contact diffusion - Richard III (ou presque)

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Richard III
(ou presque)
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auteur :
Timothy Daly
metteur en scène :
Isabelle Starkier
contact diffusion
-
Christine Beauvallet
06 82 09 33 04
[email protected]
Richard III (ou presque)
De Timothy Daly
Traduction Michel Lederer
Mise en scène Isabelle Starkier
Avec Daniel Jean
Pierre-Yves Le Louarn
Décors Jean-Pierre Benzekri
Costumes Anne Bothuon
Création lumières Bertrand Llorca
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Production Cie Isabelle Starkier
Coproduction :
› Avec le soutien de la mairie de Paris
› La Cie Isabelle Starkier, en résidence au Théâtre
Gérard Philipe de Saint Cyr l'Ecole et à la MJC
Théâtre de Colombes, est soutenue par la Région Ilede-France, le Conseil Général des Hauts-de-Seine et
le Conseil Général de Seine-Saint-Denis
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Note de l’auteur
17 novembre 2009
L’origine de la pièce
Richard III… (ou presque) est une pièce originale, écrite de ma main à la
demande du metteur en scène parisien Isabelle Starkier. Sur le conseil
d’Isabelle – qui dirigea brillamment la mise en scène de ma pièce Le Bal
de Kafka –, j’ai commencé à travailler à l’écriture d’une pièce traitant des
thèmes richement développés par Shakespeare dans son Richard III.
L’idée d’Isabelle consistait à ce que j’écrive une pièce qui permette de
mettre en valeur les exceptionnels talents de jeu de deux des meilleurs comédiens français que j’ai jamais vu: Daniel Jean et Pierre-Yves Le Louarn.
Après réflexion, j’ai conçu une histoire dans laquelle deux acteurs se retrouvent piégés dans une situation où ils sont condamnés à jouer sans
cesse Shakespeare. À partir de là, tous les autres éléments narratifs se
sont mis en place.
Les thèmes de la pièce
Richard III… (ou presque) est une fantaisie sombre sur les thèmes de la
pièce de Shakespeare, et plus particulièrement les notions de culpabilité
et de châtiment.
Dans son style, la pièce balance entre la farce noire et l’absurde, faisant
référence à la pièce shakespearienne tant pour le châtiment (pour le crime
commis par les acteurs dans la pièce) que pour le commentaire, sur Richard et sur les acteurs qui se retrouvent forcés à le rejouer jour après
jour.
Shakespeare explore plusieurs thèmes sombres et profonds dans sa
pièce. Notamment :
• La scélératesse et la virtuosité des scélérats, principalement Richard III.
• La permanence et l’ampleur de la culpabilité comme facteur dans la psychologie en cours de ceux qui, lorsqu’ils ne sont pas démoniaques euxmêmes permettent (par leur inaction ou inertie) au mal de se produire.
• La lâcheté et l’opportunisme dans le monde des affaires.
• Le regret, particulièrement lorsqu’il est trop tard.
• La facilité avec laquelle on corrompt de “bonnes” personnes.
• La manière dont les gens portent des masques, et “jouent” dans la vraie
vie (que ce soit pour de bonnes ou mauvaises raisons).
Il peut sembler présomptueux pour un auteur contemporain d’explorer
à nouveau le monde et la richesse thématique de Shakespeare. Cependant, pour moi, ma petite contribution dramatique est tant un hommage
qu’une fantaisie complexe dans sa légitimité, divertissante dans sa forme.
J’espère poursuivre ce travail avec Isabelle Starkier, afin de parfaire une
pièce qui, d’une certaine manière, est un métissage de sensibilités et
d’esthétiques : le travail d’un auteur anglophone contemporain qui a tout
spécialement écrit pour le style joyeux, enjoué, virtuose et complexe à
plusieurs niveaux du jeu d’acteur français, mis en scène dans la meilleure
tradition du Théâtre français contemporain.
