40 le gui L e gui est une plante qui ne touche pas terre. On l’aperçoit au faîte des arbres sur lesquels il se développe. Sa propagation est due le plus souvent aux grives et aux fauvettes qui sont friandes de ses baies et qui, après digestion, répandent les graines d’arbre en arbre. Celles-ci restent collées sur une branche. Quand la température extérieure augmente, la graine germe et se fixe à l’arbre. La plante se développe alors grâce à son suçoir qui traverse l’écorce et atteint la sève dont elle se nourrit. Le gui est une sorte de parasite. J’observe ➊ un rameau de gui – Quelle forme a le gui ? C’est un arbrisseau en boule de couleur vert jaunâtre, d’environ 50 centimètres de diamètre. ramifications – Comment le gui s’est-il accroché à l’arbre ? – Comment sont réparties les feuilles ? Je retiens Le gui est une plante parasite en forme de boule ramifiée. Elle se nourrit de la sève des arbres sur lesquels elle se fixe. Ses fruits sont ronds, blancs et visqueux. – Un an après sa germination, le petit gui possède une tige courte munie de deux feuilles surmontées de plusieurs bourgeons. Ce phénomène de ramification se poursuit d’année en année. Je dessine le bourgeon ➋ les feuilles deux feuilles de gui à l’extrémité d’un rameau une feuille – Comment la tige sont-elles disposées ? – Quelle est leur forme ? – Ont-elles un pétiole ? – Observons et comptons les cinq nervures parallèles. ➌ la baie Je fais l’expérience ➊ En hiver, je repère un arbre bas colonisé par du gui et je demande à un adulte de détacher une boule de gui. E N A D ULT U – La baie mûrit en deux ans. – Quelle est sa couleur ? Elle est verte en été, mais devient translucide en hiver. – Écrasons une baie. Voyons-nous plusieurs graines à l’intérieur ? – Par quoi est entourée la viscine la graine unique ? Elle est entourée de viscine, une pulpe visqueuse et collante. ➋ À l’occasion du Nouvel An, je décore ma maison avec des brins de gui. les baies les filaments la graine – Pressons la baie et étirons la chair entre les doigts. Il se forme des filaments. 41 Je dessine le bourgeon ➋ les feuilles deux feuilles de gui à l’extrémité d’un rameau une feuille – Comment la tige sont-elles disposées ? – Quelle est leur forme ? – Ont-elles un pétiole ? – Observons et comptons les cinq nervures parallèles. ➌ la baie Je fais l’expérience ➊ En hiver, je repère un arbre bas colonisé par du gui et je demande à un adulte de détacher une boule de gui. E N A D ULT U – La baie mûrit en deux ans. – Quelle est sa couleur ? Elle est verte en été, mais devient translucide en hiver. – Écrasons une baie. Voyons-nous plusieurs graines à l’intérieur ? – Par quoi est entourée la viscine la graine unique ? Elle est entourée de viscine, une pulpe visqueuse et collante. ➋ À l’occasion du Nouvel An, je décore ma maison avec des brins de gui. les baies les filaments la graine – Pressons la baie et étirons la chair entre les doigts. Il se forme des filaments. 41 Je dessine – Que portent les tiges de houx femelles ? – Comment s’attachent les feuilles sur le rameau ? une fleur mâle une feuille de houx avec ses nervures une fleur et un fruit femelles ➋ une feuille – Détachons une feuille. Pourquoi faut-il prendre des précautions ? Je fais l’expérience le dessous de la feuille Plions-la. Est-elle souple ou bien coriace ? – Est-elle plate ? – Le dessus et le dessous sont-ils semblables ? – Remarquons la nervure principale qui prolonge la queue. – Existe-t-il d’autres nervures ? –D’où partent-elles ? Je demande à mes parents de couper des branches de houx et, en prenant soin de ne pas me piquer, je tresse une couronne pour décorer la porte de ma maison. N A D ULT U le pétiole le dessus de la feuille ➊ E les nervures 35