités, Facebook et Twitter sont vite devenus des piliers dans la stratégie digitale de Lego. Le reseau social sert évidemment de levier prioritaire pour activer jeux-concours et opérations promotionnelles autour des nouveautés pondues par la marque tout en invitant les fans à partager leurs meilleurs moments de jeu avec le reste de la communauté. A la clé, Lego peut se targuer d’indicateurs d’engagement bien au-dessus de la moyenne traditionnellement observée pouvant grimper ponctuellement jusqu’à plus de 100 000 partages ! 3 . La digitalisation des produits et services Le fabricant de jouet devient en 2014 le numéro 1 du marché du jouet devant Mattel et s’offre de nouvelles licences, la licence The Simpson et la licence Minecraft, jeu vidéo à succès souvent qualifié de « Lego virtuel » et tout juste racheté par Microsoft. En 2014, Lego enregistre un chiffre d’affaires de 3,83 milliards d’euros (+13 % par rapport à 2013) et un bénéfice net de 941 millions d’euros (+ 15,6 % par rapport à 2013).. Mais comment Lego a pu évoluer aussi rapidement en chiffre d’affaires ? Il faut savoir que LEGO est a la base un constructeur de jouets mais qu’ils ont su adopter une stratégie digitale en diversifiant leurs offres avec la création de jeux vidéos LEGO, de films LEGO, d’applications smartphones LEGO… Cette transformation nous montre bien que le Digital ouvre les portes de la créativité dans le business et permet d’aller puiser de nouvelles perspectives de développement au-delà de nos environnements habituels… D’aucuns objecteront probablement qu’il est sûrement chose plus aisée pour une marque comme Lego de bâtir de larges communautés mobilisées que pour d’autres marques aux aspérités moins prononcées ou moins fédératrices. Cet attribut affinitaire est de toute évidence un atout que Lego a su faire fructifier avec succès sur les médias sociaux. Pour autant, la marque s’est donné les moyens. Plus que le dispositif mis en place pour interagir là où se trouvent les internautes fans de Lego, c’est avant tout l’implication de l’interne qui est à retenir comme enseignement majeur de cette stratégie digitale. L’entreprise a effectivement fait le pari de s’appuyer sur des relais au sein même de ses équipes et de leur accorder du temps pour agir sur les réseaux sociaux. Si elle s’appuie évidemment sur des agences pour concevoir de nouveaux contenus, le tempo est clairement donné par l’interne. Lars Silberbauer estime d’ailleurs dans ses interventions répétées que des collaborateurs préalablement formés sont les meilleurs ambassadeurs qu’une marque puisse disposer, pour entretenir la relation avec les utilisateurs des produits Lego. La consistance et la robustesse des résultats obtenus en l’espace de quatre ans et en partant d’une quasi feuille blanche sur les médias sociaux, ne peuvent que lui donner raison. Révolution Marketing : Le SoLoMo SoLoMo…Qu’est ce que cela veut dire ? Le terme très peu connu « SoLoMo » ou « Social Local Mobil » désigne différents supports marketing. 3 facteurs fondamentaux le caractérise : le SOcial, la LOcalisation et le MObile. Le social : Il regroupe l’ensemble des réseaux sociaux dans lesquels les entreprises s’installent. La localisation : Différents moyens sont employés afin de rapprocher physiquement les marques et les consommateurs. Le mobile : Suivi des consommateurs via leur mobile ou tablette dans leur vie quotidienne. Afin de mieux comprendre ce concept, l’exemple le plus parlant est sans doute le fait de publier via son téléphone portable (mobile) sur Facebook (social) sa localisation (local) dans des lieux commerciaux tels que les magasins, cinéma, restaurant… Quelques exemples concrets Foursquare a marqué la naissance du SoLoMo avec son application créée dans le but de diriger le consommateur vers un restaurant, un café, un magasin ou encore un bowling tout près de l’endroit où il se trouve. Bien ancrée dans le SoLoMo, l’application va encore plus loin dans l’aspect social en