BISMILLAH ARRAHMAN ARRAHIM
EXTRAITS DU LIVRE : LE SABRE TRANCHANT
P8 : « La sorcellerie est un accord entre un sorcier et un diable ».
Donc il ne suffit pas de voir des pratiques étranges ou inconnues pour les qualifier de sorcellerie. Où est le
pacte passé avec le diable ? Donc on ne peut dire : « Tuer le djinn est de la sorcellerie ».
P57 : « Le Coran en entier est une guérison ».
Appuyé par le hadith : « Soigne-la avec le livre d'Allah ».
P58 et P103 : Les sahaba soignent deux mécréants, un possédé par les djinns et l'autre piqué par un scorpion,
ils guérissent et le Prophète, salla allahou alayhi wa sallam, approuve leur action.
P58 : Les sahaba posent comme condition d'être payés pour pratiquer la roqya.
P76 : « Si avec le djinn il y a un autre, tu lui demandes de le faire venir (youhdirahou) ».
Il est donc plus acceptable de demander à Allah de le faire venir.
P88 : « Le moment où le djinn pénètre dans l'homme est le moment le plus dur dans la vie du djinn ».
Et non pas dur pour l'homme comme l'ont compris certains.
P95 : Remède de la sorcellerie de l'amour : « retire le verset 102 de sourate La Vache (et ils apprennent
auprès d'eux de quoi semer la désunion entre l'homme et son épouse) et remplace-le par les versets de
Taghaboun (Il y a parmi vos épouses et vos enfants qui sont des ennemis pour vous) ».
Donc le raqi a toute la latitude de choisir parmi les versets ce qui correspond au problème qu'il veut traiter.
P108 : Les symptômes de la sorcellerie des voix qui interpellent le malade (hawâtif) : « rêver de tomber,
d'être poursuivi et d'animaux ».
L'interprétation des rêves ne répond pas à des règles figées, mais plus à l'expérience du raqi, et on ne peut lui
demander un dalil pour cette interprétation des rêves.
P116 et P130 : Ecrire des versets pour boire et se laver.
P116 : « Le cheikh de l'Islam Ibn Taymiyya dit : Il est permis d'écrire pour la personne atteinte et pour les
autres malades des extraits du Livre d'Allah et de son évocation avec une encre licite, puis cela est dilué et il
en boit comme ont cité cela Ahmed et d'autres ».
P120 : « Pour savoir où est la sorcellerie, il invoque Allah et il se peut que tu vois en rêve ou que tu ais une
intuition ou une sensation ou tu penses vraiment que tel est l'endroit de la sorcellerie ; tu dois alors plus
remercier Allah ».
Donc à force de piété et de demander à Allah des solutions pour guérir les gens, Allah va aider le raqi et
l'orienter, puisqu'Allah dit : « Et il est de notre devoir de soutenir les croyants ».
P128 : « Un feu est allumé, on y chauffe une pioche puis il urine dessus ». Rapporté par Hammâd Ibn
Châkir, Nasouh, Saïd Ibn Almousayib, Qatâda, et Qoutayba Ibn Ahmad Alboukhari. La pioche est une cause
et la vapeur affecte le djinn.
J'avais cité l'année dernière que cette méthode était citée dans le sabre tranchant et d'autres livres, rapportée
par les savants des salaf, et les frères se sont opposés avec ferveur. Cela est une confirmation que la roqya
peut se faire avec tous moyens licites.
P154 : Le Prophète, salla allahou alayhi wa sallam, a dit : « Versez l'eau sur lui par derrière ».
Ce traitement particulier pour le mauvais œil, nous le préconisons dans tous les traitements car il est toujours
possible que le mauvais œil soit présent avec la sorcellerie ou djinn.
P157 : « On vide le récipient sur la tête du jalousé par derrière lui en une seule fois ».
Dans la méthode du cheikh Wahid Abdessalam Bali, qu'Allah le récompense et le bénisse, on demande au
djinn où est la sorcellerie pour la sortir et la détruire. Mais ce lieu est souvent inaccessible même s'il est
connu : dans une tombe, dans une rivière, dans un égout, etc. Il ne donne pas de solution pour ces situations.
EXTRAITS DU LIVRE : LES ROQYA A LA LUMIERE DE LA CROYANCE DES
AHL AS-SUNNA WAL-JAMAA ET QUE DIT LA LOI DE S'Y CONSACRER ET DE
LA PRENDRE COMME METIER
Dc Ali Ibn Noufayyi Al'iyani
P8 : « L'imam Malik rapporte qu'Abou Bakr Assiddiq entra chez Aïcha qui était malade et une juive lui
faisait la roqya. Abou Bakr dit : « Fais-lui la roqya avec le livre d'Allah ». C'est-à-dire la Torah, et ceci
indique que les juifs ont des roqya. Almaziri dit : « Il y a divergence au sujet de se faire faire la roqya par les
gens du Livre : certains l'autorisent et Malik la déteste (makrouh) pour que ce ne soit pas de ce qu'ils ont
changé. Ceux qui autorisent lui répondent que c'est comme la médecine » et la vérité est que cela varie selon
les personnes et les situations » Fath Al-Bari.
