E.Coli, une arme biologique - Reseau

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E.Coli, bactérie mortelle :
une arme Mondialiste ?
Un des diktats de la pensée correcte consiste à graver dans les têtes :
« Il e s t inte r dit de c r oir e a u c omploté » .
Or ce n’est pas au Complot qu’il importe de croire, mais aux complots. L’Histoire pourrait-on dire, est celle des complots ! Refuser de croire qu’il puisse y avoir des complots,
revient à se priver d’un outil d’analyse et de réflexion souvent décisif. Outil mental qu’on
ne doit évidemment pas considérer comme omniprésent et omnipotent, mais apte à
scruter les aspects cachés (volontairement ou non) des événements.
Seul ceux qui emploient abusivement ce mot, transformant tout événement en complot
inéluctable, mérite d’être qualifié de complotiste. Il faut dire à leur décharge, qu’après la
grippe avière, la vache folle, le H1N1…, il y a accumulation de doutes après les irruptions
inopinées de ces pandémies dont aucune ne parait dûes au hasard !
Passant outre à cet interdit de la pensée obligatoire, le texte ci-dessous – à l’exception
de certains passages quelque peu parano – nous a paru digne d’intérêt.
M.M.
PS. : La traduction a parfois été rectifiée… et certains passages éclipsés.
Il est possible de se reporter à l’original :
http://realinfos.wordpress.com/2011/06/06/e-coli-produite-par-genie-genetiqueles-preuves/
L’enzyme E.Coli
produite par génie génétique,
les preuves !
Des preuves médico-légales que la superbactérie E. coli européenne est produite
par génie génétique [dans un but d’hégémonie commerciale…]
Une pression médiatique visant à établir
la dangerosité des légumes frais est actuellement en cours dans l’Union Européenne,
où une souche de E. coli résistante rend les
gens malades, et remplit les hôpitaux en Allemagne. Mais pratiquement personne ne
parle de la façon dont E. coli a pu comme
par magie devenir résistante à huit classes
différentes d’antibiotiques et apparaître tout
à coup dans l’approvisionnement alimentaire.
Cette variation particulière d’E. coli est
membre de la souche O104. Or les souches
0104 ne sont presque jamais (naturellement)
résistantes aux antibiotiques. Pour leur permettre d’acquérir cette résistance, elles doi-
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vent être exposées de façon répétée aux
antibiotiques afin de fournir la « pression de
mutation » qui les pousse vers une résistance
aux antibiotiques.
Donc, si vous êtes curieux de connaître
les origines de cette souche résistante, vous
devez commencer par inverser l’ingénierie
du code génétique de la bactérie E. coli,
vous pourrez ainsi déterminer assez précisément les antibiotiques auxquels elle a été
exposée pendant son développement. Cette
étape a été faite (voir ci-dessous), et quand
vous regardez le décodage génétique de
cette souche O104 qui menace aujourd’hui
les consommateurs d’aliments frais dans
l’UE, il se dégage une image fascinante de
la façon dont elle est née.
Le code génétique
révèle l’histoire
Lorsque des scientifiques de l’Institut Robert Koch en Allemagne ont décodé la
constitution génétique de la souche O104,
ils ont constaté qu’elle était résistante à
toutes les classes et à toutes les combinaisons d’antibiotiques :
. pénicillines . tétracycline . l’acide nalidixique . triméthoprime-sulfaméthoxazole .
céphalosporines . amoxicilline . acide clavulanique . pipéracilline-sulbactam . pipéracilline-tazobactam.
En outre, cette souche O104 possède une
capacité à produire des enzymes spéciaux
qui la transforme en ce qu’on pourrait appeler une « bactérie superpuissante », nommée techniquement « BLSE » :
« Les BLSE sont des enzymes qui peuvent
être produits par une bactérie qui les rend
résistants aux céphalosporines par exemple,
à la céfuroxime, céfotaxime et ceftazidime
– qui sont les antibiotiques les plus utilisés
dans de nombreux hôpitaux », explique
l’agence de protection pour la santé au
Royaume-Uni.
