Vaccins: protection ou illusion?vaccins ou rappels, de quoi bousiller

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VACCINS: PROTECTION OU ILLUSION?
par Marjolaine Jolicoeur, Ahimsa
Ce dossier regroupe différents textes parus au cours des
dernières années dans le bulletin de l'organisme AHIMSA,
sur les dangers des vaccins et de son lien avec
l'expérimentation animale. Tous les vaccins sont
potentiellement dangereux, contenant virus, métaux
lourds et substances chimiques. Ils sont tous testés sur
des animaux, en particulier les primates. Soyons informés
sur les effets secondaires des vaccins pour nous, nos
enfants ou nos animaux. Il ne faut pas céder à la peur et
au chantage émotif des autorités gouvernementales,
médicales et des laboratoires pharmaceutiques!
La médecine officielle est obsédée par la vaccination. Cette vaccinomanie est, pour elle,
la solution incontournable pour prévenir les maladies, une protection contre presque tous
les maux.
Cette course effrénée pour trouver un vaccin contre toutes les calamités pesant sur
l'humanité nous apportera peut-être un vaccin contre les accidents d'autos...
Refuser de faire vacciner nos enfants ou nous-mêmes nous taxe le plus souvent
d'irresponsables, de mal renseignés ou d'un manque de civisme (un médecin a déjà dit à
l'auteure de ces lignes que son fils non vacciné était une menace pour les autres
enfants). Les parents des nouveau-nés subissent eux aussi une pression médicale et
sociale. On prophétise à intervalles réguliers une épidémie de rougeole ou de méningite
et les écoles se transforment en "piqueries"
Avant de partir pour l'étranger, les cliniques de vaccination conseillent parfois plus de dix
vaccins ou rappels, de quoi bousiller complètement le système immunitaire avant même
de partir en vacances.
Parler de vaccination avec un médecin c'est comme parler de végétarisme avec un
boucher. Le mythe de la protection par le vaccin est bien ancré dans notre société et ce
depuis fort longtemps. Mais depuis fort longtemps aussi, certains humains ont vu
l'illusion de cette pratique absurde.
Au début des années 70, le Dr. Paul-Emile Chevrefils, fut radié des cadres de sa
profession par le Collège des médecins suite è son opposition aux vaccins. Il n'hésitait
pas à déclarer, en 1965: "Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et
propagent la mort. La preuve scientifique qu'une provocation artificielle d'une maladie
empêche l'apparition d'une maladie naturelle n'a jamais été établie. Comme médecin, je
m'élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur".
Depuis 1885, année on appliqua à l'humain le premier vaccin vivant atténué contre la
rage, nombre de médecins et de chercheurs s'opposèrent à cette pratique. A la fin du
XIXe siècle, la "Ligue universelle des antivaccineurs" dénonça avec force les théories de
Pasteur, pour qui les microbes (germes, virus, etc) sont entièrement responsable de la
presque majorité des affections de l'humain et des animaux.
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Le monopole de la médecine officielle les fit taire et encore de nos jours, le silence est
imposé aux infidèles, des thérapeutes de médecines douces, mais aussi de nombreux
médecins, pédiatres, biologistes et chercheurs scientifiques.
Depuis les cent dernières années, cette médecine, avec l'aide des multinationales
pharmaceutiques, ignore les thérapies naturelles, écologiques ou holistiques pour faire la
"guerre" aux maladies par le biais des vaccins. Les analogies pour se "battre" contre les
microbes et les virus sont nombreuses dans le vocabulaire médical: l'agent, l'ennemi,
l'identification de l'agent, sa neutralisation ou sa destruction, offensive, contre-offensive.
Notre corps est un immense champ de bataille.
Avec sa vision mécaniste de l'humain, la médecine guerrière a provoqué une
augmentation alarmante de maladies auto-immunes, telles que le Sida, les otites,
l'asthme, l'herpès, les tumeurs, etc. Les infections bactériennes résistent de plus en plus
aux antibiotiques et les scientifiques, depuis les vingt dernières années, ont été confronté
à un nombre grandissant de maladies inconnues. De nouvelles formes d'hépatite ainsi
que des virus entraînant la leucémie et d'autres virus hémorragiques du type Ebola ont
font leur apparition.