Muslim rapporte : le messager d'Allah, sala allahou alayhi wa sallam, interdit les roqya. La famille de Amr
Ibn Hazm se rendit chez le messager d'Allah et dirent : « Ô Messager d'Allah, nous avions une roqya que
nous récitions contre le scorpion et tu as interdit la roqya ». Ils la lui récitèrent et il dit : « Je n vois pas de
mal. Celui qui peut aider son frère qu'il le fasse ».
P38 : Se soigner avec les choses interdites « comme le sable des mausolées des tombes, il n'est pas permis
de les utiliser comme médicament ni de pratiquer ce remède à cause des fausses croyances qu'il y a en cela.
Cela ressemble plutôt à ce que faisaient les idolâtres qui glorifiaient les statues, recherchaient leur
bénédiction et les essuyaient ».
P41 : Ibn Hajar dit : « Les savants sont unanimes pour autoriser la roqya à trois conditions : qu'elle soit avec
les paroles d'Allah, Ses noms et Ses attributs ; en langue arabe ou en ce qui est compréhensible d'autres
langues ; qu'il croit que la roqya n'agit pas par elle-même mais par la volonté d'Allah ».
P43 : Al-Boukhari rapporte l'histoire du mordu par le scorpion : « Je ne vais pas faire la roqya jusqu'à ce que
vous nous fixiez un salaire. Et ils se mirent d'accord pour un troupeau de moutons ».
P47 : « Est-ce que les roqya sont fixées (tawqifiyya) ? Ce que le prophète a enseigné, il n'est pas permis de
le changer ; et si l'homme a expérimenté une roqya non rapportée et il y trouva une utilité et elle ne contient
pas d'interdit, il apparaît que c'est permis ». P48 : « Parce que la roqya est de même nature que les
médicaments, et que le prophète (s) a accepté les roqya qui ne contiennent pas de chirk ».
P52 : « Al-Hakim rapporte qu'une « namla » apparut chez un homme des ansar. On lui indiqua que Chifa
Bint Abdallah faisait la roqya pour la « namla ». Il se rendit chez elle et lui demanda de lui faire la roqya.
Elle dit : « Par Allah ! Je n'ai pas fait la roqya depuis que j'ai embrassé l'Islam ». L'ansari se rendit chez le
messager d'Allah (s) et l'informa de ce qu'elle avait dit. Le messager d'Allah (s) appela Chifa et dit :
« Récite-moi » et elle récita. Il dit : « Fais-lui la roqya et enseigne-la à Hafsa comme tu lui as enseigné le
livre ». Ce récit remplit les conditions des deux cheikhs et Albani l'a classé dans les sahih. La roqya est :
« La nouvelle mariée fête, se teint les cheveux, se noircit les yeux et fait tout ce qu'il y a à faire sauf qu'elle
ne désobéit pas à l'homme ».
P54 : « Le préférable (Azima) est de laisser les roqya sauf du livre d'Allah et de la sounna du messager
d'Allah (s). Ibn Attine dit : « Les savants de la oumma détestent (karaha) les roqya par autre chose que le
Livre d'Allah ». Achafi`i a dit : « les gens du livre font roqya aux musulmans avec le livre d'Allah et
l'évocation d'Allah ».
P55 : « Si nous acceptons la roqya des gens antéislamiques féticheurs tant qu'il n'y a pas de chirk, et que son
utilité a été expérimentée, les gens du livre sont plus prioritaires ».
P72 : « L'ouverture (Hall) : remède de l'homme attaché par la pioche (voir le sabre tranchant) et nochra c'est
faire bouillir de l'eau avec des fleurs pour se laver. Ce sont des expériences humaines comme la roqya de la
fourmi et de la vipère ».
P75 : « la loi de prendre la roqya comme métier. La roqya est autorisée et poser la condition de recevoir un
salaire est permis : Al-Boukhari pose un chapitre : « poser la condition de recevoir un salaire pour faire la
roqya avec la Fatiha », et en faire un métier entraîne des méfaits : 1) la crainte que les gens s'attachent au
lecteur et non à ce qui est lu ; 2) il n'y a pas eu cela chez les prédécesseurs malgré le besoin ; les diables
peuvent les aider pour égarer les gens ; 3) le danger de la fierté pour le raqi ; 4) quand le djinn ne parle pas,
ils disent tu n'as rien, et ce sont des paroles sans science ; 5) Ils lisent sur un groupe et postillonnent dans
tous les récipients, d'où vient cela ? 6) Les charlatans vont les imiter pour obtenir la richesse ; 7) Ils est
possible qu'ils l'apprécient (mostahabb) et cela devient une bidaa ; 8) Les milliers de gens venant vers lui est
une tentation de fierté ; 9) Les méfaits sont clairs et les repousser est plus important que gagner les utilités ;
10) Les hommes pieux ne se postaient pas pour recevoir ceux qui ont besoin d'invocations ; 11) Les gens
peuvent oublier de se faire roqya à eux-mêmes ».
