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CONCOURS VIH POCKET FILMS
2013/2014
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Les éléments graphiques
Le l rouge est un élément graphique déterminant dans l’identité
et les communications de Sidaction.
Le terme “l rouge” évoque le guide, le l conducteur ou l’élément
récurrent. Il a une symbolique forte qui marque l’engagement de
Sidaction dans la lutte contre le sida.
Le l rouge peut être utilisé de plusieurs façons pour :
- représenter un élément ou symboliser une idée,
- écrire un texte,
- agrémenter une mise en page de fon purement graphique.
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Les connaissances sur Le vih/sida
1. Le VIH est la conséquence de la maladie du sida.
FAUX. Le VIH virus de l’immunodéficience humaine est le virus
responsable de la maladie du sida.
2. Sida signifie syndrome d’immunodéficience acquise.
VRAI.
Syndrome : ensemble de signes cliniques et de symptômes caractéristiques
d’une maladie
• ImmunoDéficience : défaillance du système immunitaire
• Acquise : que l’on a contracté (différent de l’inné)
Le sida est le dernier stade de l’infection à VIH. En pénétrant dans l’organisme,
le VIH détruit certaines cellules qui coordonnent l’immunité (les lymphocytes
CD4). Lorsque ces cellules sont en nombre insuffisant, des maladies graves
dues à des microbes, virus ou bactéries, peuvent se développer. Le passage
au stade sida est défini par l’apparition de ces maladies appelées « maladies
opportunistes ».
3. Être séropositif signifie que l’on a un groupe sanguin positif.
FAUX. La séropositivité au VIH est définie par la présence dans le sang
d’anticorps reconnaissant spécifiquement le VIH. Ces anticorps persistent
tout au long de la vie des personnes infectées, qu’elles soient sous
traitement ou non. FAUX. La séropositivité au VIH est définie par la présence
dans le sang d’anticorps reconnaissant spécifiquement le VIH. Ces anticorps
persistent tout au long de la vie des personnes infectées, qu’elles soient
sous traitement ou non.
4. On développe le sida dès que l’on est contaminé par le VIH.
FAUX. Le sida est le dernier stade de l’infection par le VIH, caractérisé
par l’effondrement des défenses immunitaires et l’apparition de maladies
opportunistes. L’évolution de l’infection vers le stade sida peut prendre
plusieurs années. Les traitements actuels permettent de ralentir la
progression de l’infection et donc de prévenir le passage au stade sida.
5. Seules les personnes homosexuelles peuvent être contaminées
par le virus du VIH.
FAUX. En France, environ 6 400 personnes ont découvert leur séropositivité en
2012. Parmi elles, 56 % ont été contaminées lors de rapports hétérosexuels,
42 % lors de rapports homosexuels et 1 % sont usagers de drogues par voie
intraveineuse.
6. Le VIH est le virus responsable de la maladie du sida.
VRAI. Il s’agit du virus de l’immunodéficience humaine tandis que le sida est
le dernier stade de l’infection.
VRAI / FAUX : Les réponses
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Les éléments graphiques
Le l rouge est un élément graphique déterminant dans l’identité
et les communications de Sidaction.
Le terme “l rouge” évoque le guide, le l conducteur ou l’élément
récurrent. Il a une symbolique forte qui marque l’engagement de
Sidaction dans la lutte contre le sida.
Le l rouge peut être utilisé de plusieurs façons pour :
- représenter un élément ou symboliser une idée,
- écrire un texte,
- agrémenter une mise en page de fon purement graphique.
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Les modes de transmission du virus
7. Le VIH peut se transmettre en serrant la main d’une personne
séropositive.
FAUX. Le VIH n’est pas un virus contagieux comme l’est celui de la grippe.
Toucher une personne séropositive ne présente aucun risque de transmission
du VIH. La peau est une barrière infranchissable pour le VIH.
8. Le VIH peut se transmettre par la salive.
FAUX. Boire dans le même verre qu’une personne séropositive ou
l’embrasser sur la bouche ne comporte aucun risque. La concentration du
virus dans la salive, les larmes ou les urines est tellement faible que le risque
de transmission est nul. Les seuls liquides potentiellement contaminants
sont le sang, les liquides sexuels (le liquide pré-séminal, le sperme, les
sécrétions vaginales) et le lait maternel.
9. On peut être contaminé par une piqûre de moustiques.
FAUX. Un moustique aspire le sang d’une personne. Il n’injecte pas de sang
à une autre personne. Lorsqu’il pique, le moustique injecte de la salive et
non pas le sang qu’il a ingéré. Enfin, il ne peut rester suffisamment de sang
sur la trompe de l’insecte pour qu’il y ait transmission du VIH à une autre
personne.