René Dubos dans son livre Mirage of Health remarque à juste titre: " Le monde est
obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d'infortunées victimes chaque année. Mais
ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que des millions et des millions de jeunes enfants sont
infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladies. Les virus et les
bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s'agit d'autre chose."
On peut refuser les vaccins pour d'évidentes raisons de santé mais aussi pour des raisons
philosophiques, religieuses ou pour ses liens étroits avec la cruauté de l'expérimentation
animale.
Nous avons tous la capacité et la responsabilité de nous poser des questions sur
les vaccins. Nous n'avons pas à remettre à d'autres notre pouvoir. Il nous faut
prendre position. La santé de notre corps et celle de nos enfants nous
appartient, totalement.
IMMUNITÉ ARTIFICIELLE: RÉALITÉ OU ILLUSION?
La vaccination (ou l'immunisation, selon les termes de la médecine officielle) est basée
sur le concept que l'inoculation de bactéries, fragments de capsules bactériennes, toxines
bactériennes, virus ou fragments de virus, permet de procurer au corps humain les
moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu'elle ne survienne. Il
s'agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène
(le vaccin) qui s'exprime par la production d'anticorps (une protéine) spécifiques.
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Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des
réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne
la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d'examens après
les vaccins pour trouver les titrages d'anticorps. Pour pallier ces variations immunitaires,
on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois comme ce fut le cas pour la
rougeole au Québec, au printemps 1996.
Avant la vaccination, on ne s'informe pas vraiment pour savoir si elle sera bien supportée
par le vacciné. Mais même si celui-ci est apparemment en bonne santé, des problèmes
peuvent survenir:" Un enfant peut être en bonne santé et cependant, un dérèglement
récent ou ancien, discret ou évident, souvent même non apparent, de ses systèmes
neurovégétatif et hormonal est susceptible de déclencher des accidents de gravité
variable" (Dr. Kalmar)
Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace
d'épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné.
Chaque automne, au Canada, 4 millions d'individus se font vacciner contre la grippe, en
très grande majorité des personnes âgées, parfois de peu de résistance.
Après la vaccination, si on détectait la présence d'anticorps, cela indiquerait-il vraiment
une protection contre la maladie? Dans un article de l'Australian Journal of Medical
Technology, le virologue B. Allen rapporte le cas d'un groupe de soldats vaccinés contre
la rubéole qui, malgré qu'ils démontraient une production d'anticorps, contractèrent tout
de même la maladie, dans une proportion de 80%.
Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d'agents extérieurs, d'une
immunisation artificielle pour bien fonctionner? Cette immunisation artificielle
renforce-t-elle notre système immunitaire? Des substances associées à la
maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé?
Les virus ou protéines étrangères des vaccins ne sont pas filtrés par le système digestif
ou le foie, mais directement injectés dans le sang et le système lymphatique, leur
donnant un accès direct immédiat aux organes. Les vaccins court-circuitent donc
totalement nos systèmes naturels de défense.
Pour la médecine, c'est parce que le système immunitaire du bébé est immature qu'il doit
être vacciné. Mais ce bébé n'est-il pas plus vulnérable aux effets toxiques et allergènes
des vaccins justement parce que son système immunitaire est en formation? H. Buttram
et J. Hoffman, à la fois médecin et chercheur en biologie moléculaire affirme: " Les
vaccination en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le
système immunitaire de l'enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu'il ne
peut plus protéger l'enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d'autres maladies suite à une
dysfonction immunitaire"
Même son de cloche chez le professeur Pariente: "Stimuler sans cesse l'immunité n'est
pas sans danger".
