COMMENT COMMENT VA LE ? LEVA MONDE MONDE ? ÉCRITURE ET CONCEPTION ARNAUD ANCKAERT, DIDIER COUSIN ET CAPUCINE LANGE Avec Arnaud Anckaert Collaboration vidéo Bénédicte Alloing, Manuella Anckaert, Juliette Galamez, Pierre Martin CONFÉRENCE-SPECTACLE / ROAD-MOVIE Conception : Arnaud Anckaert, Didier Cousin et Capucine Lange Production : Compagnie Théâtre du Prisme Coproductions : Ville de Grande Synthe Conseil Général du Pas-de-calais dans le cadre des Ch'mins de Traverse La Ferme d'en Haut à Villeneuve d'Ascq Coréalisation : La Virgule, Centre Transfrontalier de Création Théâtrale Tourcoing-Mouscron, Le Théâtre Forum Mont Noble à Nax (Suisse) Avec le soutien de la Condition Publique à Roubaix www.theatreduprisme.com Archives photo Bruno Dewaele Création musique Benjamin Collier Création Lumière et régie Olivier Floury Régie Simon Haratik COMMENT VA LE MONDE ? CONFÉRENCE-SPECTACLE / ROAD-MOVIE Conception : Arnaud Anckaert, Didier Cousin et Capucine Lange CRÉATION Les 12 et 13 décembre 2014 La Ferme d’en Haut, Villeneuve d’Ascq EN TOURNÉE Théâtre Dunois, Paris Les 4 et 11 décembre 2015 Momix, Festival International Jeune Public, Kingersheim Le 6 février 2016 Le Phénix, scène nationale, Valenciennes Les 5 et 6 janvier 2017 Projet atypique dans le parcours de la compagnie, à mi-chemin entre la conférence, le récit de voyage et le témoignage personnel. Ce spectacle raconte l’année de voyage d’Arnaud Anckaert et Capucine Lange en 1999 dans toute l’Europe à la rencontre de femmes et d’hommes de théâtre. Arnaud seul en scène, relate leur voyage, c’est un va et vient entre le vécu et le retour sur ce vécu, entre le souvenir et l’analyse, entre l’intime et l’universel. L’idée est de raconter l’histoire de cette traversée en Europe et de témoigner d’un voyage tout autant physique qu’intellectuel, en creusant autour de la notion d’apprentissage : un road movie documenté. Ecriture et conception : Arnaud Anckaert, Didier Cousin et Capucine Lange Avec : Arnaud Anckaert Collaboration vidéo : Bénédicte Alloing, Manuella Anckaert, Juliette Galamez, Pierre Martin Archives photographiques : Bruno Dewaele Création musique : Benjamin Collier Création Lumière et régie : Olivier Floury Remerciements : Guy Alloucherie, Alexandra Badea, Olivia Burton, Yannic Mancel Production Compagnie Théâtre du Prisme (Arnaud Anckaert et Capucine Lange) Coproduction Ville de Grande Synthe Conseil Général du Pas-de-Calais dans le cadre des Ch’mins de Traverse La Ferme d’en Haut à Villeneuve d’Ascq Coréalisation La Virgule, Centre Transfrontalier de Création Théâtrale Tourcoing-Mouscron, Le Théâtre Forum Mont Noble à Nax (Suisse) Avec le soutien de la Condition Publique à Roubaix -3- COMMENT VA LE MONDE ? CONFÉRENCE-SPECTACLE / ROAD-MOVIE Conception : Arnaud Anckaert, Didier Cousin et Capucine Lange Bruno Dewaele En 1999, nous, Arnaud Anckaert et Capucine Lange, cofondateurs de la compagnie du Théâtre du Prisme, sortions de l’école de Théâtre Lassaad à Bruxelles, qui enseigne la méthode Lecoq. Diplôme en poche, c’est bien beau... Mais que faire, que veut dire aujourd’hui se lancer dans la vie professionnelle ? Quelles questions se poser ? Quels choix faire ? Quels modèles rejeter ou adopter ? De quelles inspirations se nourrir ? Quels objectifs chercher à atteindre, quelles ambitions se donner ? Ces mots paraissent presque vertigineux, au sortir de la vie étudiante. -4- C’est portés par toutes ces questions, guidés par cette naïveté utopique et pourtant essentielle, -car on y revient toujours-, que germe en nous l’idée d’un « voyage autour du monde »... Ce sera un voyage en Europe, pour, avant de se jeter dans la vie professionnelle, aller voir « comment se fait le théâtre ailleurs », ailleurs qu’en France. Pour aller se nourrir, observer, se confronter à d’autres réalités dans un même métier, à d’autres pratiques de la même passion. Nous écrivons donc une lettre, une ‘belle lettre’, empreinte de cette jeunesse qui nous caractérisait, mais aussi d’une sacrée détermination... Déterminés nous l’étions, car nous envoyons 200 courriers dans toute l’Europe, nous accumulons les « petits boulots » pour faire des économies, nous allons démarcher auprès de notre ville, auprès de l’Europe aussi, et réussissons à monter un projet, à être financés pour cette action. Nous partons donc le 3 janvier 1999, dans un camion que nous avions retapé et aménagé pour y vivre, un vieux J5, itinéraire en poche, et caméra surtout, pour filmer ce voyage et les rencontres qui nous attendent. De la Suisse à la Finlande, en passant par la Slovénie, la Pologne ou la République Tchèque, sans oublier nos proches amis les luxembourgeois ou les allemands, nous roulons à travers 15 pays durant un an, à la rencontre de 35 compagnies ou maisons de théâtre. Des rencontres, nous en faisons, des plus ou moins mémorables. Bien sûr Armand Gatti, avec