EXTRAITS DU LIVRE : GUIDE DES GUERISSEURS AVEC LE NOBLE CORAN
Riadh Mohamed Samaha
P15 : « Beaucoup de gens sont atteints mais le djinn ne parle pas par leur bouche ».
P55 : « Extraire la sorcellerie est une chose rare ».
L'auteur contredit donc « le sabre tranchant » et emprunte une autre voie dans la guérison.
P18 : « Le djinn a été torturé jusqu'à la mort ». P26 : « Cela se terminera de deux façons : soit la sortie, soit
en le brûlant ». P43 : « Et s'il ne le vomit pas, ses intestins se déchireront et ce sera sa mort ». P56 :
« Achever le djinn chargé de sorcellerie en le brûlant ou le tuant ». « Il sera tué à l'intérieur de son corps ».
P29 : « On écrit les versets sur une feuille, on lave la feuille dans un récipient pour boire et se laver ». P36 :
même chose.
P40 : « le cheikh de l'Islam Ibn Taymiyya écrivait sur le front de la personne dont le nez saignait : « Et on
dit : terre ! Avale ton eau ! Ciel ! Cesse ! L'eau se calma et l'affaire fut terminée ». Ibn Alqayyim l'entendit
dire : je l'ai écrite à plusieurs personnes et ils guérirent ».
P47 : « Selon Saïd Ibn Joubayr selon Ibn Abbas : quand la femme a du mal accoucher, qu'on lui écrive [une
série de versets] dans un récipient propre puis on lui fait boire. Wakiî a joute : on lui fait boire et on asperge
sous sa taille ». « Moujahid dit : « Il n'y a pas de mal à écrire le Coran pour se laver et faire boire le
malade ». « Ayyoub dit : j'ai vu abou Qoulaba écrire un écrit de Coran puis l'a lavé avec de l'eau puis l'a
donné à boire à un homme malade ».
P52 : « Ahmad Ibn Soulaymane Annajjad rapporte dans « les espoirs » selon Al-aâmach qui dit : Un djinn
vint épouser une de nos femmes. Je lui dis : « Quelle est votre nourriture préférée ? Il dit : le riz ». nous le
lui avons ramené et je me mis à voir les bouchées se lever alors que je ne voyais personne. Je dis : « Y a-t-il
ces sectes chez vous ? Il dit : oui. Je dis : Quelle est la place des Rafidha parmi vous ? Il dit : « Ce sont les
pires » ».
Cela autorise donc à discuter avec les djinns et leur monde se connaît par l'expérience et leur fréquentation.
P57 : « Ces fléaux étant dangereux et affectant la croyance car les musulmans vont chez les devins et
sorciers, l'affaire nécessite que les frères se consacrent à ce travail pour le combattre ; il n'y a donc pas de
mal à se spécialiser et se consacrer à la guérison en recevant un salaire ».
P59 : « La guérison des corps est une obligation de suffisance (kifaya) et ceci est plus grave et plus
important.
P58 : Le sahabi qui a fait la roqya avec la Fatiha répondit à : « Et comment as-tu su que c'est une roqya ? En
disant : c'est une chose qui a été projetée en moi ou qui m'a été inspirée ».
EXTRAITS DU LIVRE : LA VOIE CORANIQUE POUR LA GUERISON DE LA
SORCELLERIE ET DES POSSESSIONS DEMONIAQUES
Oussama Mohamed Al-Awdi
P35 : « Il vaut mieux que la roqya ne soit pas source de revenu car le matériel affaiblit le travail spirituel et
il se peut que la réussite ne lui soit pas accordée ».
P53 : « Le dévoilement par le regard : voici une méthode unique que mon Seigneur, Glorieux et Très-Haut,
m'a enseignée et elle a donné des résultats merveilleux ».
P58 : « Il n'est pas nécessaire que l'homme voit dans son rêve ce qui va le guider, il se peut qu'Allah lui
inspire la bonne voie ».
P78 : « Ecrire les versets d'annulation de la sorcellerie et les versets du châtiment puis le malade se lave
avec ».
