EcoEthics students meet with the Vice-President of the IPCC Prof. Jean-Pascal van Ypersele the Vice-chair of the IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) and is a member of the Belgian Royal Academy, and he agreed to meet with our Ecological Ethics students in his office at UCL. This was a really unique opportunity to pick the brains of one of the world’s most highly respected climatologists. He confirmed the inconvenient facts - that unless we slam the brakes on our global CO² emissions, the planet will overstep a 2°C atmospheric warming. In fact, even if we manage to keep global emissions under 245 gigatonnes of carbon, there is still a +60% chance that we will not avoid some catastrophic effects. (And you wouldn’t want to walk across a road if there was only that sort of probability that you would get to the other side). Prof. Van Ypersele made some extremely insightful and constructive comments on our Climate Change presentation that we will make to Commissioner Canete on March 20th. The gap between top level scientific consensus and the political resolve to tackle the problem remains – and that is what our students would like Mr. Canete to properly recognize. As Ban Ki-moon said, “There is no Plan B because there is no Planet B”. Matthew Pye Les élèves d’EcoEthics rencontrent le Vice-président du GIEC Professeur Jean-Pascal van Ypersele, Vice-président du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) et membre de l’Académie royale de Belgique, a accepté de recevoir nos élèves dans son bureau de l’UCL. C’était une occasion unique pour nos élèves de s’entretenir avec l’un des climatologues les plus respectés au monde. Il leur a confirmé les faits qui dérangent – qu’à moins que nous ne réduisons nos émissions globales de CO², l’atmosphère de la planète se réchauffera de 2 degrés. En fait, même si nous parvenons à maintenir les émissions sous les 245 gigatonnes de carbone, il existe quand même un risque de plus de 60% que les effets catastrophiques ne puissent pas être évités. Et vous ne voudriez pas traverser une route si ce type de probabilité existait de ne pas parvenir de l’autre côté. Professeur van Ypersele nous a fait part de ses commentaires perspicaces et constructifs sur notre présentation sur le Changement climatique que nous présenterons au Commissaire Canete le 20 mars prochain. Le fossé entre le consensus scientifique de haut niveau et la volonté politique de gérer le problème continue bel et bien d’exister et c’est ce que nos élèves souhaitent que M. Canete reconnaisse. Comme l’a déclaré Ban Ki-Moon : « Nous n’avons pas de Plan B car nous n’avons pas de Planète B. » Matthew Pye