Voici quelques sourates et versets qui ouvriront les yeux de celles qui ne veulent pas comprendre :
« Les hommes ont autorité sur les femmes en vertu de la préférence qu’Allah leur a accordée sur
elles et de ce qu’ils dépensent sur leurs biens au profit de ces dernières. » [1]
Pour expliquer ce postulat auquel est conférée une référence dogmatique, Ibn Kathir (1300-1373),
juriste et traditionniste très réputé, mais surtout disciple du théologien et jurisconsulte Ibn
Taymiya [2], note, sans donner d’explications, que « les hommes sont supérieurs aux femmes et
qu’un homme est de loin mieux qu’une femme. » [3]
D’autres commentateurs, juristes ou érudits célèbres, comme Razi, [4] Baydawi, [5],
Zamakhshari, [6] et Tabari, [7] refusent de commenter ce postulat de peur que la parole d’Allah ne
se trouve altérée.
« Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles » [8]
Cette inégalité de répartition est imposée par le Coran en matière d’héritage.
Les commentateurs, anciens et modernes, lui reconnaissent des motivations liées à la supériorité
« multidimensionnelle » de l’homme.
Razi souligne : « L’homme est plus parfait que la femme dans la créativité, l’intelligence et les
questions religieuses, car il est plus habile d’être juge ou imâm. De même, le témoignage d’un seul
homme équivaut à celui de deux femmes. Celui à qui on attribue de grandes responsabilités, jouit,
en contrepartie, de privilèges de taille. En effet, la femme est un être doué d’une déficience mentale
et d’envies excessives. Si on lui donne beaucoup d’argent, elle se trouvera à l’origine d’une
corruption considérable » [9]. Et d’ajouter : « Si le mâle est mentionné en premier lieu dans le
verset 4,11, c’est parce qu’il est mieux qu’une femelle. [10] ».
Il ajoute qu’une telle supériorité est due à la position des hommes, très élevée, notamment dans : «
le savoir et la puissance, mais surtout parce que l’homme offre à son épouse une dot et se charge de
ses dépenses » [11].
Ce verset n’échappe pas au commentaire de Tuffaha qui souligne : « Allah a établi la supériorité
des hommes sur les femmes dans le verset 4,11, ce qui empêche toute égalité entre eux. L’homme
est supérieur à la femme de par son intellect et sa haute compétence à gérer les affaires et à
l’entretenir financièrement ». [12]
Il est interdit à un musulman de contester ou de dénoncer cette inégalité, en matière d’héritage, sous
peine d’être inculpé d’apostasie.
Déficiences intellectuelles des femmes musulmanes
L’imam Boukhari [13], dont les oulama [14] considèrent les hadiths qu’il a compilés comme « le
recueil le plus authentique après le Coran », rapporte, sous forme d’entretien, un dialogue entre
Mahomet et un groupe de femmes.
« Il leur déclare : « Je n’ai vu aucune personne plus déficiente en intelligence et en religion que
vous. Un homme prudent et sensible pourrait être détourné du droit chemin par l’une d’entre vous.
« Les femmes l’interrogent : « – Ô envoyé d’Allah ! Où est la déficience dans notre religion et notre
intelligence ?
« – Ne savez-vous pas, leur répond-il, que le témoignage de deux femmes est équivalant à celui
d’un seul homme ?
« Les femmes répliquent par l’affirmative.
Mahomet conclut : – Eh bien ! C’est là où réside la déficience de votre intelligence.