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GUADELOUPE
Carte d'identité de la Guadeloupe:
- Superficie : 1 704 km2 (Guadeloupe et dépendances).
- Chef-lieu : Pointe-à-Pitre
- Population : 431 000 habitants.
- Densité : 252 habitants/km2.
- Économie : la culture de la canne à sucre et de la
banane qui contribuait jadis à la richesse de la
Guadeloupe est aujourd'hui à bout de souffle. Même
constat pour le rhum : quelques distilleries subsistent.
Reste le tourisme, seul vecteur de recettes, qui
représente actuellement l'activité économique majeure de la Guadeloupe, avec environ 900 000
visiteurs par an, métropolitains pour la plupart. Le tourisme est l'avenir de la Guadeloupe, tant
son potentiel est encore considérable. Mais depuis le but du XXIe siècle, il cumule plusieurs
handicaps (concurrence des îles voisines comme Saint-Domingue, saison cyclonique plus
grande…). Pour l'heure, la situation économique n'est guère reluisante, la manne touristique ne
profitant pas à tout le monde (le chômage touche 30% de la population active et 55 % des
jeunes).
Géographie:
La Guadeloupe comprend deux îles principales : Grande-Terre qui forme un triangle d'environ
40 km de côté ; Basse-Terre, massif ovale de 45 km sur 20, montagneux et sauvage, plus longue à
sortir de son isolement bien qu'ayant été colonisée la première, est nommée ainsi par opposition à
Grande-Terre.
Legobi News : le journal du collège de Léguevin Page 4
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Alors que Basse-Terre est une île solument volcanique, Grande-Terre montre un relief beaucoup
plus tranquille, quoique toujours accidenté.
Les principales attractions de l'île
Les principales attractions de l'île sont : la Soufrière, ancien volcan (1467 mètres de haut), la
Pointe des Châteaux avec son paysage de falaises, Les Saintes, petites îles, extrêmement jolies ou
l'on peut se balader en scooter, les îles de La Désirade et de Marie-Galante, plus grandes, mais tout
aussi jolies, et aussi le marché de Pointe-à-Pitre qui présente toutes variétés de fruits et légumes
tropicaux.
Histoire de Pointe-à-Pitre
Capitale économique de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre fut baptisée en 1654 du nom d'un expulsé
du Brésil nommé " Peter ". Ce certain Peter vendait son poisson sur une pointe rocheuse au bout de
la jetée, d'où ce nom de Pointe à Peter devenu plus tard Pointe-à-Pitre. Progressivement, des bourgs
voisins tracèrent des chemins pour se rapprocher de la mer et donc par conséquent de Pointe-à-Pitre.
Petit à petit, la ville grandit et devient une plaque tournante du commerce de la Caraïbe. En 1843
Pointe-à-Pitre fût quasiment détruite par un tremblement de terre, reconstruite en 1847 elle
connaîtra bien des malheurs :
En 1865, une épidémie de choléra. En 1899, un incendie. En 1928, un violent cyclone s'abat sur
l'île, c'est la désolation. En 1989, le cyclone Hugo cause des blessures certes, mais nettement moins
profondes.
MASSIF DE LA SOUFRIERE
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