incluant l’avis des consommateurs pour l’aider à faire ses choix. On trouve également de plus en plus de plateforme de réservation telle que Booking Tonight qui à l’avantage de proposer aux utilisateurs des chambres d’hôtels au plus proche d’eux, à la dernière minute avec des rabais intéressants. Les rabais… L’une des raisons du succès de ce concept. En effet, les marques n’hésitent pas à effectuer des rabais conséquents afin d’attirer le consommateur qui passera à côté de son point de vente ! Le concept peut devenir très poussé lorsque le consommateur commence par scanner un QR code puis télécharge l’application de la marque. Il fini ensuite dans le magasin de celle-ci car il était à proximité et à reçu une notification pour une promotion. Comment ça marche ? Quelques étapes sont indispensables à la mise en place de cette approche marketing. Tout d’abord, il est essentiel d’effectuer une segmentation et un ciblage afin de communiquer des informations personnalisées aux consommateurs pour être pertinent (one-to-one). Il est également important de collecter des informations sur les clients et notamment sur leurs comportement avec la marque et leurs réactions face aux différents canaux utilisés pour communiquer. Cette méthode est nommée datamart marketing. Il faut ensuite établir un moteur d’offres centralisées. Celui-ci détermine des offres adaptées à chaque client en fonction de ses besoins et attentes et détecte les opportunités de communication pour chaque cible. Une capacité d’exécution cross-canal, production de messages ultrapersonnalisés, standardisés. Elle permet une cohérence des messages quel que soit le canal.Quel avenir pour le SoLoMo ? On comptait déjà en 2012 plus de 23 millions d’utilisateurs de smartphones en France. On note également que 53% des personnes achetant avec leur mobile ont scanné des QR code (source lesechos.fr). Les nouvelles générations très connectées sont l’avenir du SoLoMo. Ce nouveau mode de communication séduit les jeunes qui ne peuvent décrocher de leur téléphone. Les entreprises qui ne commencent pas dès maintenant à s’y intéresser seront certainement handicapé dans leur développement futur. Un indicateur de performance majeur: Le taux de conversion. QU’EST-CE QUE CALCULER ? LE TAUX DE CONVERSION ? ET COMMENT LE D’un point de vue marketing, le taux de conversion correspond au ratio entre le nombre de personnes ayant effectué une action donnée par rapport à une population de référence. On le schématise le plus souvent par le nombre de prospects transformés en acheteur. Par exemple, aujourd’hui afin d’évaluer l’efficacité d’une campagne publicitaire ou d’un site web, nous utilisons le taux de conversion. Mais d’un point de vue web marketing, le taux de conversion correspond à l’aboutissement d’une action. Par exemple: – De l’inscription à un site internet. – Le fait de compléter certaines demandes d’information. – L’inscription a une newsletter. – La vente d’un produit … D’une approche classique, pour calculer ce taux de conversion on utilise la formule suivante: ( Nombre de clients / Nombre de prospect ) X 100 Mais dans le domaine du webmarketing, même si le taux de conversion ne peut pas être mesuré sans une configuration préalable (chaque cas étant particulier), nous pouvons retenir généralement: ( Nombre d’acheteurs / Nombre de visiteurs du site ) X 100 Ce taux représente alors l’élément majeur au sein d’une stratégie digitale, puisqu’il permet alors d’évaluer l’impact qu’a un site internet sur ces consommateurs. QUELQUES EXEMPLES : En ce qui concerne un site web marchand, le taux de conversion sera calculé en fonction des ventes réalisées par rapport aux visiteurs ayant consulté sur ce dernier. Pour un site web non marchand, ce taux correspond au nombre de demande d’information par rapport aux visiteurs ayant consulté la page. QUELQUES POINTS CONVERSION : IMPORTANTS POUR AUGMENTER SON TAUX DE Répondre aux attentes des visiteurs, et ainsi leurs apporter ce