L`essentiel de phytothérapie individualisée

L’essentiel de
phytothérapie
individualisée
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Sommaire
La phytothérapie, un nouvel élan . . . . . . . . . . . 3
Système infectieux
La canneberge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Le cyprès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
L’échinacée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Le p in sylvestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Système digestif
L’artichaut . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Le curcuma . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Le desmodium . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
L’olivier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
Le radis noir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
La réglisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
Système nerveux
L’aubépine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
L’eschscholtzia . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
La mélisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
La passiflore . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
La valériane . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
Vitalité
Le ginseng . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
Le guarana . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
Système articulaire
Le cassis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
La reine des prés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
Système vasculaire
Le ginkgo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
Le mélilot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
La vigne rouge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
L’IESV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
L’essentiel de
phytothérapie
individualisée
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La phytothérapie,
un nouvel élan...
La Phytothérapie Clinique Individualisée
est l’aboutissement d’une pratique mil-
lénaire de l’usage médicinal des plantes,
combinée aux plus récentes recherches,
et à une meilleure connaissance des
dysfonctionnements physiologiques.
Elle s’est beaucoup développée ces
dernières années, notamment grâce à
une innovation technologique majeure :
les extraits de plantes standardisés.
La standardisation d’un extrait permet de
concentrer les actifs de la plante et ce de
façon reproductible d’un lot à l’autre.
Avec l’assurance de solutions constantes
dans leurs effets, de plus en plus de
professionnels de santé ont introduit la
phytothérapie dans leur pratique.
Les phytothérapeutes ont pu adapter
leur conseil aux besoins spécifiques de
leurs patients - gage d’efficacité - en
proposant des préparations magistrales
de plantes réalisées en pharmacie.
Discipline médicale enseignée en faculté,
la Phytothérapie Clinique Individualisée
s’inscrit dans une approche globale non
seulement préventive mais aussi curative,
afin d’optimiser l’état de santé des patients. 3
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Prises de façon unitaire ou en association, ces plantes sont utiles pour
la prévention ou le traitement des infections d’origines virales, infec-
tions urinaires, infections ORL pulmonaires ainsi que les toux qui les
accompagnent.
A SAVOIR
SYSTÈME INFECTIEUX
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L’échinacée
( Echinacea purpurea – Racines)
Le pin sylvestre est connu pour ses vertus
antiseptiques7et mucolytiques7faisant de
cette plante la plante majeure des affec-
tions respiratoires avec toux grasse.
Le pin sylvestre
( Pinus sylvestris L. – Bourgeons)
Les noix de cyprès renferment des prin-
cipes actifs aux propriétés antivirales2,fai-
sant de cette plante la plante majeure
dans toutes les affections virales aiguës
ou récidivantes. Ces molécules ont une ac-
tion directe sur le virus et permettent ainsi
de supprimer l’infection2,3.
Le cyprès
( Cupressus sempervirens L. – Noix)
Cranberry, airelle, atoca… nombreux sont
les noms utilisés pour désigner la canne-
berge, petite baie rouge cultivée à large
échelle en Amérique du Nord (Canada,
Etats-Unis) où elle y est très consommée
sous forme de boissons. Le fruit contient
des tanins, les proanthocyanidols (PAC)
qui ont des propriétés anti-adhésives bac-
tériennes, notamment au niveau des parois
vésicales, permettant de diminuer la fré-
quence des infections urinaires à E. Coli
1.
La canneberge
( Vaccinium macrocarpon Aiton – Fruits)
5
Des études récentes4sur l’échina-
cée confirment que la racine possède des
propriétés immunostimulantes au niveau
de la sphère ORL pulmonaire5. La syner-
gie des principes actifs augmente la pro-
duction des cellules responsables de
l’immunité (lymphocytes B, T et macro-
phages)6, faisant de cette plante la plante
majeure dans la préventions des infec-
tions ORL pulmonaires à répétition.
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