Introduire dans un organisme des protéines étrangères à son code génétique viole
l'intégrité biologique et amène l'épuisement du système immunitaire et non l'immunité. Il
s'ensuit un déséquilibre écologique. Nous avons tous en nous des millions de germes
microbiens plus ou moins actifs et de virus à l'état latent qui sont en équilibre entre eux
et le système immunitaire. Modifier cet équilibre peut avoir des conséquences graves:
des microbes jusqu'à là non pathogènes peuvent alors devenir redoutables.
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De plus, les virus des vaccins ont des propriétés tout à fait particulières de résistance et
des pouvoirs de mutation. Deux virus peuvent se combiner et donner naissance à un
hybride bien plus dangereux. Ces virus peuvent rester à l'état latent dans l'organisme
pendant des années et ne devenir pathogènes qu'en présence d'un autre virus, d'un
agent physique ou chimique ou tout simplement d'une déficience des défenses
immunitaires.
En 1969, la revue suisse "Médecine et Hygiène" constatait que depuis la généralisation
de la vaccination contre la poliomyélite, certains virus qui jusque ne provoquaient que
des "infections asymptomatiques" devenaient de plus en plus souvent pathogènes. En
1974,le professeur Bastin déclarait que le vaccin contre la rougeole exalte le pouvoir
pathogène des adénovirus.
POUR METTRE EN MARCHE CES MÉTHODES DE PROTECTION CONTRE LA
NATURE, ON FAIT APPEL À QUOI AU JUSTE?
Les vaccins, tel que vu précédemment, sont composés de virus ou de bactéries. Par
exemple, celui pour la coqueluche provenait à l'origine, du mucus de la gorge d'enfants
atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades. On
retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des
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stabilisateurs et des agents de conservation. D'autres additifs: de la gélatine hydrolysée
è titre d'agent stabilisant, du phosphate d'aluminium, du phénol, du sorbitol, du formalin
et du thimerosal. Tous des ingrédients toxiques, cancérigènes et allergènes.
Le thimerosal, un dérivé mercuriel est utilisé comme préservateur. (En 2001, on retrouve
du mercure dans les vaccins contre la méningite, l'hépatite B et la grippe ). S'élimine
difficilement de l'organisme. Dans un étude publiée en 1979, dans le British Medical
Journal, 26 patients reçurent un sérum d'immunoglobulines contenant du thimerosal. 19
d'entre eux (soit 73%) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des
analyses d'urines. (Le mercure, un métal toxique, s'accumule dans le cerveau et peut
causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour
atteindre le cerveau du foetus et contamine les nourrissons par le lait maternel).
L'aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins.
Le formalin (solution contenant 37% de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins
antipoliomyélitique, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la
diphtérie, du tétanos et du DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos)
La toxici du formaldéhyde, du thimerosal et de l'aluminium est reconnue et dûment
prouvée par nombre d'études scientifiques.
Les fabricants de vaccins argumenteront que ces produits chimiques se retrouvent en
petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de
laboratoire, ce qui n'est pas pour nous rassurer. Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs
interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un
bébé de petite taille ou même pour un adulte.
En outre, on peut se demander si ces produits chimiques réussissent vraiment à atténuer
le pouvoir pathogène des virus et des bactéries ou à les tuer.
FINIES LES ÉPIDÉMIES GRÂCE AUX VACCINS?
Pour justifier les vaccinations massives, certains membres de la médecine scientifique
tentent de démontrer que la baisse de l'incidence des maladies est due à l'introduction
des vaccins qui firent disparaître, entre autre, la variole. La peste, qui faisait des millions
de morts autrefois n'existe presque plus et ce, sans qu'un vaccin n'y soit pour quelque
chose.
La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne
vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse.
Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant
les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse.
Nombre de graphiques démontrent à l'évidence que le nombre de cès causés par les
maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne
deviennent disponibles.
Quand elles ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une
alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut
social plus valorisant, etc.
Certains médecins préfèrent ignorer ces solutions du gros bon sens pour mettre de
l'avant les vaccinations de masse. Ils affirmeront, par exemple, qu'au Mali, les
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