qui nous travaillons pendant deux mois, mais aussi Frank Soelhne, marionnettiste allemand bourré de talent et de gentillesse, Otso Kautto, professeur au conservatoire d’Helsinki, Boris Alujevik, directeur de théâtre en Slovénie, bouleversant par son désemparement face aux changements politiques. Mais aussi Maria Schejbal, Charles Joris, Marcel Nevin, Damiet Van Dalsum..., autant de noms qui résonent, qui évoquent des souvenirs, des trajectoires, des rencontres, des points de vue, des contextes politiques et culturels si différents les uns des autres. Autant de rencontres qu’on a filmées, le plus et le mieux possible, comme on pouvait. Nous revenons un an plus tard, avec 50 heures d’images, 10 cahiers de bord, tant de bouquins, d’affiches, de témoignages et de souvenirs, qu’on ne sait pas trop quoi en faire, et qu’on range tout ça, pour l’oublier un peu. Nous montons en 2001 Un cahier bleu dans la neige, d’après Daniil Harms, auteur russe que nous avions découvert avec Frank Soelhne en Allemagne, puis Avant la fin en 2002, d’Inge Scholl, sur la résistance de la jeunesse allemande et le mouvement de la Rose Blanche, que Gatti nous avait fait découvrir. Ce sera à ce moment-là notre manière de poursuivre ce voyage, de ne pas fermer ce chapitre. Aujourd’hui, c’est en ouvrant à nouveau les cahiers de bord, en visionnant les images, que nous renouons avec cette expérience, ce voyage presque initiatique que nous avons fait pendant un an, et surtout en choisissant d’en faire un spectacle, un solo d’Arnaud, Comment va le monde ? - afin de créer un pont entre le passé et le présent. Ce projet est à cheval entre la conférence, le cahier de bord et le témoignage personnel. Documentaire théâtralisé, théâtre documenté, théâtre du réel, croisement entre théâtre et documentaire, monologue ou conférence fictionnée, toutes ces notions se croisent dans cette forme hybride très personnelle. Arnaud retrouve pour cela Didier Cousin, son ami et compagnon de travail depuis 2001 déjà, et qui est familier de ce dialogue avec le réel puisqu’il fait partie de la Cie Hvdz dirigée par Guy Alloucherie -5- NOTE D’INTENTION Ce regard rétrospectif posé sur des souvenirs d’il y a 13 ans permet de mettre en perspective un chemin parcouru, d’énoncer un point de vue et de déplacer le regard. C’est un regard sur l’Histoire, une réflexion sur l’Europe, sur la culture, sur la manière d’apprendre ainsi que sur le théâtre bien évidemment. En partant de la subjectivité et en optant pour un récit personnel, le spectateur est ainsi interpellé par des questions simples sur les utopies et les illusions de ces jeunes de 23 et 24 ans que nous étions. Avec ce voyage « initiatique », nous découvrons ce qui accompagne l’envol : La chute. Ce qui précède la direction : la désorientation, ce qui répond à la maxime : « Avant de trouver il faut se perdre ». En traversant physiquement les frontières, c’est une part des frontières intimes qui est traversée. Il sera donc question de limite, de dépassement et parfois de renoncement. Comment se construit-on? Comment rendre compte d’un voyage? D’une identité? Comment peut-on partager une expérience? Durant un an, nous étions sans domicile et n’avions que le camion comme maison. La sensation de vivre en marge nous faisait ressentir le monde comme un appel vers l’inconnu : à la fois attirant et menaçant. Ce que nous faisions chaque soir comme un rituel, installer un camion pour la nuit, trouver un endroit pour se poser devenait en quelque sorte le fondement de notre quête : trouver une place. Mais où ? Avec qui ? Chaque nouvelle rencontre avec l’autre était en réalité une confrontation avec soi-même. Chaque déplacement, un déplacement en soi. En adresse directe au public, je restitue oralement cette histoire en passant de la lecture des cahiers de bord aux vidéos, des entretiens filmés aux images de voyage, ou aux lectures d’extraits d’oeuvres théâtrales, et j’embarque en quelque sorte le spectateur dans ce voyage. Le « spectacle », mais la notion est ici relative, retrace de façon chronologique les moments signifiants de ce voyage. Sur scène seront présents les cahiers de bord, les oeuvres ressources et rencontrées, toutes les archives liées à cette expérience, ainsi qu’une table et un écran. A partir de ce matériel autobiographique, nous avons fait un récit mixant ces supports entre eux. La recherche d’une cohérence à partir de ces éléments disparates se fait avec la technique du montage-collage. En filigrane se dessine une cartographie des valeurs et des illusions que nous avions traversées en cette fin de XX ème siècle. La phrase « Je suis un fils de la chute » pourrait tout résumer, à moins qu’il ne s’agisse plus que jamais de trouver du sens et de repenser le réel. Arnaud Anckaert -6- VIDÉO La vidéo est présentée de façon brute : utilisation d’images 8mm analogiques