Timothy Daly
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Note de mise en scène
Un thriller théâtral
Deux acteurs « repentis » jouent en boucle Richard III, à coup de scènes prises au
hasard (peut-être…) à chaque fois qu’une sonnerie retentit. La raison de cette étonnante représentation apparaît peu à peu, en même temps que les ors rouges et la
panne de velours cèdent place à un thriller théâtral en noir et blanc. Guy-Laurence et
Bernard, complices en crime hier et partenaires à la scène aujourd’hui, sont sous nos
yeux en représentation surveillée, dans un huis-clos qui n’est pas sans faire écho
aux principes de la télé-réalité.
Un classique revisité
Richard III (ou presque) résume, restitue, raconte, tord ou manipule la pièce de Shakespeare dans un univers post-moderne ouvert à ceux qui connaissent Richard III
comme à ceux qui ne la connaissent pas. La pièce met en scène des personnages
communs, comiques, bouffons grotesques et moralement difformes d’une société
qui les pousse au crime par l’absence totale de repères, de codes, de valeurs.
« Je suis résolu à être un scélérat »
C’est le grand mécanisme de la tragédie moderne qui est dévoilé : Richard III n’est
plus un monstre mythologique ou historique : c’est un homme politique comme on
en voit tous les jours sur toutes les chaînes de télévision, celui qui a intégré l’immoralité et fait du chaos extérieur son ordre intérieur, son éthique amorale. Sa difformité est toute interne, elle est invisible : c’est sa pensée qui est bancale et tordue
comme ce monde qui l’entoure et qu’il sublime en l’imitant. C’est un Richard III du
quotidien que la pièce de Timothy Daly met en exergue : elle est peuplée d’acteurs
ratés que l’on filme en gros plan, noyés dans le cynisme d’un monde où l’innocent
périt sans raison et où le héros triomphe dans et par sa chute. « Toute l’œuvre de Shakespeare est une démonstration de la faiblesse humaine » disait Firmin Gemier.
Huis clos et représentation surveillée
Comme dans Le bal de Kafka, Timothy Daly s’appuie dans Richard III (ou presque)
sur une mise en abyme de la représentation dans la représentation.
« La vie n’est qu’une ombre mouvante, un pauvre acteur qui se pavane et s’agite l’heure
qu’il est en scène et puis qu’on n’entend plus. C’est un conte dit par un idiot plein de bruit
et de fureur, et qui n’a pas de sens. »
Richard III (ou presque) met en scène la pièce de Shakespeare dans un huis clos aux
allures de télé-réalité. Qui joue et qui dirige ? Qui est joué dans l’histoire ? Quand
commence et quand finit le jeu ? Qui est responsable : celui qui fait, celui qui le laisse
faire ou ceux qui regardent ? De l’illusion au faux-semblant, la pièce est une vraie
machine théâtrale à jouer et à se jouer des signes (sonnerie de théâtre annonçant la
fin de l’entracte, tréteaux, postures…), a créer du sens là où il n’y en a pas, là où il n’y
en a plus – dans cette aube troublée de notre vingt-et-unième siècle où ni âge D’or ni
lendemains qui chantent ne miroitent plus.
Si j’ai interpellé Timothy Daly autour de Richard III, c’est qu’à travers le personnage
de Richard, la lutte absolue pour le pouvoir est mise à nu, à vif, et que le cynisme de
l’ambition dans un monde vide de sens éclaire certains de nos hommes politiques
d’une lumière infiniment troublante.
