fossiles roches -continentale -endroit

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Stage
g PAF
F
Auteurs : Mmes BESNARD, BRAVIN, POPOFF
Nouveau programme - Rentrée 2006-2007
Extrait du BO : La g
géologie
g étant une science de terrain, on s’appuie
pp
obligatoirement sur un exemple local à partir d’observations de
terrain.
Dans Paris « intra-muros », il n’existe que deux affleurements pouvant
faire l’objet d’une sortie avec les élèves :
- Les Buttes-Chaumont
- Le Trocadéro
Les notions et compétences pouvant être abordées
lors de la sortie apparaissent en bleu dans cette
présentation
Cette présentation est un document de travail à l’usage de l’enseignant.
I) Le modelé actuel du paysage résulte de l’action de l’eau sur les roches.
Notions - Contenus :
-Les
Les roches
roches, constituant le sous
sous-sol,
sol subissent à la surface de la Terre une érosion dont ll'eau
eau est le principal agent.
agent
-Les roches résistent plus ou moins à l'action de l'eau.
-Au cours de l’érosion des roches, des particules de différentes tailles peuvent s’accumuler sur place et participer à la formation d’un sol ou être
entraînées par des agents de transport.
Compétence :
Identifier dans un paysage, au cours d’un travail de terrain, des manifestations actuelles ou récentes de l'érosion, du
transport de particules et de la sédimentation.
II) Les roches sédimentaires sont des archives permettant de reconstituer
des éléments de paysages anciens.
Notions - Contenus :
- La sédimentation correspond essentiellement au dépôt de particules issues de l’érosion.
- Les
L sédiments,
éd
après
è transformations
f
donnent
d
des
d roches
h sédimentaires.
éd
- Les roches sédimentaires peuvent contenir des fossiles : traces ou restes d’organismes ayant vécu dans le passé. L’être
vivant à l’origine du fossile est contemporain de la sédimentation.
-Les observations faites dans les milieux actuels, transposées aux phénomènes du passé permettent de reconstituer certains
éléments des paysages anciens.
anciens
Compétence : Reconstituer un paysage du passé à partir de roches sédimentaires et des fossiles qu'elles contiennent.
III) L’action de l’Homme, dans son environnement géologique, influe sur
l’é l ti d
l’évolution
des paysages.
Notions - Contenus :
- L’Homme prélève dans son environnement géologique les matériaux qui lui sont nécessaires et prend en compte les
conséquences de son action sur le paysage.
- L’Homme peut prévenir certaines catastrophes naturelles en limitant l’érosion.
Compétence : Discuter, sur un exemple local, de la responsabilité de l’Homme dans la gestion de son environnement géologique
Historique formation géologique Paris
Lutèce a été fondée sur les alluvions quaternaires de la Seine, épaisses de
quelques mètres seulement, vraisemblablement à proximité d'un gué permettant
d franchir
de
f
hi la
l rivière
i iè en certaines
i
saisons.
i
Au
A coeur même
ê
de
d lla cité
i é ces
alluvions reposent sur des bancs calcaires : le Calcaire grossier du Lutétien
qui affleure à proximité sur les flancs de la Montagne Sainte Geneviève où, très
tôt,
ô il a été
é é exploité.
l i é
Le g
grand Paris s'est édifié peu
p à peu
p autour de ce site sur ces terrains ou sur
d'autres un peu plus récents qui forment une série de couches
superposées dans l'ordre où ils ont été sédimentés au fond des mers,
des lagunes ou des lacs au Tertiaire, et plus récemment par la Seine au
quaternaire.
L'érosion toujours active n'a pas encore fait disparaître tout à fait les
formations récentes. Mais les plus superficielles peu consolidées ou très
solubles comme les Sables de Fontainebleau ou le gyp
gypse ont été
enlevées presqu'entièrement par les eaux de ruissellement et il n'en reste
que quelques « buttes
buttes-témoins ».
Angles
g
de vue des deux
panoramas observés lors
de la sortie
I. Le modelé actuel du paysage résulte de
l’action de l’eau sur les roches.
1. Identification, lors d’une sortie, des éléments d’un paysage local.
Panorama Buttes Chaumont
Panorama Trocadéro
Les « pierres » de Paris
Dans Paris « intra-muros » il n’existe que des formations tertiaires :
- Le sable de Fontainebleau
Fonta nebleau un
uniquement
quement sur la coll
colline
ne de Bellev
Belleville
lle ((ett Montmartr
Montmartre.)
