LP GRH - Éco du travail – Chap 3 2
Mais aussi les politiques de formation pour développer les compétences de la main
d’œuvre
Politique sur les contrats d’apprentissage
Création en 2004 des contrats de qualification qui sont devenus les contrats de
professionnalisation
Création du DIF
Dispositif de VA
b) Politique d’inspiration libérale
2 axes principaux :
Action sur le coût du travail : politique repose essentiellement allègement de
charges : choix de privilégier les allègements de charges sur les bas salaires
Contrats aidés pour faciliter l’emploi des catégories spécifiques en difficultés.
Action sur la flexibilité : plus de flexibilité dans la gestion des effectifs.
1986 : autorisation administrative de licenciement supprimé par Chirac.
Sarkozy a mis en place la rupture conventionnelle (amiable) du contrat de travail
Flexibilité du temps de travail avec des lois de modulation du temps de travail
Heures supplémentaires avec la loi TEPA (2007)
c) Les politiques d’inspiration Keynésienne
Elles ne visent pas spécialement le marché de travail mais plutôt l’ensemble de
l’économie.
Elles ne visent pas spécialement le marché de travail mais plutôt l’ensemble de l’économie
Politique macro économique, objectif : relancer l’activité pour faire revenir la
croissance et donc créer des emplois. Politique de relance de 1981 où on a crée des postes
de fonction publique. Plan de relance.
d) Les politiques de réduction du temps de travail
Objectif : création d’emploi. Les économistes disent : d’un côté, on a eu des gains de
productivité très important, alors que la réduction du temps de travail s’est arrêtée.
En baissant l’horaire tout les salariés, on pouvait créer de nouveaux poste.
Loi Aubry (2000) de 39 à 35h.
Risque de la loi : baisse des salaires donc perte de pouvoir d’achat. Pour les bas salaires, il
n’y a pas eu de baisse significative, mais il n’y a pas eu de hausse pendant plusieurs
années après.
En 2006 :
Indemnisation : 27 779 millions d’Euros
Incitation : 1324 millions d’Euros
Formation pro : 14 363 millions d’Euros
Total : 56 952 millions d’Euros soit 3,1% du PIB
Allègement de charges : 19490
Total Dépenses pour l’emploi et allègement : 76442 millions d’Euros soit 4,1%
Mais pourtant, en France nous sommes en dessous de la moyenne européenne.
Lorsqu’il y a des allègements de charges : « effet d’aubaine » pour les entreprises.
II- Coût du travail et emploi