P129 : « on écrit sur une feuille, puis on la dilue et la malade boit », « On écrit sourate Mariam sur la
chemise de nuit et elle le porte sur sa peau »
P132 : « On écrit les versets sur une feuille blanche puis elle est diluée dans l'eau puis on enduit avec tout le
corps sauf la plante des pieds et les deux orifices ».
P173 : « Tu écris les versets sur une feuille, puis tu trempes la feuille dans l'eau pour le lavage et la
boisson ». « On lui écrit trois feuilles et il se lave trois jours ». P174 : « L'écriture pour le lavage »
P180 : « On écrit les versets sur une ceinture que la femme attache à sa taille ».
P216 : « Tu écris sur le front du malade ».
P221 : « On écrit sur le membre frappé ». « Tu écris ces versets ou tu les lis ».
P79 : « Il lit le verset du Trône avec l'intention d'emprisonner le djinn dans le corps ».
P170 : « Tu peux ordonner au djinn de ramener la sorcellerie de son endroit et souvent il fera cela ».
P224 : Enchaîner les djinns avec des invocations.
P265 : « Ces versets te permettent de contrôler le djinn comme tu veux ».
P268 : « Les versets pour faire venir le djinn. Tu les lis, s'il vient, louange à Allah ; sinon tu les lis dans l'eau
avec l'intention de le faire venir, tu les fais boire au malade puis tu répètes la roqya et in viendra in cha
Allah ».
P278 : « Les versets pour emprisonner le djinn : et tu dis : je t'emprisonne par : « Noun, Par la plume et par
ce qu'ils écrivent » ».
P142 : La méthode d'allumer le feu, de chauffer la pioche et d'uriner dessus selon Fath Al-Bari.
P168 : « Annuler la sorcellerie en sortant le serviteur de la sorcellerie ou en le tuant ».
P195 : « Chapitre de brûler ou tuer » suivi des explications pour tuer le djinn.
P195 : « Le djinn se venge parce que tu as tué son enfant ou son frère ».
P197 : « Tu écris sur un tissu tu le brûles et il sent la fumée ; le djinn sera brûlé sur le champ ».
P211 : « Le djinn ne doit sortir que si tu prends son engagement qu'il ne revienne pas sinon tu le brûles ».
P212 : « L'imam Ibn Al-Qayyim dit dans : « Zaad Al-Maâad » p 85 : Il est autorisé de frapper le djinn, de le
torturer, de l'insulter et de le tuer quand il s'entête à faire du mal ».
P285 : « Les versets de la mort : tu lis sur le djinn que le soignant veut tuer ».
P245 : « Muslim et Ibn Maja rapportent selon Jabir qu'on l'a appelé pour une femme à Médine piquée par un
scorpion pour qu'il lui fasse la roqya. Il refusa et le prophète (S) fut informé de cela. Il l'appela et Aamr dit :
« Tu as interdit de faire la roqya. Il dit : récite-la moi ». Il la lui récita et il dit : « Il n'y a pas de mal, ce sont
des engagements, fais roqya avec ».
Le livre ne cite pas textuellement si tout le Coran est une guérison ou uniquement les versets cités dans les
hadiths, mais dans tout le livre l'auteur utilise des versets dont le sens convient avec le but recherché, il
établit même les chapitres des versets de l'Islam, du secours, de la vengeance, de la destruction, de
l'épuisement, de faire venir le djinn, de le faire parler, de le faire taire, de la victoire, du dégagement de la
vue, de l'ouïe, de la réprimande, de la création, de l'emprisonnement, de la disparition du faux, de la guerre,
de la terreur, de la sagesse, de la guidée et du calme
Extrait du livre le don du tout misoricordieux en guerison des atteintes des djins par Hamdi
Addemardach
P13: Les Djins voient les anges et les humains.
P31 : Histoire de la conversion de Hama Ibn Ibrahim Ibn Alaqyas Ibn Iblis qui avait assisté à l'assassinat de
Abdel Cain et embrassa l'Islam avec Noé et raconta cela au prophète (s)
P37 : Est-il permit d'interroger les Djins ? Ibn Taymia tranche : S'il s'agit de croire en tout ce qu'ils disent et
de glorifier l'informateur c'est interdit, mais si on l'interroge pour éprouver son état et connaitre son fonds en
ayant de quoi différencier sa veracitè et son mensonge , c'est permis. De même s'il écoute ce qu'ils disent et
ce que les djins informent comme on entend ce que disent les mécréants et les pervers pour savoir ce qu'ils
ont à dire sans les croire absolument ni les démentir à moins d'avoir une preuve comme dit le TRES HAUT :
"Si un pervers vous amène une information vérifiez ".
Abou Moussa raconte que Omar tarda et il y'avait une femme qui avait un Djin lié à elle (qarin) et il
l'interrogea. Il dit qu'il l'avait laissé entrain de partager les chameaux de l'aumône. Dans un autre recit ,
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