En plus de cela, cette souche O104 possède deux gènes – TEM-1 et CTX-M-15 –
qui « ont donné des frissons aux médecins
depuis les années 1990 » , rapporte The
Guardian. Et pourquoi ont-ils fait frémir les
médecins ? Parce qu’ils sont si mortels que
de nombreuses personnes infectées par de
telles bactéries connaissent la défaillance
d’un organe critique et meurent tout simplement.
Bioingénierie d’une
super-bactérie mortelle
Alors, comment, exactement, une telle
souche bactérienne en arrive à résister à plus
d’une douzaine d’antibiotiques dans huit
classes de médicaments différents, et présenter deux mutations du gène mortel en
plus des fonctions des enzymes BLSE ?
Il n’y a vraiment qu’une seule façon pour
que cela se produise (et une seule manière)
– vous devez exposer cette souche de E. coli
à l’ensemble des huit classes de médicaments antibiotiques. Habituellement, cela
ne se fait pas dans le même temps, bien sûr.
Vous devez d’abord l’exposer à la pénicilline, et sélectionner les colonies survivantes
qui sont devenues résistantes à la pénicilline.
Vous prenez alors les colonies survivantes,
et les exposez à la tétracycline. Les colonies
ayant survécu sont maintenant résistantes à
la pénicilline et à la tétracycline. Vous pouvez ensuite les exposer à un sulfamide et
recueillir les colonies survivantes… et ainsi
de suite. Il s’agit d’un processus de sélection
génétique effectué en laboratoire avec un
résultat souhaité. C’est essentiellement la façon dont certaines armes biologiques ont
été développées par l’armée américaine
dans ses laboratoires de Ft. Detrick, au Maryland.
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Bien que le processus réel soit plus compliqué que cela, le résultat est que la création d’une souche de E. coli qui résiste à
huit classes d’antibiotiques nécessite une
exposition répétée et soutenue à ces antibiotiques. Il est pratiquement impossible que
cela se produire sans intervention dans la
nature. Par exemple, si cette bactérie est originaire de la nourriture (comme nous l’avons
dit), où donc va-t-elle acquérir la totalité de
cet ensemble de résistances aux antibiotiques, étant donné que les antibiotiques ne
sont pas présents dans les légumes ?
Lorsqu’on examine les données auxquelles nous sommes confrontés maintenant,
il est difficile d’imaginer comment cela pourrait se produire « dans la nature ». Alors que
la résistance à un seul antibiotique est inconnue, la création d’une souche de E. coli
qui résiste à huit différentes classes d’antibiotiques – en combinaison – défie tout simplement les lois de la permutation et de la
combinaison génétique à l’état sauvage. Autrement dit, cette souche E. coli n’aurait pas
pu être créée à l’état sauvage. Et ce qui ne
laisse qu’une seule explication pour son origine : le laboratoire.
Conçue puis relâchée
dans la nature
Les éléments de preuve indiquent maintenant que cette souche mortelle de la bactérie E.coli a été conçue puis, soit elle s’est
en quelque sorte échappée d’un laboratoire
et est allée dans les aliments par inadvertance, soit elle a été volontairement inoculée
dans les aliments. Si vous n’acceptez pas
cette conclusion – et cela est bien entendu
votre droit – vous êtes forcé de conclure que
cette superbactérie octobiotique (résistante
à huit classes d’antibiotiques) s’est développée de façon aléatoire d’elle-même… Or,
cette conclusion (tout à fait hypothétique)
est bien plus effrayante que celle du « génie
biologique », parce que cela signifierait que
des superbactéries octobiotiques peuvent
simplement apparaître n’importe où, à tout
moment, et sans raison. Mais il s’agirait
d’une théorie exotique parfaitement hypothétique.
Ma conclusion, elle, est réalisable : cette
souche de E. coli peut avoir été conçue, puis
relâchée dans la chaîne alimentaire dans un
but précis. Quel est-il ? C’est là un autre aspect du problème.