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Richard III (ou presque), c’est l’histoire d’une rencontre entre un auteur
et une troupe, un auteur et un metteur en scène. De Paris à Avignon,
Timothy Daly a suivi toute l’aventure française du spectacle Le bal de
Kafka (première adaptation française de sa pièce Kafka dances) avec une
implication rare et généreuse, comme un auteur qui voit son texte et/ou
son rêve s’épanouir dans l’interprétation qui en est donnée sur le plateau. Il nous a fait confiance en nous proposant – et quand je dis « nous
» je parle en effet de la troupe du Bal – son autre pièce L’homme dans le
plafond afin qu’elle soit jouée par ces mêmes acteurs réunis autour du
même metteur en scène la saison prochaine. Et puis, Timothy et moi en
sommes venus à caresser l’idée d’un Richard III pour deux acteurs, soit
une pièce faite sur mesure, sur commande… Timothy est rentré en Australie et après plusieurs échanges de mails, je recevais cette incroyable
variation shakespearienne autour du thème de Richard III pour deux formidables comédiens qui font l’irrésistible duo de Monsieur de Pourceaugnac : Daniel Jean, l’acteur « du Conservatoire », avec ses ruptures et son
jeu tout en dentelle d’intentions et de nuances, et Pierre-Yves Le Louarn,
avec sa générosité folle, son énergie débordante, et un langage déjanté
du corps que complète une véritable intelligence du texte.
« Considérez des pièces comme "Richard III". Qu’est ce qui leur donne leur
mystère et leur terreur suprêmes, qui les élève au-dessus de simples tragédies de l’ambition, de l’assassinat, de la folie, de la défaite ? N’est-ce pas précisément cet élément surnaturel qui domine l’action de bout en bout : cette
fusion du matériel et du mystique ; ce sens de figures en attente, intangibles
comme la mort, de mystérieux visages sans traits qu’il nous semble entrevoir
en regardant de côté, bien que, si nous nous retournons, nous ne voyons rien
? » Gordon Craig
Richard III (ou presque) sera monté comme une partition théâtrale pour
deux acteurs avec : une estrade en verre et miroir qui est comme un ring
de lumière où se jouent les extraits tirés de l’œuvre de Shakespeare, tréteaux où se reflètent les acteurs mais aussi où s’illuminent leurs ombres,
dans un jeu de lumières très cinématographique. Des costumes qui sont
accrochés partout autour d’eux et d’où ils exhument les fantômes de
l’impossible pièce qu’ils cherchent mais ne parviennent pas à jouer ; des
rampes, mais des rampes partout, au sol, suspendues, qui enserrent les
acteurs dans une lueur théâtrale qui se dénonce elle-même et qui projette
des ombres portées en décor « naturellement » théâtral de Richard III.
« J’estime que les décors de Shakespeare doivent se réduire à la présentation
d’un lieu dont les dispositions, les lignes, les formes, les couleurs forment un
ensemble tel que l’acteur puisse y évoluer avec le plus de simplicité possible ;
où la plastique du décor donne au verbe un cadre qui soit digne. Qu’il emprunte
au décor du théâtre de Shakespeare son unité et transpose les écriteaux sous
des formes plastiques de sa structure.» Pitoeff
Isabelle Starkier
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Echos Presse
«Le propos est contemporain presque sans le vouloir,
c’est-à-dire qu’il n’est pas pensé contemporain comme
un concept de plus mais la mise en situation, le jeu et la
direction des acteurs, la scénographie, comme un cadre
de jeu dont on repousserait sans cesse les limites, font
de l’ensemble un moment fort appréciable. »
L’Humanité
«Cette petite forme exprime la quintessence du regard
shakespearien, lucide et impitoyable. Il s’agit toujours
de l’exceptionnel diamant théâtral Richard III, mais sans
son écrin. »
Le JDD
«Un formidable duo d’acteurs burlesque et desespéré.»
La Terrasse
«Tout est excellent, bruitage, mime, lumière, monologue ou dialogue et jusqu’au tableaux muets. Une
belle performance !»
La Marseillaise
«Leur talent rehausse ce long moment de bravoure,
sorte de Richard III puissance deux. »
Les trois coups
«Ce huis clos étonnant est interprété par Daniel Jean
et Pierre-Yves Le Louarn qui relèvent le gant de ce défi
théâtral qui réjouira autant ceux qui connaissent Richard III que les festivaliers un peu moins rompus au
théâtre de Shakespeare.»
Kourandart
«La mise en scène d’Isabelle Starkier est rythmée, multiple et pleine d’inattendus.»
Théâtrorama
«Les deux comédiens sur scène (Daniel Jean et PierreYves Le Louarn) défendent avec générosité et talent
cette belle pièce.»