.)
- Le gypse, éocène supérieur (– 43 Ma), qui affleure aux Buttes-Chaumont,
maiss que ll’on
ma
on retrouve dans les différentes
d fférentes exploitations
explo tat ons souterraines
souterra nes du nordnord
est de Paris (Montmartre, Buttes-Chaumont)
- Le calcaire g
grossier (( 49 Ma)) ou p
pierre de Paris,, éocène moyen
y (Lutétien),
(
),
qui affleure au Trocadéro, mais que l’on retrouve dans les différentes
exploitations souterraines du sud et sud-ouest de Paris
(Val de Grâce,
Grâce Catacombes,
Catacombes Trocadéro
Trocadéro…))
- L’argile que l’on retrouve dans les exploitations du sud de Paris
( Vaugirard,
V u i d Aut
Auteuil)
uil)
En sortant des « murs » de Paris :
On trouve la craie dans le sud de Paris (Issy-les-Moulineaux, Meudon …)
Les affleurements
a- Les Buttes
Buttes-Chaumont
b- La colline de Chaillot
a- Affleurement des Buttes-Chaumont
Affleurement de gypse
aux Buttes-Chaumont
2. Erosion : l’action de l’eau
Fissures
L’action de l’eau
Fissure
Eboulis
Blocs
rocheux
Transformation de la roche : gypse saccharoïde
Propriétés de la roche : le gypse
Sous l’l’action plus
l ou moins prolongée
l
é de
d
la chaleur (110°C) on obtient du plâtre
(gypse ayant perdu au moins ¾ de son
eau) capable de reprendre son eau à
eau),
froid en faisant prise.
Le gypse (Ca SO4) est peu « soluble » dans
ll’eau
eau (1,75g/litre
(1 75g/litre à 0
0°C)
C)
Le savon ne mousse pas dans l’eau séléniteuse
Caractères et propriétés des
roches rencontrées à Paris
Description à l'œil nu
gypse
Grains visibles à l’œil nu
=cristaux
(une seule catégorie de
cristaux)
Test d'identification à
l'acide
Pas d'effervescence
Propriétés :
- dureté
- cohérence
hé
- porosité
- perméabilité
- solub
solubilité
l té
- tendre
- cohérence variable selon
l’ l é
l’altération
i
- un peu poreuse
- perméable en grand
- soluble (1 l dissout 3 g de
gypse))
gyp
Utilisation de la roche
Lieux d'exploitation
Mode d'exploitation
d exploitation
Pour la fabrication du plâtre
après chauffage
Carrière souterraine des
Buttes-Chaumont. Méthode des
piliers
l
tournés
é
Calcaire
b-Affleurement du Trocadéro : Calcaire grossier
Transformation de la roche
Tous les calcaires au sortir de la carrière contiennent une quantité d'eau considérable
(de 150 à 250 litres par mètre cube). Sitôt exposée à l'air, une grande partie de cette
eau tend à ss'évaporer
évaporer et arrive successivement du cœur à la surface.
surface En faisant ce
trajet, cette eau entraîne une certaine quantité de carbonate de calcium en dissolution
qui se cristallise sur le parement et forme une croûte, résistante, qui non seulement
préserve la pierre
p
p
des agents
g
extérieurs, mais lui donne une patine,
p
une couverture que
q
rien ne peut remplacer : c’est le calcin .
Couche de
calcin
L’érosion : action de l’eau
Fissures
Quand le calcin se décolle, la pierre n'est plus protégée, elle subit alors
l'attaque des pluies acides, on parle alors de maladie de la pierre. Pour protéger
pierre, on la recouvre alors de ciment.
la p
La méthode du sablage pour nettoyer les pierres, retire ce calcin et rend donc
la pierre vulnérable.
« Pierre malade »
Jardin des plantes
Caractères et propriétés des
roches rencontrées à Paris
Description à l'œil nu
Test d'identification à l'acide
gypse
calcaire
Présence de fossiles
Pas
a de cristaux
cr tau
Effervescence
Propriétés :
- dureté
- cohérence
- porosité
- perméabilité
- solubilité
-
Utilisation de la roche
Pour les constructions
(pierre à bâtir)
Lieux d'exploitation
Mode d'exploitation
Carrière à ciel ouvert
de Chaillot
dure
cohérente
un peu poreuse
imperméable en petit
non soluble
II. Les roches sédimentaires permettent
d reconstituer
de
tit
lles paysages anciens
i
Les roches rencontrées se sont formées il y a des millions d’années. Les fossiles
qu’elles
’ ll s contiennent
ti
t ssontt donc
d
les
l s témoins
tém i s d’êtres
d’êt s vivants
i
ts quii ontt vécu
é dans
d s le
l passé.
p ssé
1. Les fossiles rencontrés au Trocadéro
Les Cérithes sont des gastéropodes
marins.Ils possèdent une coquille en une
seule pièce et spiralée.