numérisées, afin de donner une facture documentaire à ce spectacle en travaillant sur une esthétique du réel. Elle alterne les nuits et les jours, les déplacements et les arrêts, la campagne et la ville, ainsi que les entretiens. Le voyage devient ainsi visible pour le spectateur. Les moments de vie, les voyages, les regards sur le monde et sur soi sont montés. Des séquences sont retraitées pour trouver une cohérence et un dialogue avec le texte. Ce traitement intime de l’image évoque le souvenir, il est monté par Manuella Anckaert, ma sœur, qui est journaliste reporter. Cette proximité avec la monteuse me permet d’avoir un dialogue constructif. Son envie professionnelle de quitter les grandes chaines de telévision pour se consacrer à un documentaire de création sur les Orphelins des narcotrafiquants au Mexique a été déterminant pour moi. UTILISATION DU SON Bruno Dewaele Nous utilisons à la fois le micro et la voix off. Le son des entretiens est retraité. Nous utilisons la musique qui correspond à ce que nous écoutions dans le camion lors du voyage. -7- L’ÉQUIPE ARTISTIQUE Arnaud Anckaert metteur en scène J’ai un nom à consonance Belge mais je suis né en France près de Paris, le 17 février 1975. Très vite, mes parents viennent s’installer à Armentières, puis ce sera Roubaix dans le nord de la France. J’ai une scolarité difficile car l’école n’est pas un cadre pour moi, je change souvent d’établissement. Au lycée je fais le mur pour aller d’abord aux cours d’arts plastiques, et puis dans les théâtres et les cafés la nuit. Je commence le théâtre au lycée le jour de la mort de Kantor. J’ai beaucoup cherché un maître... Ça a été une fascination pour Grotowski, quelques échanges violents avec Eugenio Barba, mais surtout une compagnie avec des copains, dont je suis le metteur en scène. Toujours dans le désir d’apprendre, je pars pour trois ans à Bruxelles chez Lassaad, le Lecoq Belge. Je découvre le Mouvement. Je continue à faire des spectacles avec la compagnie car je veux garder mon indépendance. A l’école nous décidons de faire le tour du monde -rien que ça- pour découvrir des façons de travailler, finalement ce sera le tour d’Europe pendant un an avec un camion acheté à crédit. Je découvre une autre Géographie. En Suisse je rencontre Armand Gatti, maître Anarchiste, avec qui je participe au spectacle Incertitudes, feuille de brouillon écrit dans la tempête pour dire Jean Cavaillès. Je découvre la poésie et la résistance. En revenant de Norvège fin 99, je me fixe dans le Nord, et monte plusieurs spectacles. Comme il me manque quelque chose pour me sentir un peu plus « metteur en scène », je fais l’Unité Nomade au Conservatoire National de Paris. J’apprends dans l’adversité, d’abord avec Claude Stratz qui voulait le mieux pour nous mais qui décèdera avant la fin de la formation. Puis, après les passages violents de Kama Ginkas à Moscou et l’assistanat de Matthias Langhoff, je fais un dernier stage avec Jean-Pierre Vincent et Bernard Chartreux qui transmettent leur vision du théâtre public. J’approfondis le texte. Depuis toujours je fais des spectacles croisant le mouvement, le théâtre, le cirque, la vidéo ou la musique. Aujourd’hui c’est à l’espace, au texte et à l’acteur que je m’intéresse... Je cherche des moments qui nous rendent plus intensément humains, c’est pour cela que je suis souvent énervé devant l’état du monde. C’est pour cela que je fais du théâtre. Pour dire, émouvoir, penser et partager. Spectacles créés : Simon la Gadouille, Rob Evans (2015) - Comment va le monde ? (2014) - Constellations, Nick Payne (2013) - Sœur de, Lot Vekemans (2012) - Orphelins, Dennis Kelly (2011) - Débris, Dennis Kelly (2011) - Appris par corps (2010) - Ma/Ma (2009) - Ha la la …!, d’après Eugène Ionesco (2009) - Les Chaises, Eugène Ionesco (2008) - La Ménagerie, d’après La ménagerie de verre, de Tennessee Williams et Nœuds, de Ronald Laing (2007) - Disco Pigs, Enda Walsh (2004) - Pulsion, Franz Xaver Kroetz (2003) - Avant la fin, d’après La Rose blanche, d’Inge Scholl, Peter Weiss, Primo Levi, Bertold Brecht, Klaus Mann (2001) - Un cahier Bleu dans la neige, d’après Daniil Harms et Vaguinov (2001) - Un riche trois pauvres, Louis Calaferte (1998) -8- CAPUCINE LANGE Je crée la compagnie Théâtre du Prisme avec Arnaud Anckaert à la sortie du lycée. Forte de cette expérience, suite au conservatoire régional de Roubaix, j’intègre à Bruxelles l’école Internationale de Saïdi Lassaad qui nous apprend, selon la méthode Lecoq, à être ‘artisan du théâtre’. C’est cette parole qui m’a le plus marquée durant ces deux ans. Je monte alors un projet de voyage en Europe, pour aller à la rencontre de femmes et d’hommes de théâtre. Nous partons avec Arnaud Anckaert durant un an dans un camion, de l’Irlande à la Slovénie, en passant par la Finlande ou la République Tchèque. J’ai fait partie de