qu’il recherche. Si un visiteur recherche à commander un produit, il faudra alors que le site soit marchand pour ainsi réaliser la demande de ce dernier. Ciblage du trafic, pour attirer les consommateurs susceptibles d’acheter le produit. Mettre en place une relation de confiance entre le visiteur et le site web. Un consommateur n’achètera aucun produit si un site web qui ne lui inspire pas confiance. L’ergonomie du site, afin que chaque prospect puisse naviguer facilement sur ce dernier. Un site web facile d’utilisation touche un plus grand nombre de visiteurs, par conséquent un nombre potentiel d’acheteurs plus importants. LES LIMITES DU TAUX DE CONVERSION: De part les nombreuses variétés de produits proposés sur les différents sites internet ( exemple: domaine d’activité différent…), l’influence de nombreux acteurs sur le marché (exemple: les variations saisonnières…) et les nombreuses problématiques de mesures (exemple: chaque commerçant se base sur une période qui peut être différente de celle de ces confrères…)… Au vu de ses différents facteurs, l’utilisation des taux de conversion pour se situer vis-à-vis d’un concurrent a souvent peu de sens. Multicanal, cross-canal, omnicanal, comment les différencier ? La digitalisation de la société les entreprises à innover pousse Quelles sont ces nouvelles stratégies et comment les différencier ? La stratégie multicanal, c’est une stratégie marketing combinant plusieurs canaux de sollicitation et de réponses aux consommateurs La stratégie cross-canal, stratégie marketing permettant aux différents canaux de distribution de combiner ensemble La stratégie omnicanal, stratégie marketing optimisant l’utilisation simultanée des canaux d’une entreprise Ces stratégies sont liées elles ne peuvent exister les unes sans les autres d’où les confusions possibles le multicanal est considéré comme étant la base de toutes stratégies digitales Le but de cette stratégie est de créer de nouveaux points de contacts de vente avec les clients ceux-ci pouvant être physique ou digital à l’heure du e-commerce on a très rapidement vu les entreprises brick and mortar développer leur site de vente en ligne, mais le chemin inverse click-to-mortar est également possible avec des organisations pure players qui ouvrent leurs unités physiques QUELQUES DÉFINITIONS QUI POURRONT VOUS AIDER brick and mortar, désigne les entreprises dites traditionnelles faites de briques et de mortier Click to mortar, désigne une entreprise traditionnelle qui à aussi une activité en ligne Pure players, désigne une entreprise dont l’activité est exclusivement menée sur Internet stratégie digitale désigne les objectifs buts visions organisations et gouvernances relatives aux technologies numériques et qui maximisent les performances commerciales de l’entreprise Sa conception permet potentiellement de répondre à une innovation technologique un besoin client ou une volonté d’avoir une meilleure organisation ou une évolution de la stratégie marketing vers le web Les 10 points clés de sa réussite Connaître la stratégie marketing actuelle Connaître les objectifs Connaître la communication digitale des concurrents Choisir les valeurs à transmettre sur le web Choisir le type de design Définir le support de communication et type de pub Définir le niveau de technicité Choisir les outils viraux Quantifier le budget et les moyens humains disponibles Choisir un moyen de suivi Webloyalty indiquait début 2015 que 8 français sur 10 effectuent des achats en ligne cela montre l’importance de la diversification des canaux le multicanal multiplie des points de contact le cross canal crée une complémentarité et l’omnicanal se concentre sur l’expérience globale du client complémentarité du digital et des points de ventes le cross canal permet de développer de nouveaux points de contact avec le client à l’instar des services de livraison de click-and-collect est un exemple de stratégie cross-canal ces innovations répondent à de