Sénario : D’abord la mise en œuvre (une
souche mortelle de la bactérie E. coli dans
l’approvisionnement alimentaire). Ensuite,
attendre la réaction du public (tollé d’une
population terrorisée par E. coli). En réponse
à cela, adopter la solution attendue : l’interdiction des germes crus, du lait cru et des
légumes crus… le contrôle total de l’approvisionnement alimentaire mondial.
Tout cela est bien à propos. La FDA (Fédération américaine des aliments et drogues
ou Agence Fédérale américaine des produits
alimentaires et médicamenteux) a contribué
au même phénomène aux Etats-Unis en favorisant la loi « sur la sécurité alimentaire
et sa modernisation » qui vise essentiellement les petites exploitations familiales bio,
les poussant à courber l’échine devant les
organismes de réglementation de la FDA.
La FDA a ainsi réussi à écraser la liberté
agricole en Amérique… et en Europe en
nous mettant sur le dos une peur de dissémination de E. coli dans l’approvisionnement alimentaire des États-Unis.
Quand les gens ont peur, il n’est pas difficile de les amener à accepter presque n’importe quel niveau de réglementation tyrannie. Et faire peur avec la nourriture est une
affaire simple… qui passe par quelques communications de quelques courroies de tranmissions par courrier électronique aux affiliés des médias.
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Une stratégie simple
D’abord interdire la médecine naturelle,
ensuite s’en prendre à l’approvisionnement
alimentaire…
Tout ceci se passe dans la foulée de l’interdiction de l’UE pour les herbes médicinales et les suppléments nutritionnels – une
interdiction flagrante des thérapies nutritionnelles qui aident à se garder en bonne santé.
Maintenant que toutes ces herbes et suppléments sont illégaux, la prochaine étape est
de répandre la phobie pour la nourriture
fraîche.
[…]
Si vous pouvez faire peur aux gens pour
les légumes frais – ou même les interdire
tout à fait – alors vous pouvez orienter l’ensemble de la population vers un régime d’aliments transformés qui favorisent les maladies dégénératives… et renforcent les
bénéfices de compagnies pharmaceutiques
puissantes. […]
Les OGM jouent un rôle similaire…
[…]
L’aliment comme arme de guerre ?
[…]
Les compagnies pharmaceutiques sont
bien placées pour mener à bien ce complot
et en tirer profit. En d’autres termes, ils ont
les moyens et la motivation pour s’engager
dans de telles actions.
[…]
Une nouvelle ère a commencé :
les armes biologiques alimentaires
Quelles que soient les opinions de chacun, la simple vérité est que le monde est
maintenant confronté à une nouvelle ère de
souches globales de superbactérie qui ne
peuvent pas être traitées avec des médicaments connus.
Elles peuvent toutes, cependant, être facilement détruites avec de l’argent colloïdal… Or, la FDA et les régulateurs de santé
dans le monde ont violemment attaqué les
sociétés qui fabriquent de l’argent colloïdal
ces dernières années… comme si l’on ne
voulait pas voir le public utiliser des antibiotiques naturels qui fonctionnent…
En effet, ces souches d’E. coli peuvent être
assez facilement traitées par une combinaison d’antibiotiques à spectre complet à partir de plantes naturelles comme l’ail, le gingembre, les oignons et les herbes
médicinales. En plus de cela, les probiotiques peuvent contribuer à équilibrer la
flore du tube digestif et « évincer » les E. coli
mortelles. Un système immunitaire sain et
un bon fonctionnement du tube digestif peuvent lutter contre une infection à la superbactérie E. coli, mais cela non plus, on ne
veut pas que vous le sachiez.
[…]
Outre les sociétés pharmaceutiques, les
organismes de réglementation des maladies
infectieuses ont eux-mêmes ce genre de laboratoire. Le CDC, par exemple, pourrait
sans doute le faire…
Or, la preuve que quelqu’un a conçu cette
souche d’E. coli est écrite dans l’ADN de la
bactérie. Ce sont des preuves médico-légales, et ce qu’elles révèlent ne peut être
nié.
original :
http://www.naturalnews.com/032622_ecoli_bioengineering.html
Traduction par Hélios
Adaptation par le Réseau-Regain
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