Notre Scène
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L’équipe artistique
Timothy Daly // l’auteur
Il a écrit les pièces de théâtre The
Don’s Last Innings, The Quiz King,
Calliper ou The Critic Assassinated.
La pièce Kafka Dances a été créée
au Sydney Theatre en 1993 avec
Cate Blanchett dans le rôle de Felice. Avec Henri Szeps il a traduit et
adapté The Double Bass pour l’Ensemble Theatre. Il a écrit de nombreuses pièces radiophoniques,
scénarios et traductions dont Bystander, qui fut nominé pour un AWGIE en 1992. Il a été lecteur et juge
de la Compétition d’Interprétation
Radiophonique 1993 de la Ian Reed
Foundation. Il a été auteur en résidence
pour l’Ensemble Theatre et le Australian National Playwright ‘s Centre.
Isabelle Starkier // le metteur en scène
Ancienne élève de l’ENS, Isabelle
Starkier est maître de conférences
à l’Université d’Evry en Etudes
Théâtrales.
Côté scène, elle a suivi les cours de
Daniel Mesguich et ceux des Quartiers d’Ivry sous Antoine Vitez puis
Philippe Adrien. En 1985, elle crée
une compagnie, le Star Théâtre,
qui compte aujourd’hui une quinzaine d’acteurs, un scénographe,
une costumière, un compositeur et
deux auteurs. Elle a mis en scène
notamment La Dernière Nuit d’Otto
Weininger de J.Sobol (1991), Le Cabaret de la grand’peur de Brecht et
Weill (1992), Molly chante Bloom de
J.Joyce (1993) Molly des sables de
F. Gallaire (1994), En pièces de Marivaux-Feydeau-Pirandello (2000),
Le Marchand de Venise (2003),
Têtes rondes et têtes pointues de
Brecht (2004). Et plus récemment :
Scrooge d’après Dickens (2005), Le
Bal de Kafka (2006) de T.Daly, Monsieur de Pourceaugnac de Molière
(2008), Résister, c’est exister d’A.
Guyard (2008), Quichotte d’après
Cervantès (2009), L’oiseau Bleu
de Maeterlinck (2009), Un fil à la
patte de Feydeau (2010), Richard
III (ou presque) de T. Daly (2010),
L’Homme dans le plafond de T.Daly,
Du côté d’Alice d’après Lewis Carroll
(2012), La croisade des cochons de
P.Cleitman (2013). Elle a également
été l’assistante de Daniel Mesguich
et, outre nombre d’évènements et
mises en espace, elle a mis en scène
cinq spectacles en Israël et un en
Suisse (Bâle). Elle a publié de nombreux articles dans diverses revues
et colloques sur le théâtre.
scène de Laurent Serrano au Théâtre
Mouffetard (2004). Elle a également
créé des marionnettes pour Maria de
Buenos Aeres de Piazola au Festival
de Bregenz (2000) et pour La Belle
Lurette à la Péniche Opéra (2000).
Elle travaille depuis plusieurs années
avec Isabelle Starkier.
Michel Lederer // traduction
Après une formation aux BeauxArts en Israël et une carrière d’illustrateur caricaturiste de presse,
Jean-Pierre Benzekri a travaillé
comme décorateur en Israël pour
les Festivals d’Akko, du Teatr’Oneto, puis en France avec Isabelle
Starkier, Jules-Benjamin Rosette,
Alain Blanchard, Daniel Mesguich,
William Mesguisch, Frédérique
Smetana, Jean-Francis Maurel...
Il est aussi photographe et réalise
tous les clichés des spectacles du
Star Théâtre - Cie I. Starkier.
Michel Lederer a traduit plus de
soixante-dix ouvrages, parmi lesquels on compte des oeuvres de
Sherman Alexie et James Welch,
Henry Roth pour Albin Michel, Harold Brodkey pour Grasset, Charles
Bukowski aux éditions Grasset
pour des romans mais également
des poèmes publiés sous le titre
de Jouer du piano ivre qui ont par
ailleurs fait l’objet de plusieurs
adaptations théâtrales. Il a traduit
Le marchand de Venise avec Isabelle Starkier, publié aux Editions
du Bordeleau, et une autre pièce de
Timothy Daly également mise en
scène par Isabelle Starkier : Le bal
de Kafka.