nouveaux besoins liés à la tendance du « où je veux quand je veux » augmentent considérablement les opportunités d’achat chez le client Les professionnels du marketing doivent optimiser sans cesse afin de s’adapter aux nouveaux comportement d’achat voici quelques exemples pour faciliter le discernement des ces différentes stratégies Multicanal, CDISCOUNT en 2011 connu pureplayers ouvre sa boutique physique 74% des mobinautes utilisent leurs mobiles pour rechercher un produit sur internet 26% l’utilisent pour acheter boutique-cdiscount Crosscanal, Selectionst, wheretoget et la plus connue zoomdle qui inventent le fashion-to-mobile servent à flasher des vêtements dans un magazine pour les acheter directement sur son mobile L’omnicanal, le cas Burberry et avant gardiste comme les marques haut de gamme Burberry transmet les valeurs qui lui sont importantes par l’ambiance crée dans les magasins et l’attention particulière des vendeurs portée aux consommateurs. Elle adopte la stratégie omnicanal avec son flashgip à Londresmagasin le plus connecté du monde, on y trouve Un gigantesque écran qui diffuse les défilés et actualités de la marque Des écrans connectés et interactifs permettant de diffuser une photo de soi sur les réseaux sociaux les vendeurs sont équipés de tablettes afin de consulter l’historique et les préférences d’achat des clients Plus de 500 hauts parleurs et 100 écrans Toutes ces stratégies visent à mieux intégrer les nouveaux comportements des consommateurs avec des contenus adaptés qui leur rendent un réel service Cette transition digitale devient nécessaire et les précurseurs marqueront des points auprès des clients Les Réseaux Sociaux Quels sont les risques des réseaux sociaux? Qu’est-ce que un réseau social ? Un réseau social désigne, le mode d’interaction sociales qui facilite la création et l’échange d’informations et de contenus entre des individus et entre individus et organisation. Le top 10 des réseaux sociaux dans le monde Facebook : 1,8 milliard Qzone : 653 millions Tumblr : 555 millions Instagram : 500 millions Twitter : 317 millions Baidu Tieba : 300 millions Sina Weibo : 222 millions Pinterest : 150 millions LinkedIn : 106 millions Vkontakte : 100 millions Les entreprises et les réseaux sociaux Les entreprises sont de plus en plus nombreuses sur les réseaux sociaux pour diffuser des informations à moindre coûts, leur offre d’emploi, nouvelles évolutions, près de 45 % des entreprises utilisent les réseaux sociaux pour rechercher leurs futurs employé. Définir une stratégie social média Afin de développer la présence de son entreprise/ de sa marque sur les réseaux sociaux, il est primordial de choisir les canaux adaptés. Définir les objectifs de communication, les moyens financiers nécessaire, l’audience, son cœur de cible (âge, sexe, zone géographique etc.), et enfin comprendre la culture propre à chaque réseau social. Les réseaux sociaux les plus utilisés par les entreprises sont Facebook Google + et Linkedin. Sur Facebook les entreprises ont l’opportunité de créer une page Facebook, Facebook ce conçoit sr le long terme et nécessite une animation régulière. Les entreprises qui utilisent Facebook comme réseau social pour leur stratégies social média bénéficie d’une très grande communauté d’utilisateurs, le partage de vidéos, images et textes, ouverture aux entreprises de différents secteurs, dans la mesure où le domaine d’activités de l’entreprise est suffisamment attractif, outils d’animation variés (ex : programmation des publications, création événements). Facebook est un réseau social simple et facile d’utilisation avec un nombre d’utilisation important et qui laisse un large choix de communication aux entreprises à moindre coûts. Tandis que Google + plusieurs outils aux entreprises pour communiquer : Page Entreprise création outil de visioconférence (Hangouts pour diffuser des vidéos publiques en direct via une chaîne YouTube). Son utilisation est particulièrement