toutes les créations du Prisme et j’ai travaillé en tant que comédienne, jusqu’en 2008. En 2004, Disco Pigs, d’Enda Walsh, fut un choc de plateau, ma plus belle expérience de comédienne. J’ai également été assistante metteur en scène. J’ai pris en charge dès la création du Prisme et parallèlement au jeu, la responsabilité administrative, et progressivement, la gestion de structure et de projets m’a davantage plu que le plateau. Début 2010, j’ai décidé de me consacrer entièrement à la direction de compagnie. J’ai une connaissance approfondie des relations aux artistes et aux techniciens, et de ce que vit une équipe en création, ayant été comédienne pendant 15 ans. La particularité de mon double parcours m’a appris à dialoguer avec le metteur en scène, à connaître cette relation privilégiée et exigeante entre une codirectrice et un artiste afin de mettre en place un projet artistique et le traduire structurellement. Formation 2012 à 2015 Formation individuelle en équipe avec La Belle Ouvrage / Modules 1, 2 et 3 / 100 heures « Développer ses compétences de codirecteurs de compagnie de théâtre » 2013/2014 Formation collective avec La Belle Ouvrage / 11 jours sur une année / 78 heures «Pilotages, mode(s) d’emploi », à destination de directeurs de structures 2011 Formation collective avec La Belle Ouvrage / 12 jours sur une année (78 heures) « Perfectionner ses pratiques professionnelles d’administration et de communication » 2001à 2004 Cycle de modules de formations à l’Agecif : Initiation à l’administration d’une compagnie / Comptabilité et finance / Gestion prévisionnelle sur Excel Marketing et communication / Elaborer un contrat du spectacle / Droits d’auteur Stratégies de production et de diffusion -9- DIDIER COUSIN Créations - Les Atomics par la cie Hendrik van der Zee / Mise en scène : G.Alloucherie - Les Veillées de 2003 à 2012 par la cie Hendrik van der Zee / Direction artistique : G.Allouherie - Les petits animaux de W.Hamilton par la Fabrique du vent / Mise en scène : D.Saint Maxent - l’interprète, témoin de l’intime Chorégraphie : Pascal Allio - Base 11/19 par la cie Hendrik van der Zee / Mise en scène : G.Alloucherie - La tournée des grands ducs par les cie Hendrik van der Zee et Complex Capharnaum - Pulsions de Kroetz par le Théâtre du Prisme / Mise en scène : A.Anckaert - Les bras de la vénus de Milo par La Tarande et H.Lesieur - Un cahier bleu dans la neige d’après Daniil Harms par le Théâtre du Prisme Mise en scène : A. Anckaert - Chute(s) de G .Motton par Eolie songe / Mise en scène : T.Poquet - Brien le fainéant de G.Motton par la Fabrique de Théâtre / Mise en scène : Y.Brulois - Le tour du propriétaire par le Théâtre de la Bardane / Mise en scène : F.Delrue - Quoi, l’éternité ? par la compagnie Hendrick van der Zee / Mise en scène : G.Alloucherie - La visitation par le Théâtre de la Bardane au Musée de Valenciennes - Histoires d’Irlande par la Fabrique de Théâtre / Mise en scène : Y.Brulois - La visitation par le Théâtre de la Bardane au Musée de Calais - Korbès de Tankred Dorst par le Théâtre de la Bardane / Mise en scène : F.Delrue - Chez panique d’après Topor par le Ballatum théâtre Mise en scène : G. Alloucherie et E.Lacascade - Woyzcek de Buchner par les Fous à réaction (associés) / Mise en scène : O.Menu et V.Dhelin - La visitation par le Théâtre de la Bardane au Musée Matisse - Le roi Lear de Shakespeare par les Fous à réaction (associés) Mise en scène : O.Menu et V.Dhelin - Ivanov de Tcheckhov par le Ballatum Théâtre / Mise en scène : E.Lacascade - Help ! par le Ballatum Théâtre / Mise en scène : G.Alloucherie et E.Lacascade - Si tu me quittes, est ce que je peux venir aussi ? Mise en scène : G. Alloucherie et E.Lacascade - Les saisons de M.Pons / Mise en scène : Wladislaw Znorko - Le chiffonnier / écriture et mise en scène :Wladislaw Znorko Assistanat à la mise en scène Le chemin oublié par la Compagnie de l’Oiseau Mouche Ecriture et mise en scène : F.Cervantès Les yeux ronds par la Compagnie de l’Oiseau Mouche / Mise en scène : D.Hennebelle Ce pays qui respire et qui bat sous ma peau par la Tarande / Mise en scène : A.Sajalolli KVETCH de Berkof / Mise en scène : T.Poquet Mise en scène Vestiges Compagnie les Cendres rouges -10- MANUELLA ANCKAERT Formation - Contrat de professionnalisation Journaliste TV au CFPJ, Paris / Octobre 2010-2012 - Postgraduate diploma en journalisme à la London School of Journalism, Londres, Angleterre / 2009-2010 - Licence de psychologie, spécialité en psychopathologie – stage au Centre de Placement Immédiat (Protection Judiciaire de la Jeunesse) et mémoire « La délinquance comme recherche identitaire ». Université Catholique de Lille / Juin 2009 Réalisations Préparation d’un documentaire sur les orphelins du narco-trafic au Mexique Réalisation de la bande annonce du festival Prise Directe, festival de lectures