A Agnès Crepet, Christel Gilquin, Pierre Magri, Fréderic Déssort et Catherine Perria, je
dis merci pour votre disponibilité, votre serviabilité et votre marque de sympathie qui restera à
jamais dans ma mémoire.
Je n'oublie pas mes parents qui ont toujours cru en moi et qui ont su me redonner confiance
lorsque la motivation n'était plus au rendez-vous. Merci pour tout.
A Mère Joana Panzo, Mère LyLy Mandangu, Mamie Makaya Albertine, Mère Adolo
Miguel; pour vos sacrifices, votre soutien moral, je vous en suis reconnaissant.
A mes amis Félix Sinsu, Augustin Diakiese, Gédeon Ekulu, vous les amis que l‟éternel m‟a
donné, pour votre soutien tant moral que matériel, je vous dis merçi.
A Maman Fatuma Sala, Stéphanie Muanda et Famuda Mupote Muanda, pour vos
sacrifices, votre soutien moral, je vous en suis reconnaissant.
A mes collègues Chun Yan Yao Claire, Sandrine Rup, Perrine Doyen, Enrico Perspicace,
qui m‟ont souvent soutenu moralement dans la réalisation de ce travail, qu‟ils trouvent ici
l‟expression de mon profond remerçiement.
A mon frère Rollain Muanda Nsemi pour ton soutient sous toutes les formes je dis merci.
A mon oncle Benoit Puati Mantumbu pour qui je ne suis que l‟ombrage, là où tu es, j‟aurai
souhaité que tu me lises. Cette thèse, t‟est dédiée à titre posthume.
Enfin, mes remerciements s‟adressent également au gouvernement de la République
Démocratique du Congo pour m‟avoir accordé une bourse d‟étude, sans laquelle je n‟aurai
pas réussi à mener à bien cette étude.
A tous ceux qui ne se sentent pas nomement citer la liste est longue, je dis merci.