pertinente pour les entreprises locales, les éditeurs de blogs ou de sites web, ou les entreprises produisant du contenu via leurs propres auteurs. Les entreprises privilégie, Facebook avec 1,8 Milliards d’utilisateurs qui est Leader des réseaux sociaux pour leur stratégie social média. Google + 300 millions d’utilisateurs et Linkedin 106 millions utilisateurs sont suiveur sur le marché des réseaux sociaux professionnel. Le profils des utilisateurs selon les plateformes La Majorité des utilisateurs de Facebook , Twitter, Instagram et SnapChat sont les 19-29 ans. Tandis que la majorité des utilisateurs de Likedin sont les 30-49 ans. Malgré le fait que les réseaux sociaux soient des moyens intéressant pour se faire des amis, garder contact, s’exprimer, se faire connaître. Ils présentent aussi une face caché qui peut-être négative voire dangereuse. Les plus vulnérables sont les adolescents car ils sont les premiers à avoir adopter les réseaux sociaux. Ils sont de plus en plus nombreux c’est pour cette raison qu’ils en sont les premières victimes (le vols d’identité et la fraude,mauvais buzz, piratage etc.). Certaines informations photos, vidéos ou des statuts des utilisateurs mal interprétés peuvent être compromettants si ses informations sont vues par l’employeurs, cela risques de compromettre votre candidature. Mais pourquoi entreprises ? les internautes surfent-ils sur les pages des Les internautes surfent sur les pages web des entreprises, afin de rechercher des offres d’emplois. Souvent grâce au bouche à oreilles les pages web des entreprises sont simples d’utilisation, gains de temps. De plus, les internautes n’ont pas à se déplacer, ces derniers récoltent plus d’informations que si il s’étaient déplacés et enfin les pages web permettent aux internautes d’anticiper avant de contacter les entreprises. Les réseaux sociaux sont de plus en plus nombreux grâces aux nouvelles technologies et au fort taux d’audience de certains réseaux sociaux, les entreprises peuvent communiquer en masse à moindre coûts et facilement pour atteindre le but de leur stratégie social média. Liens hypertexte : https://twitter.com/?lang=fr https://www.instagram.com/ http://www.blogdumoderateur.com/chiffres-reseaux-sociaux/ https://fr-fr.facebook.com/ « C’est mieux d’avoir 100 Personnes qui vous aiment énormément plutôt qu’un million de personnes qui vous aiment un peut de loin.» Une nouvelle tendance numérique: le Marketing Viral. QU’EST-CE QUE LE MARKETING VIRAL ? La technique du marketing viral consiste à promouvoir une entreprise, ses services ou ses produits à travers un message convaincant qui se diffuse par l’intermédiaire des destinateurs de l’offre. Ceci correspond à une recommandation d’un éventuel consommateur à son entourage et qui permettent ainsi la diffusion d’un message élaboré par une marque. COMMENT LE METTRE EN PLACE ? Les réseaux sociaux sont de nos jours de plus en plus utilisés pour élaborer une stratégie de marketing viral, en effet on utilise ces derniers pour inciter les clients à donner leurs avis sur les entreprises, leur communication, leurs produits et ainsi partager les différentes informations. Actuellement, le consommateur est le principal facteur de la communication pour une entreprise, c’est pourquoi le marketing viral doit avant tout être attractif, et susciter l’envie de relayer l’information à son entourage. Par exemple, Evian en 2013 décide de partager sur les réseaux sociaux une pub mettant en scène des enfants réalisant une chorégraphie devant une vitrine. Cette vidéo fut le buzz, puisqu’elle atteind le nombre de 3.340.000 partages pour 65 millions de vues. (Evian- Baby&Me- 2013) Cette technique doit donner envie aux consommateurs de cliquer, de répondre et de faire circuler ce message. LES MÉTHODES LES PLUS UTILISÉES PAR LES ENTREPRISES. Pour cela, différentes méthodes sont utilisées afin de réaliser une communication de marketing viral : – La plus pratiquée, étant l’e-mailing qui consiste