de théâtre contemporain, février 2013. Compagnie le THEATRE DU PRISME, Villeneuve d’Ascq Rédactrice et jri, Février et Mars 2013 PALASS TV, Paris Enquête dans nos assiettes, 90’ Enquêtes, TMC Journaliste reporter d’image Septembre 2010 à Décembre 2012 ACTUAL PROD aujourd’hui GIRAF PROD, agence de presse audiovisuelle. En alternance au CFPJ, Centre de Formation et de Professionnalisation des Journalistes, Paris - JRI pour le magazine Mamans après 40 ans, TEVA - Enquêtrice pour Mohamed Merah, parcours d’un terroriste français Enquête Exclusive, M6 - Enquêtrice pour L’Amour jusqu’au bout de la mort, TF1 reportages, TF1 - JRI pour le documentaire Crèmes anti-âge : coup de bluff ou coup de jeune ? Les docs du dimanche, France 5 - JRI pour le reportage Au cœur des urgences pédiatriques Zone Interdite, M6 - JRI et enquêtrice pour le documentaire La France des sous-sols : quand l’immobilier devient trop cher , Quartier Général, Direct 8 - Réalisatrice de L’amour de vacances peut-il durer ? 100% Mag, M6 - Journaliste pour le reportage Zahia, Patrizia et les autres Enquête Exclusive, M6 - Journaliste pour Papas Quinquas 100% Mag, M6 - Enquêtrice pour le documentaire Décrocheurs : les oubliés de la République Infra Rouge, France 2 -11- BÉNÉDICTE ALLOING Vjing/création vidéo : Création de visuels et de scénographies, mix en direct lors de l’évènement. Théâtre : création de vidéo intégrées au spectacle en collaboration avec le metteur en scène (Cie Ta-Zoa, Farid’O, L.U.D.O., Zarhbat, A feux doux, I.R.E.A.L.) Musiques actuelles : Création de scénographie et de vidéo thématiques. Pour des lieux et festival : Aéronef, Condition Publique, Tri Postal, Cave aux Poètes, Grand mix, Maison Folie de Wazemmes, Dour festival, Astropolis, Nuits secrètes, festival Panorama... Pour des artistes : Birdy nam nam, Wax Tailor, Toxic Avenger. Évènementiel : Mobilis, Vivacom, Manganelli Ateliers jeune public : Animation d’atelier de découverte de l’outil vidéo à destination de jeunes entre 10 et 20 ans. Atelier reportage : Apprentissage des outils de prise de vue et de prise de son. Ecriture et conduction d’interview. (Association Koan et DDTF) Atelier Vjing : Création de boucles, initiation au logiciel de vidéo live. (projet international Solid’art) Atelier retouche photo : découverte du logiciel gratuit Gimp (retouche, photo montages...) Captation de spectacles : réalisation de DVD promotionnels et de bandes annonces Les Femmes en marches, Farid’O, Ta-ZOA , le festival Hip Hop Days, Svinkels... Parcours scolaire 2004 Maîtrise Ingénierie des Arts de l’Image et des Spectacles Vivants (Valenciennes) 2003 Licence Ingénierie des Arts de l’Image et des Spectacles Vivants (Valenciennes) 2002 BTS Audiovisuel option image PIERRE MARTIN Création vidéo : Collectif «Si vous pouviez lécher mon cœur» (Tristesse Animal Noir [2011], Les Particules élémentaires [2013], Je ne vous ai jamais aimés [2014]) Compagnie Thec (Antoine Lemaire) Compagnie La Barque (Frédéric Tentellier) Compagnie Vélum Tiphaine Raffier Alphafilms, association de réalisation audiovisuelle Expérimentation : Recherches sur la typographie massive, le journal filmé et les drones. Formation : Chargé de cours en communication à l’Université Lille III Rédacteur de conférences et correcteur Ecole supérieure de journalisme (ESJ) de Lille Master II en littérature contemporaine -12- LE THÉÂTRE DU PRISME Nous créons la compagnie Théâtre du Prisme en 1998 à Villeneuve d’Ascq. Nous affirmons dès le début un goût pour les écritures contemporaines, en prise avec le réel, telles que celles de Kroetz, d’Enda Walsh, de Dennis Kelly, de Nick Payne, d’Alice Birch ou de Duncan Macmillan. Notre particularité et le cœur de notre travail, c’est le défrichage des textes, la découverte d’auteurs. Nous nous voulons structure ouverte et collaborons avec d’autres artistes pour développer des projets originaux. La mise en scène du spectacle de cirque Appris par corps, qui a fait le tour du monde, en est un exemple, ou la création du Festival Prise Directe. Il est essentiel pour nous de partager notre travail et notre démarche avec le public, en accompagnant la création par des rencontres et des stages, mais aussi par des formes intimes, dans un rapport direct au spectateur. Le sens et l’ampleur de ce lien avec le public se revitalise sans cesse au cœur d’une maison de théâtre, de son projet. Cet endroit de rencontre, nous pouvons le questionner et l’éprouver avec la Comédie de Béthune CDN Nord/Pas-de-Calais, structure avec laquelle nous sommes partenaires depuis 2014. Ce qui intéresse principalement Arnaud, c’est que l’interprète soit au cœur du spectacle, et que la relation qu’il entretient avec le public soit privilégiée. Ce qu’il recherche, c’est que la fabrication du théâtre soit invisible. En 1998, nous montons Un riche trois pauvres, de Louis Calaferte, spectacle