Les térébratules sont des Brachiopodes
p
vivant en milieu marin. Ils sont fixés au
fond de la mer par un pédoncule qui sort de la coquille à travers un trou (le foramen)
de la plus grande valve.
Les crinoïdes sont les plus anciens échinodermes. Les crinoïdes
pédonculés
pédoncu
és vivent
ent f
fixés
xés au fond et fréquemment en groupes. Ilss
présentent 5 bras aux arborescences parfois multiples. Leur taille
peut atteindre 20 cm. Les segments du pédoncule ou entroques sont
circulaires ou pentagonaux et présentent un vide central.
central
Ils sont parfois appelés « lys de mer » car ils évoquent la plante. En
mourant, ils se disloquent et leurs débris se retrouvent dans des
calcaires dits calcaires à entroques ou calcaires à encrines.
encrines
Encrinus
Calcaire à entroques
Calcaire avec fossiles
Un nodule algaire de type
stromatolite
Calcaire avec
Brachiopode
Calcaire à Cérithes
Nom du fossile : Ditrupa
p strangulata
g
;
Il s’agit d’un ver polychète habitant dans un tube calcaire blanchâtre
de 1 à 3 cm de long enfoncé dans la vase calcaire.
2. Les fossiles du gypse
Le gypse de Montmartre joue un rôle important dans l'histoire de la géologie car
c'est dans ces couches que Cuvier, le créateur de l'anatomie comparée et de la
paléontologie, découvrit des débris de vertébrés fossiles.
L'un des animaux les plus connus était le Paléothérium, animal de la taille d’un gros
chien, appartenant à l'ordre des Périssodactyles (mammifère ongulé ayant un nombre
i
impair
i de
d doigts).
d i t ) Herbivore,
H bi
lle P
Paléothérium
lé thé i
offrait
ff it une allure
ll
d
de T
Tapir
i ett comme
celui-ci, il était pourvu d'une petite trompe préhensile. Les molaires inférieures
ressemblaient à celles du Rhinocéros et les inférieures à celles des ancêtres des
Chevaux.
Le Didelphys ressemblait à une Sarigue,
marsupial vivant actuellement en
Amérique du Nord.
Nord
Un autre Mammifère bien
caractéristique était
l'Anoplotherium animal pouvant
l'Anoplotherium,
atteindre 2,60 m de long pour 1 m
de haut. C’était un herbivore
plongeur
p
g
et nageur
g
qui
q se nourrissait
de racines et de tiges des plantes
aquatiques.
3. Reconstitution de paysages parisiens de l’ère tertiaire
Trois échantillons de roches riches en fossiles ont été retrouvés dans trois strates
différentes du sous-sol parisien. Les fossiles vont permettre de dater ces strates et de
reconstituer, en appliquant
l
le
l principe de
d l’l’actualisme,
l’actualisme
l
lla succession des
d paysages
parisiens au cours du tertiaire.
Principe de l’actualisme : on admet que les animaux fossiles vivaient de la même
manière et dans le même milieu que des espèces actuelles qui leur sont très voisines.
Calcaire à nummulites
- 48 Ma
Calcaire à potamides
- 38 Ma
Photos disponibles sur le site du MNHN
Calcaire à cérithes
- 42 Ma
Potamide
Les espèces voisines actuelles
vivent dans une eau saumâtre
(lagune,…).
Cérithe
Les descendants actuels vivent
aujourd’hui dans des mers
chaudes dans la zone de
balancement des marées.
Nummulite
Les nummulites
l
n‘existent plus
l
aujourd’hui mais on peut les rapprocher
des foraminifères actuels qui font
partie du plancton marin des mers
chaudes..
Conclusion : trois milieux différents se sont donc succédés à
l’emplacement de Paris au tertiaire entre - 48 et - 38 Ma :
- le milieu est d’abord occupé par une mer chaude agitée et
bien oxygénée où les nummulites pullulent sur les fonds.