a envoyer un courrier électronique à un groupe d’individus. Le but est de persuader les membres de ce groupe de faire suivre ce courriel à leur entourage. – La réalisation de jeux et concours. – Les campagnes vidéo virales (exemple avec Evian) – La création de sites parodiques. – … Paid media, Owned media et Earned media : un beau POEM En marketing, les techniques de communication diffèrent selon les canaux, la taille des cibles et les moyens de communication classiques (médias et hors-médias). A l’ère du numérique, une nouvelle classification voit le jour et distingue 3 catégories de médias : ceux que vous payez, ceux qui vous sont propres et ceux que vous gagnez. Le Paid media : Les médias payés, appelés aussi « paid media », sont les médias achetés pour que votre communication soit plus efficiente. On y regroupe tous les types de médias en ligne, autrement dit : la publicité en ligne comme les displays (bannières, vidéos) et les searchs (liens) ; les e-mailing sur les fichiers… et hors ligne, c’est-à-dire : la publicité dans les grands médias comme la télévision, la presse, l’affichage, la radio ; la communication sur les points de vente ; le marketing direct… Le plus souvent, ce sont des personnes étrangères à l’entreprise qui accèdent aux médias que vous payez pour véhiculer un message. Ces personnes étrangères font ensuite parti d’un autre type de média → les médias propres. Owned media : Les médias propres ou « owned media » sont les médias qui vous appartiennent et que vous contrôlez. On parlera plus facilement de supports que de médias pour décrire les outils du owned media. On y regroupe certains types de médias en ligne, notamment : les sites de la marque et ses newletters ; les applications mobiles ; la présence sur les réseaux sociaux… et hors ligne, autrement dit : éditions publicitaires de la marque telles que les brochures, les catalogues, magazines ; le packaging d’un produit ; les points de vente lorsqu’ils sont contrôlés par la marque… Les owned media sont du contenu dynamique dans un environnement que vous contrôlez. C’est une expérience supplémentaire que vous offrez à votre communauté, principalement composée de vos prospects et clients dans ce type de médias. Earn media : Les médias que vous gagnez, ou « earned media », sont créés par des tiers (souvent des consommateurs ou des fans) qui véhiculent votre message à travers les médias en ligne et hors médias. C’est donc l’audience générée par les conversations et les leaders d’opinion. On y retrouve sur les médias en ligne : les commentaires sur les blogs, forums, avis de consommateurs ; les vidéos YouTube ; les réseaux sociaux… et hors ligne, c’est-à-dire : le bouche-à-oreille ; les leaders d’opinion comme les journalistes ; les influenceurs telles que les stars… Vous l’aurez compris, ces 3 médias qui forment donc le POEM, sont aujourd’hui indispensables pour une bonne stratégie digitale, même si le paid media restera prépondérant dans la communication marketing pour avoir toujours plus d’audience. Panda, Pingouin et Opossum sur Google Rappel sur le du web-marketing : Tout comme en marketing classique, la première étape est d’attirer le publique vers son organisation, produit ou service, mais de façon dématérialisée. Ainsi, on parle de « trafic », ou de « visiteurs unique » sur un site internet. Sur le web, les techniques sont très évolutives et permettent par exepmple de générer des offres en temps réel selon un « tracking » de l’utilisateur, ou encore d’être le site le mieux positionné lors d’une recherche. Mais à nouveau, comme en marketing classique, le but est d’avoir un retour sur investissement. Quels outils ? Les techniques utilisés sur la toile, sont nombreuses et en constantes évolution. Ci-dessous quelques exemples : Le mailing La publicité en ligne La web analytique Le marketing viral et social L’e-merchandising Le SEM ou le référencement publicitaire Le SEO ou le référencement naturel FOCUS SEO Le SEO (Search