qui situe tout de suite l’univers de la compagnie : une écriture acide, un jeu en ouverture avec le public. En 1999, nous voyageons dans un camion à travers l’Europe durant un an, à la rencontre de femmes et d’hommes de théâtre, notamment Armand Gatti. C’est lors de cette année que nous posons les bases de notre identité d’artistes. Au retour de ce voyage, nous montons au Grand Bleu à Lille Un cahier bleu dans la neige, d’après Daniil Harms. Les thématiques se précisent, celles de la chute et de la responsabilité, et un certain humour politico-absurde. Nous aimons les écritures inédites, et, suite au spectacle Pulsion, de Frantz-Xaver Kroetz, c’est Disco Pigs de l’Enda Walsh, en 2004, qui confirme l’identité artistique d’Arnaud, à savoir celle d’un metteur en scène qui découvre des auteurs et des autrices, anglophones notamment, pour les créer en France pour la première fois. En 2006, nous entamons un volet sur la famille avec La Ménagerie, d’après Tennessee Williams, que nous présentons à la rose des vents, à la ferme du Buisson et au Théâtre National de Strasbourg. Après un détour par Ionesco - Les Chaises et Ha la la ! -, nous poursuivons ce cycle avec Ma/Ma en 2009, un duo dansé qui questionne la filiation. En 2010, nous sommes associés pour 4 ans au Centre Culturel Daniel Balavoine à Arques, et menons un travail de territoire. Nous approfondissons la thématique de la famille en 2011 avec Orphelins, de Dennis Kelly, en première création française, et Soeur de en 2012, de Lot Vekemans. C’est l’occasion pour nous d’affirmer un théâtre immédiat, avec des textes en prise directe avec la réalité. Prise Directe, c’est le nom que nous donnons au festival de lectures, de spectacles et de performances, que nous mettons en place tous les deux ans depuis 2013. Nous commandons la traduction du texte Constellations, de Nick Payne, à la dramaturgie singulière -un système de variations quasi musicales-, afin d’une nouvelle fois, faire découvrir au public en première française le texte d’un jeune auteur anglais. Nous devenons en 2014 compagnie partenaire de La Comédie de Béthune, Centre Dramatique National Hauts-d-France, et créons Comment va le monde ?, une conférence-spectacle à mi-chemin entre le roadmovie et le témoignage personnel, qui retrace notre voyage européen à la rencontre de compagnies de théâtre. En 2015, nous créons un spectacle jeune public, de Robert Evans, Simon la Gadouille. Un récit bouleversant qui a trouvé des résonances fortes dans l’histoire personnelle d’Arnaud, celles de la chute et de la réconciliation. En 2016, nous découvrons le texte de la jeune autrice anglaise Alice Birch, lauréate du George Divine, jouée au Royal Court de Londres et à la Schaubühne : Revolt. She said. Revolt again. Nous le faisons traduire par Sarah Vermande pour le créer en première française à La Comédie de Béthune. C’est une pièce mosaïque, un manifeste sur les femmes et les hommes du 21ème siècle. Une tentative révolutionnaire face à l’incompréhension du monde. En 2017, nous découvrons Lungs, de Duncan Macmillan, le faisons traduire par Séverine Magois avec qui nous collaborons depuis de nombreuses années, le titre français sera Séisme. Le texte, longue conversation d’un couple qui se questionne sur le fait d’avoir un enfant dans le monde d’aujourd’hui, est remarquablement bien construit, car à travers une succession d’ellipses, nous assistons à toute leur histoire dans un langage simple et stimulant pour l’imagination du spectateur. Arnaud Anckaert et Capucine Lange -13- PROCHAINE CRÉATION SÉISME de Duncan Macmillan Première création française C’est l’histoire de F et H, couple dont nous parcourons la vie à travers une longue conversation, ou plutôt plusieurs conversations, sur l’idée d’avoir un bébé, dans un monde où les catastrophes écologiques, les névroses familiales, la multiplicité des modèles, engendrent de la pression et de la peur vis à vis du futur. Le texte est remarquablement bien construit, car à travers une succession d’ellipses, nous assistons à toute l’histoire d’un couple dans un langage simple et stimulant pour l’imagination du spectateur. Traduction Séverine Magois Avec Mounya Boudiaf et Maxime Guyon SPECTACLES EN TOURNÉE REVOLT. She said. Revolt again. d’Alice Birch (2016) Constellations de Nick Payne (2013) Première création française C’est une pièce mosaïque, un manifeste sur les femmes et les hommes du 21ème siècle, une tentative révolutionnaire face à l’incompréhension du monde. REVOLT n’incite pas à travailler, à se marier ou à se reproduire. Mais à révolutionner nos relations intimes, professionnelles et politiques dans un monde globalisé. Dans une série de short-cuts, les rapports de force habituels sont inversés. Un puzzle de micro-fictions d’un radicalisme non dénué d’humour. Première création française Marianne est physicienne. Roland