- la mer reculant progressivement (régression ), le milieu
est
st alors
l s occupé
pé par
p un
n littoral
litt
l où
ù abondent
b nd nt les
l s
mollusques.
- la régression se poursuivant, le milieu est enfin occupé
par une lagune à salinité variable où rampent les
potamides.
potamides
Voir carte « La France au Lutétien moyen et supérieur »
4. Les attributs des fossiles permettant leur classification
Attributs
Cérithe
Squelette
externe
x
Coquille spiralée
x
Encrinus
Térébratule
Nummulite
x
x
Coquille
q
à 2 valves
x
Une valve
présentant un
p
orifice au sommet
x
x
Fossile en forme
de disque
Corps présentant
5 parties
semblables
x
III. Responsabilité de l’Homme dans la
gestion
i d
de son environnement
i
géologique
é l i
1.L’exploitation
p
d’une ressource géologique
g
gq
a- Utilisation des roches comme matériaux de
construction
•L’utilisation du gypse : le plâtre
Qualités
é du plâtre
â
:
- Protection contre l’incendie(effet coupe-feu)
- Isolation phonique
- Isolation thermique
- Régulation de l’hygrométrie
Du plâtre en classe
- Enduits
Historique :
p
le néolithique,
q , l’Homme sait fabriquer
q
le plâtre
p
à partir
p
du gypse.
gyp
Les 1ères fresques
q
peintes
p
Depuis
sur des enduits de plâtre et de chaux datent de 9000 ans avant JC. Le plâtre absorbe aujourd’hui
80 à 85% de la production de gypse.
•L’utilisation du calcaire grossier : pierre à bâtir
Le banc de pierre le plus recherché et le plus cher se trouvait sous le faubourg
Saint-Jacques : c'était le liais farault, beaucoup plus épais que partout ailleurs.
Dur et compact,
compact il présentait une consistance exceptionnelle qui le destinait
principalement à la réalisation des statuaires et des colonnes ou encore aux
marches d'escaliers aux pierres tombales ainsi qu'aux pierres de cheminées, en
vertu de sa grande résistance à la chaleur.
chaleur
Les hommes qui occupèrent le site de Paris trouvèrent à proximité une grande
variété de ressources minérales qui leur permirent de construire des
habitations et d’établir une voirie solide.
4 roches principalement ont été extraites du sous-sol parisien :
- calcaire grossier
g
- gypse
- sable
- glaise (argile)
-b- Les méthodes d’exploitation
- Carrières
arr ères à c
ciel
e ou
ouvert
ert
Carrières souterraines, 2 méthodes :
par piliers tournés,
par piliers à bras
Carrière à ciel ouvert
Calcaire grossier Trocadéro
Carrière souterraine
Calcaire grossier Catacombes
Extrait des guides Paris-Nature, Mairie de Paris
Les Buttes – Chaumont : une exploitation à ciel ouvert et souterraine
2.Les risques
q
engendrés
g
par
p les anciennes carrières
La présence de cavités et leur dégradation est à l'origine de nombreux accidents affectant la sécurité
des biens et des personnes.
En effet la dégradation des anciennes carrières provoque l'effondrement
l effondrement des terrains de surface sous
la forme d'affaissement, de fontis ou d'effondrements
effondrements généralisés.
Fontis dans le calcaire grossier sous Paris
3. Eviter les risques liés à la présence d’anciennes carrières
a) Par le repérage des aléas géologiques : grâce à la carte des anciennes carrières
Voir guide rouge Paris
Et Ile de france
b) Par la confortation du sous-sol parisien
Après la création de ll’Inspection
Inspection Générale des Carrières en 1777, on entreprit progressivement de consolider le ciel des
exploitations souterraines et de combler les cloches responsables des fontis.
Les méthodes de consolidation, anciennes ou modernes :
- Le « bourrage
g » des g
galeries que
q l’on remplit
p de terre pilonnée.
p
- L’édification de cales ou « piliers à bras » formés de blocs de pierre posés à bras d’homme, les uns au dessus des
autres.
- Le foudroyage, c’est à dire la destruction des piliers provoquant l’effondrement des voûtes, en particulier pour les
carrières de gypse de Montmartre,
Montmartre Belleville,
Belleville Ménilmontant dont il ne reste rien
rien.
- La construction où le fonçage de piliers en maçonnerie ou en béton ( ex : le Sacré-Cœur qui repose sur 83 puits de 38m de
haut).
