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La médiation. Une comparaison européenne
Remerciements
Le travail sur la médiation dans les pays de l’Union Européenne n’aurait pas été possible
sans la contribution de nombreuses personnes. Nous remercions tout particulièrement l’équipe
de la délégation interministérielle à la Ville et Valérie Sagant du ministère délégué à la Ville qui
nous ont accompagnées tout au long de notre travail, en nous offrant un cadre de discussions
enrichissant.
Toute notre reconnaissance va également à Moussa Khedimellah qui a participé aux débuts
de l’étude, en particulier à la collecte des informations sur la Belgique et la Grande-Bretagne.
Nos remerciements s’adressent également a nos collègues du CADIS, en particulier son
directeur, Michel Wieviorka qui nous a accompagnées dans notre réflexion, ainsi que Mireille
Gaultier et Jacqueline Longérinas dont le soutien a été indispensable pour accomplir notre
tâche.
Nos idées doivent beaucoup à Oliver Frey pour les informations concernant l’Allemagne
et l’Autriche, Hans Boserup pour les parties sur le Danemark, la Suède et la Finlande, Lucio Luison
pour l’Italie, Adem Kumcu pour les Pays-Bas. L’étude a bénéficié des relectures précieuses de
Dietmar Loch, Marinus Pires de Lima, Paola Rebughini, James Beckford, Evelyne Baillergeau,
Jean-Michel Chaumont.
Nous tenons enfin à remercier tous ceux qui nous ont fait partager leurs pratiques de la
médiation sociale : Ferran Camps concernant la Catalogne, Lotte Rieder du PIB de Vienne,
Dieter Lünse du IKM de Hambourg.
Nikola Tietze, chercheur au Hamburger Institut für Sozialforschung, est membre associée au
Centre d’Analyse et d’Intervention Sociologique l’EHESS (Paris).
Elle travaille sur l’islam en France et en Allemagne.
Alexandra Poli est doctorante à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Elle a travaillé
sur des thèmes tels que l’éthique de la recherche en sciences sociales, l’immigration, les politiques
de la ville. Elle poursuit actuellement sa thèse sur les formes de reconnaissance de la
discrimination raciale en France.
Clarisse Buono est doctorante à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Elle a travaillé
sur les questions de l’éthique dans les sciences sociales, les politiques de la ville et la question
de l’immigration dans les sociétés postcoloniales.