est apiculteur. Constellations est l’histoire de leur rencontre, de leur relation, de leur séparation, de leurs choix face à l’adversité. En partant du principe qu’à chaque instant un même événement est susceptible de connaître plusieurs issues différentes, Constellations nous ouvre les portes d’un univers non linéaire. Simon la Gadouille de Rob Evans (2015) Orphelins de Dennis Kelly (2011) Dès 9 ans Au retour des vacances de Pâques, l’école compte deux nouveaux élèves : Martin et Simon, qui se lient d’amitié et deviennent vite inséparables. Quand Simon tombe dans la vase, il devient « La Gadouille ». À travers ses souvenirs d’enfance, Martin nous raconte une amitié essentielle construite autour d’un sentiment d’exclusion. Première création française Orphelins fait partie de ces pièces anglo-saxonnes qui nous racontent le monde d’aujourd’hui à travers le prisme d’histoires et de situations fortes ancrées dans le réel. Prenant racine dans un contexte urbain où la relation à l’étranger se pose comme une menace, c’est un huis clos familial qui traite d’une question morale forte: les liens familiaux ont-ils la priorité sur la responsabilité civique ? RÉPERTOIRE DE LA COMPAGNIE Sœur de de Lot Vekemans (2012) Disco Pigs d’Enda Walsh (2004) Débris de Dennis Kelly (2011) Pulsion de Franz Xaver Kroetz (2003) Appris par corps (2010) Collaboration avec la compagnie Avant la fin lecture musicale d’après Inge Scholl, Peter Un loup pour l’Homme – cirque Weiss, Primo Levi, Bertolt Brecht et Klaus Mann (2001) Ma/Ma (2009) Un cahier Bleu dans la neige d’après Daniil Harms et Vaguinov (2001) Ha la la …! d’après Eugène Ionesco (2009) Un riche trois pauvres de Louis Calaferte (1998) Les Chaises d’Eugène Ionesco (2008) La Ménagerie d’après La ménagerie de verre, de Tennessee Williams (2007) -14- SOUTIENS ET PARTENAIRES La Compagnie Théâtre du prisme, Arnaud Anckaert et Capucine Lange, est conventionnée par : Le Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Hauts-de-France Le Conseil Régional Hauts-de-France Soutenue par : Le Département du Pas-de-Calais au titre de l’implantation Le Département du Nord La Ville de Villeneuve d’Ascq Compagnie partenaire de La Comédie de Béthune, CDN Hauts-de-France. La compagnie est soutenue sur certains projets par : ARTCENA ; l’Union Européenne ; la Mairie de Paris ; l’Adami ; l’ONDA ; Lille 3000 ; la Spedidam ; la fondation d’entreprise OCIRP Compagnie partenaire des lycées Pasteur à Lille (option lourde), et Ribot à Saint-Omer (option facultative). Nos collaborateurs et partenaires depuis 1998 (hors actions culturelles, sensibilisations, ateliers et stages) : Dans les Hauts-de-France : Le Théâtre du Nord, CDN de Lille/Tourcoing Hauts-de-France La Comédie de Béthune, CDN Hauts-de-France La rose des vents, Scène nationale Lille métropole Villeneuve d’Ascq Tandem, Scène nationale Arras/Douai Le Bateau Feu, Scène nationale, Dunkerque Le Phénix, Scène nationale de Valenciennes Culture Commune, Scène nationale du Bassin minier du Pas-de-Calais Le Channel, Scène nationale, Calais Le Grand Bleu, Lille Le Vivat, scène conventionnée danse et théâtre, Armentières Le Prato, Théâtre international de quartier, Pôle National des Arts du Cirque, Lille Compagnie de l’Oiseau Mouche / Théâtre Le Garage, Roubaix Théâtre La Virgule, Centre transfrontalier de création théâtrale de Tourcoing-Mouscron La Condition Publique, Manufacture culturelle, Roubaix Centre Culturel d’Agglomération Daniel Balavoine, Arques Le Temple, Bruay-la-Buissière Le Centre Culturel Georges Brassens, St-Martin-Boulogne La Ferme d’en Haut, Fabrique culturelle, Villeneuve d’Ascq La Maison Folie Beaulieu, Lomme La Maison Folie Wazemmes, Lille Le Palais du Littoral, Grande Synthe La Verrière / Théâtre de la Découverte, Lille La Comédie de l’Aa, Centre culturel de Saint-Omer Le Zeppelin, Saint-André L’Escapade, Hénin-Beaumont Les Pipots, Boulogne-sur-Mer L’Antre 2, Lille Université Lille III, Villeneuve d’Ascq La Piscine / Atelier Culture, Dunkerque Les Scènes mitoyennes, Caudry/Cambrai La Scène du Louvre-Lens Lille 3000 Travail et Culture Le Manège, Scène nationale de Maubeuge Le Festival Les Théâtrales Charles Dullin Le Théâtre de Rungis (94) La Manufacture, Avignon Présence Pasteur, Avignon Ville d’Ermont Ermont sur Scènes Le festival théâtral du Val d’Oise Le Théâtre de la Tête Noire, scène conventionnée, Saran Le Théâtre Brétigny - dedans/dehors, scène conventionnée, Brétigny-sur-Orge Le Théâtre de Suresnes Jean Vilar Le TAPS, Strasbourg Le Théâtre de l’Ephémère, scène conventionnée, Le Mans L’atelier à spectacle, scène conventionnée de l’Agglo du Pays de Dreux, Vernouillet L’Onde, Théâtre et Centre d’art, Vélizy-Villacoublay La Ferme de Bel Ebat, théâtre de Guyancourt Théâtre du Cloître, scène conventionnée de Bellac L’ABC, scène pluridisciplinaire, Dijon L’Espace Jéliote, scène