Engine Optimisation) désigne le placement d’un site internet à la place la plus haute, l’objectif étant d’être le n°1 des résultats des moteurs recherches. Le lieux de la bataille est Google. En effet près de 9 requêtes sur 10 passent par le géant du web selon Buisness Insider. C’est ainsi que pour arbitrer cette guerre est née Google Panda, puis Penguin et enfin Opossum. Google Panda Né en 2011 aux USA, Google Panda, parfois qualifié le de filtre, est premier arbitre du référencement naturel. Il sanctionne le contenu pauvre ou duppliqué en influant sur le positionnement. Ainsi, Google « dépolue » ses résultats. L’algorithme complet reste secret, mais sont touché les sites à la ligne éditoriale pauvre, les fermes de contenus ou encore les sites plagiant d’autre sites. Le mot d’ordre est la qualité du contenu. Ceci à pour but de maintenir la position de leader de la recherche de Google, avec des résultats de qualités. Google Pinguin Né en 2012, Google Pinguin s’attaque a l’utilisation frauduleuse de liens vers un site web. En effet, plus un site fait l’objet de augmentera. liens, plus sa position Certains sites en font un usage artificiel destiné à augmenter leurs popularités, et ainsi Pinguin les sanctionne en les de-référençant. Depuis septembre dernier, il est mis a jours continuellement et intégré à l’algorithme Google. Au travers de cet outil, Google va s’efforcer d’appliquer le référencement le plus naturel possible, et sanctionner les sites ne respectant les bonnes pratiques définis par Google. Google Oppossum Né en 2016, Opossum est la dernière mise à jours de l’outil Google. À la différence des ses aînés, il n’influence pas le référencement naturel, mais l’ordre des résultat est géolocalisé. Concrètement, la recherche « magasin de sport » réalisée par une même personne à Paris, n’aura pas les mêmes résultats que cette même recherche à Marseille. Google souhaite ici adapter le référencement et ainsi proposer les résultats les plus pertinents selon la position de l’internaute et aussi permettre la mise en valeur d’entreprises en périphérie. Quels limites? Un site sanctionné doit attendre la prochaine mise à jours de l’algorithme avant d’être re-positionné. Le problème réside dans le fait qu’en 2013 il a fallut attendre 1 ans, ce qui a suscité beaucoup de critiques de la part des professionnels du secteur. Par ailleurs, Google a aussi été critiqué pour avoir sanctionné des sites concurrents tels que des comparateurs de prix ou de vols. Ceci peutêtre critiquable sur le plan éthique. Comment réussir son SEO ? « La notoriété web est un processus de « continual service improvement » pour garantir la monétisation. » Kozi Vuti – Directeur Conseil : Digital Usages & Big Data & eCommerce – Midrange Clients : Volvo France, General Motors France, BNP Paribas En effet, comme l’indique Kosi Vuti qui à accepté de me recevoir : Il est essentiel pour une organisation qui souhaite réussir sur le web de répondre aux critères définis par Google. De plus, ces critères sont en perpétuels évolutions, il faut sans cesse s’adapter. Ainsi, pour être visible sur la toile, la première étape est de proposer un contenu de qualité et soigné. De plus, abuser des mots clef sera aussi sanctionné par Panda, tout comme les les sites au contenus pauvres ou inutile pour l’internaute. Il faut ensuite ne pas utiliser de moyens douteux tels que l’abus de lien pour se positionner, car Pingouin les sanctionne. Et pour finir, être en adéquation avec la position de l’internaute selon Opossum à condition d’avoir bien renseigné son adresse exacte. En bref : proposer un contenu de qualité, sans plagiat ni trafic artificiel. Google garanti ainsi un web propre et qualité. Si ces codes sont respecté, le référencement naturel se chargera de vous positionner en tête. Mais attendre le référencement naturel peut s’avéré long au lancement d’un site internet, c’est pourquoi google propose de l’acheter, c’est le SEM ou référencement publicitaire.