Anne Bothuon // costumes
Bertrand Llorca // création lumière
Jean-Pierre Benzekri // décors
Formée aux Arts et Techniques du
Théâtre à la Rue Blanche (ENSATT),
Anne Bothuon a créé les costumes
pour Werther, de Massenet, mis en
scène par Mireille Laroche au Grand
Théâtre de Tours (2001); Gianni
Schicchi de Puccini et Amfiparnaso
d’Orazio Vecchi, mise en scène de
Laurent Serrano, à l’Atelier Lyrique
de Tourcoing (Février 2002); Le Dragon de E.Schwartz, mise en scène
de Laurent Serrano au Théâtre de
l’Ouest Parisien (2003) ; Ya Basta de
Jean-Pierre Siméon, mise en scène
de Kristian Frédric au Théâtre National du Luxembourg (2003); Les Cocasseries mise en scène de Jacques
Kraemer au Théâtre de Chartres
(janvier 2004). Sa dernière création
: Kvetch de Steven Berkoff, mise en
Après une formation en arts plastiques dans les ateliers de Claude
Delhief puis aux Beaux Arts de
Paris, Bertrand Llorca a suivi sur
le terrain une formation de technicien du spectacle responsable
des lumières. Depuis bientôt
trente ans, il exerce son métier
de régisseur et créateur lumière
pour des spectacles et, parallèlement, une activité de potier.
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Daniel Jean
Daniel Jean a suivi une double
formation
au
Conservatoire
National Supérieur de Paris et à
l’Ecole de la Rue Blanche (ENSATT),
il s’est aussi formé à la méthode de
l’Actors Studio au Lee Strasberg’s
Theater Institute de Los Angeles.
Au théâtre, il joue sous la direction
de Philippe Adrien dans Le Procès
de Kafka et Le Malade imaginaire
de Molière et dans de nombreuses
pièces dont La Cerisaie de Tchekov
par J-R. Lemoine, Monsieur
Toussaint
d’Edouard
Glissant
mis en scène par Greg Germain,
Othello de Shakespeare par Claude
Darvy. En 1999 il met en scène
Gare aux proies de Gérard Renault.
Au cinéma, il tourne en 1985 dans
Noir et Blanc de Claire Devers,
en1996 dans Le plus beau métier
du monde de Gérard Lauzier et en
2000 dans Je rentre à la maison de
Manoel de Oliveira. À la télévision,
il joue notamment dans les séries
Avocats et Associés, Hôtel de Police
et Riviera, et dans les téléfilms Pour
l’amour de Francesca réalisé par G.
Ricci, Le Trésor des Templiers réal.
D. Moosman et Lune de Miel réal.
A.Lombardi.
Pierre-Yves Le Louarn
Pierre-Yves Le Louarn est comédien et auteur de théâtre. Mêlant
des études théâtrales universitaires
avec une pratique intense de la
scène (théâtre et cirque), PierreYves Le Louarn est remarqué en
1999 pour son rôle dans L’Ultime
chant de Troie, un spectacle écrit et
mis en scène par Simon Abkarian
d’après Euripide et Sénèque. En
2001, il joue dans La Nuit des Rois
de Shakespeare par Christophe
Rocques. En 2003, on le retrouve
aux côtés de Romane Bohringer
dans La Bonne âme de Setchouan
de Brecht mis en scène par Irina
Brook au Théâtre National de Chaillot. De 2003 à 2007, il joue sous
la direction d’Omar Porras dans
El Don Juan et Maître Puntilla et
son valet Matti, présenté en tournée internationale et au Théâtre
de la Ville à Paris. Au cinéma, il
joue dans Les Palmes de Monsieur
Schultz de Claude Pinoteau et dans
de nombreux courts-métrages,
dont La Vie Maternelle – rôle pour
lequel il obtient un Prix d’interpretation masculine. À la télévision, il
joue notamment dans Madame le
Proviseur et dans la série à succès
Samantha de Gérard Pautonnier.