conventionnée, Oloron Sainte-Marie Le Théâtre de Lisieux Pays d’Auge Le Théâtre du Château de la Ville d’Eu, scène conventionnée Théâtre Jean Vilar à Bourgoin-Jallieu Théâtre municipal de Beaune Université François Rabelais à Tours Villes en Scène, département de la Manche Le Rayon Vert, Théâtre municipal, scène conventionnée, Saint-Valery-en-Caux Théâtre La Madeleine, scène conventionnée, Troyes Le Forum Rexy, Riom Le Théâtre de Saint Lô Momix, Festival international Jeune Public, Kingersheim Saumur Agglo, Montreuil-Bellay Scènes de Territoire, Agglomération du Boccage Bressuirais, Bressuire Théâtre de Chartres Théâtre de Cachan Jacques Carat Théâtre des Sources, Fontenay-aux-Roses L’équinoxe, Scène nationale de Châteauroux Ville de Nanterre,Saison jeune public Théâtre Romain Rolland, Villejuif Act’Art, Scènes rurales, La Rochette Le Théâtre de l’Ile, Nouméa Le Forum Mont Noble, Nax (Suisse) Le Théâtre de Valère, Sion (Suisse) Spectacle Français, Bienne (Suisse) Le Reflet, Théâtre de Vevey (Suisse) Le Théâtre Benno Besson, Yverdon-les-Bains (Suisse) Equilibre-Nuithonie, Villars-sur-Glâne (Suisse) Hors Région Hauts-de-France : La Ferme du Buisson, Scène nationale de Marne-la-Vallée Le Théâtre National de Strasbourg Le Théâtre Dunois, Paris Théâtre Le Passage, scène conventionnée, Fécamp Théâtre de la Chapelle St Louis, Rouen Le Festival Chaînon Manquant La Nef - Le Relais Culturel, Wissembourg -15- Mise en Scène : Arnaud ANCKAERT Production : Théâtre du Prisme FICHE TECHNIQUE PLATEAU DIMENSIONS : ( mini ) DIVERS : IMPORTANT : Ouverture : Largeur Mur à mur : Profondeur ( derrière le R P F ) : Hauteur sous Perches : Plateau Nu ou Tapis de danse Noir 2 jeux de Pendrillons en velours Noir 1 Frises en velours Noir 1 Rideau de fond en velours Noir En cas de plateau en pente nous contacter 6,00 m 8,00 m 7,00 m 4,00 m SON 1 micro Type SM58 + Pied avec perchette 2 micro Type PZM ( matériel Cie) 1 Console numérique ( 01V 96 ) MIXAGE : 4 points de diffusion + Sub DIFFUSION : − 2 enceintes (typePS 15, MTD 112, DS 15) en retour − 1 façade 2 enceintes (type PS 15, MTD 112 ) + subs La Compagnie fournira : 1 carte son + l'ordinateur SOURCES : Certaines adaptations étant possibles, nous contacter avant toute location de matériel. VIDEO − 1 câbles VGA ( de la régie au plateau ) + 1 câble DMX La Compagnie fournira : 1 V.P., 1 Shutter, les ordinateurs éventuels, 1 support V.P., 1 Ecran LUMIERE JEU D’ORGUE : GRADATEURS : PROJECTEURS : 24 Circuits à mémoires avec séquentiel et patch électronique ( type Avab ) 16 de 16 A ( 3 Kw.) - 12 PC 1 Kw. Halogène - 6 PC 650W. Halogène - 2 Découpes Extra Courtes 1 Kw. ( Type 613 SX ) - Eclairage de salle reprise sur le jeu - Filtres, Gaffeur Alu, 6 Pieds ou Echelles, …. ( voir plans ) Certaines adaptations étant possibles, nous contacter avant toute location de matériel. LOGES − Loges pour 2 comédiens ( 1 comédiens + 1 comédienne). Les loges doivent être chauffées et équipées de douches si possible. − Prévoir bouteilles d'eau pour chaque représentation IMPORTANT - L'implantation Lumière et Pendrillons devra être réalisée avant notre arrivée - Prévoir un balisage lumineux des coulisses. - La régie Son / Lumière devra être en salle durant la représentation BESOINS DIVERS - Important : les frais engagés pour l’entretien quotidien des costumes reste à la charge de l’organisateur - Prévoir Accès camion ( 6 M 3 ) + Parking CETTE FICHE TECHNIQUE FAIT PARTIE INTEGRANTE DU CONTRAT -16- PLANNING PREVISIONNEL : ( Valable dans les conditions respectant cette fiche technique et avec Implantation Lumière et Pendrillons faîtes avant notre arrivée) 1 ère Période ( 4 heures ) Montage Décor,Vidéo et Son, Réglage Lumière - 1 Régisseur Lumière / Son - 1 Electricien - 1 Régisseur Plateau / Machiniste - 1 Cintrier / Machiniste (si nécessaire) - 1 Habilleuse ( entretien ) 2 ème Période ( 2 heures ) Fin Réglage Lumière, Réglage Son Vidéo, Conduite - 1 Régisseur Lumière - 1 Régisseur Son - 1 Régisseur Plateau / Machiniste - 1 Cintrier / Machiniste (si nécessaire) 3 ème Période ( 2 heures ) Raccords Jeu / Tech - 1 Régisseur Lumière / Son 4 ème Période ( Représentation, durée : 1h25 ) - 1 Régisseur Lumière / Son 5 ème Période ( 2 heures env. ) Démontage et Chargement 1 Régisseur Lumière / Son 1 Machiniste Certaines adaptations de planning étant possible nous contacter pour finaliser celui-ci CONTACTS Régie Générale : Olivier Floury Tel : 06 98 48 87 39 mail : [email protected] CETTE FICHE TECHNIQUE FAIT PARTIE INTEGRANTE DU CONTRAT -17- Codirection Arnaud Anckaert et Capucine Lange [email protected] Administration Mathilde Bouvier [email protected] Diffusion et accompagnement Camille Bard 2C2B Prod [email protected] Relations presse Zef - Isabelle Muraour + 33 (0)6 18 46 67 37 [email protected] 12 rue Devred 59650 Villeneuve d’Ascq + 33 (0)3 20 56 15 12 www.theatreduprisme.com