- Le déblaiement de cloches de fontis, étayage des bords du toit non effondré tout autour de la cloche par des piliers, puis
remplissage
mpliss
du
d vide
id p
par du
d ciment
im nt ou d
du bét
béton.
n
- L’injection de ciment ou de silicate de soude sous-pression qui pénètre dans les fissures, les interstices…
BIBLIOGRAPHIE ET SITES A CONSULTER
(nos documents sont extraits des sources suivantes)
•
Guides géologiques régionaux ( Masson éditeur )
- Paris et ses environs
- Bassin de Paris.
•
Dictionnaire de Géologie ( Masson éditeur ) - A.Foucault, J.F. Raoult
•
Atlas du Paris souterrain - Alain Clément et Gilles Thomas ( éditions Parigramme )
•
Enseigner la géologie au collège et au lycée (Nathan)
•
Le lutétien, la pierre de Paris (édition du MNHN)
•
Encyclopédie : Les fossiles (Gründ)
•
Quelques sites :
- Pour un panorama virtuel du relief de Paris :
http://www.tour-eiffel.fr/teiffel/uk/ludique/video/index.html
- La carrière de Cormeilles en Parisis :
p
p
g g
q
http://www.ac-versailles.fr/pedagogi/svt/Lithotheque%20versailles/cormeilles/accueil1.htm
- Le Muséum d’Histoire Naturelle : site sur le Lutétien
http://www.mnhn.fr/mnhn/geo/collectionlutetien/index.html
- Site sur le tertiaire en Europe :
http://www.mnhn.fr/mnhn/geo/cenozoique.html
- Site de la Mairie de Paris - Géographie et altitudes
http://www.paris.fr/portail/accueil/Portal.lut?page_id=4946&document_type_id=5&document_id=
3079&portlet_id=10579
p
- Site de la Mairie de Paris - le sous-sol parisien :
http://www.paris.fr/portail/accueil/Portal.
-Exercice
Exercice en ligne sur la reconstitution des milieux et fossiles (Genève) :
http://www-sst.unil.ch/Musee/geosciences/profs/index.htm
•
Des documents photos, des cartes, sur les carrières souterraines dans Paris et proche banlieue.
- La Commission Française pour la Protection du Patrimoine Historique et Rural (C.F.P.P.H.R.)
http://cfpphr.free.fr/carrphot1.htm
- Un site p
personnel ( cataphile
p
)avec photos
p
( sous-sol p
parisien inaccessible )
http://perso.wanadoo.fr/maximum.carriere/paris.htm
- Autre site avec des plans, photos et surtout une visite virtuelle
http://catacombes.web.free.fr/
- Pour les plans et photos
http://www.titan.free.fr/
•
Sur les risques liés aux anciennes carrières
- Académie de Paris : document sur le risque majeur, mouvements de terrains
http://dhs scola ac-paris fr/risquesmajeurs2 htm
http://dhs.scola.ac-paris.fr/risquesmajeurs2.htm
- Les carrières abandonnées en Ile de France :
http://www.drire.gouv.fr/ile-de-france/ssol/carrieres/anccar0.html
- Base de données nationale des Cavités Souterraines abandonnées en France :
Sur la localisation des vides de carrières
http://www.bdcavite.net/
Les fiches scientifiques du BRGM, en particulier :
– N°9 - Cavités souterraines : prévenir les risques d'effondrement
http://www.brgm.fr/FicheScientifique.htm
- Ministère
Mi i tè d
de L’EDD
L’EDD, portail
t il d
de lla prévention
é
ti sur les
l risques
i
majeurs
j
http://www.prim.net/professionnel/documentation/documentation.html
Applications utiles :
- Google earth ( à télécharger sur site SVT Paris ) ou http://earth.google.com
http://earth google com
- Géoportail, site IGN : WWW.geoportail.fr
Cassettes :
CNDP, dans la série « Galilée »
- Au CNDP
- Histoires géologiques (1), avec 2 séquences :
Plâtre de Paris
La mer à Paris
- Histoires géologiques (2), avec 2 séquences :
Les voyages d’un grain de Quartz
100% quartz
- Histoires géologiques (4), sur les dépôts de calcaire
- Des bactéries bâtisseuses
- Exploitation du banc calcaire
- A se procurer sur demande auprès de l’ANDRA( agence nationale pour la gestion des déchets
radioactifs),dans la série « Histoires géologiques » : « Bassin de Paris »
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