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Fiche Technique
Richard III (ou presque)
Spectacle tout public dès 12 ans
Durée : 1h15 env.
Ce spectacle peut être présenté à deux reprises dans la journée
Plateau
› ouverture : minimum souhaité 4 mètres
› profondeur : 4 mètres
› sol noir
Montage
› temps de montage minimum: 2 services
› équipe technique minimum: 1 technicien plateau
Conditions générales et financières
› prix de cession pour une représentation : 2 800 € HT
› prix de cession pour deux représentations : 2 500 € HT
En cas de série, nous consulter
Prévoir droit d’auteurs et de mise en scène (contrats particuliers)
En tournée
› 2 comédiens, 1 technicien, 1 metteur en scène
ou administrateur de tournée
En région parisienne
› prévoir un déjeuner pour 1 technicien ou défraiement
› 2 h avant la représentation :
Catering consistant (eau minérale, jus de fruit, vin, bière, café, thé,
fruits frais et secs, pain, charcuterie, fromage, petits gâteaux, etc.)
› prévoir le transport du décor au départ d’Etampes
› prévoir le transport des artistes AR pour 3 personnes au départ de Paris
Hors région parisienne
› 1 défraiement* complet la veille du spectacle
› 4 défraiements* complets le jour de la représentation
*Tarif Syndeac ou directement organisé par l’accueil
› prévoir le transport du décor au départ d’Etampes
› prévoir le transport des artistes AR train ou avion pour 3 personnes au
départ de Paris
En complément du spectacle, nous proposons plusieurs formes
d’interventions en milieu scolaire : ateliers, Voyage théâtral d’une journée…
Nous contacter pour plus d’informations.
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La compagnie
Depuis vingt cinq ans, la Compagnie Isabelle Starkier se veut une troupe
: un metteur-en-scène, une quinzaine de comédiens, deux auteurs, un
compositeur, une costumière plasticienne, un peintre scénographe,
un directeur technique et une équipe administrative permanente
(administration, diffusion et communication). Dotée d’un rayonnement
national en France comme en DOM-TOM, elle propose un répertoire de 7
spectacles en salle ainsi que de nombreuses formes hors les murs, et crée
une nouvelle pièce chaque année. En moyenne, ses créations tournent
entre 6 et 10 ans et sont représentées 130 fois. Ce travail de diffusion
s’appuie sur des exploitations parisiennes fréquentes et une présence
annuelle au Festival d’Avignon. En création, elle collabore à l’international
avec des auteurs australiens, canadiens et suisses.
Autour de problématiques sociétales, Isabelle Starkier alterne création de
textes contemporains et de classiques revisités ainsi que des spectacles
s’adressant à un tout public qui associe le jeune public au public adulte.
La responsabilité, l’identité, le pouvoir, l’exclusion et la folie sont toujours
des axes de décryptage du monde que modulent le rêve et le rire. Les
spectacles de la compagnie sont des territoires où le théâtre va à la
rencontre d’autres disciplines : musique, marionnette, vidéo….
La compagnie mène en parallèle autour de ses spectacles un important
travail d’action culturelle et de sensibilisation des publics, en particulier
avec les habitants des villes où elle est en résidence. Elle défend le projet
d’un théâtre élitaire partout et pour tous.
Richard III
(ou presque)
-
auteur :
Timothy Daly
metteur en scène :
Isabelle Starkier
Cie
Isabelle
Starkier
contact
-
Cie Isabelle Starkier //
63 place du Dr Félix Lobligeois
75017 Paris
www.cieisabellestarkier.fr
Elsa Brès // administration
06 21 05 19 81
[email protected]
Christine Beauvallet // diffusion
06 82 09 33 04
[email protected]
Gloria Cantin //
Com & relations publiques
09 62 62 50 84
[email protected]
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