10. Les liquides sexuels, le sang, le lait maternel et le sperme
transmettent le VIH.
VRAI. Il s’agit des seuls liquides potentiellement contaminants.
11. En France, le mode de transmission du VIH le plus fréquent est
le rapport homosexuel.
FAUX. En 2012, en France, parmi les 6 400 personnes ayant découvert leur
séropositivité, 2 600 concernent des hommes ayant des relations sexuelles
avec des hommes contre 3 500 personnes qui sont hétérosexuelles.
12. Les risques de transmission du VIH sont plus importants si on
est déjà porteur d’une infection sexuellement transmissible (IST).
VRAI. Les rapports sexuels non protégés avec pénétration vaginale ou
anale constituent le principal mode de transmission du VIH. Le risque de
transmission est accru lorsque l’un des partenaires ou les deux est porteur
d’une IST. En effet, les IST peuvent occasionner des plaies sur les parties
génitales et ainsi favoriser l’entrée du virus dans l’organisme.
La prévention du vih
13. Lors d’une relation sexuelle, le VIH ne se transmet pas si la
partenaire prend la pilule contraceptive.
FAUX. La pilule contraceptive permet d’éviter une grossesse. Elle ne protège
ni du VIH ni des autres infections sexuellement transmissibles (IST). Les
préservatifs, masculins et féminins, sont les seuls moyens de protection
contre le VIH et les IST. Ils ont également une fonction contraceptive.
14. Le préservatif est le seul moyen de protection contre le VIH et
les infections sexuellement transmissibles (IST).
VRAI. Les préservatifs, masculin et féminin, sont les seuls moyens de
protection contre le VIH et les IST. Il existe une grande variété de préservatifs
(tailles, texture, goûts et couleurs variés). Chacun peut ainsi choisir le
modèle qui lui convient le mieux. Avant utilisation, il faut toujours vérifier
la date limite d’utilisation et que les préservatifs soient aux normes CE ou
EN 600 (normes européennes). L’utilisation de gel lubrifiant à base d’eau
limite les risques de déchirure ou de craquement du préservatif.
15. Si on superpose deux préservatifs, on est mieux protégé contre
le virus.
FAUX. Il y a dans ce cas-là un risque de glissement ou de rupture. Un
préservatif est un moyen de contraception, et de prévention, à usage unique.
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Les éléments graphiques
Le l rouge est un élément graphique déterminant dans l’identité
et les communications de Sidaction.
Le terme “l rouge” évoque le guide, le l conducteur ou l’élément
récurrent. Il a une symbolique forte qui marque l’engagement de
Sidaction dans la lutte contre le sida.
Le l rouge peut être utilisé de plusieurs façons pour :
- représenter un élément ou symboliser une idée,
- écrire un texte,
- agrémenter une mise en page de fon purement graphique.
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On le jette après utilisation. En cas de partenaires multiples au cours d’un
même rapport, il faut utiliser plusieurs pservatifs.
16. On peut avoir confiance en son (sa) partenaire s’il (elle) n’a pas
de signe visible de la séropositivité au VIH.
FAUX. La séropositivité ne s’accompagne généralement pas de signes
visibles. On peut paraître et se sentir en bonne santé en étant séropositif.
Seule la réalisation d’un test de dépistage du VIH permet d’établir le statut
sérologique (séronégativité ou séropositivité) d’une personne.
17. Une femme séropositive enceinte transmet nécessairement le
VIH à son enfant.
FAUX. La transmission du VIH d’une mère séropositive à son enfant peut
intervenir pendant la grossesse, lors de l’accouchement et de l’allaitement.
Pour parer à ces risques, une prescription d’antirétroviraux, un suivi médical
et biologique, des précautions à l’accouchement et des recommandations
relatives à l’allaitement permettent de considérablement diminuer les
risques de transmission du virus de la mère à l’enfant pour atteindre une
proportion minime (moins de 1 % dans les pays à revenu élevé) lorsque
la mère et le nouveau-né sont correctement suivis. En France, le test de
dépistage du VIH est systématiquement proposé pendant la grossesse.
À l’échelle mondiale, 57 % des femmes séropositives ont reçu en 2011 un
traitement pour éviter de transmettre le virus à leur bébé.
Les prises de risques et Le dépistage
18. Si on se lave imdiatement à leau très chaude, on élimine le virus.
FAUX. Dans le cas d’une prise de risque, il est possible de bénéficier d’un
traitement d’urgence appelé traitement post-exposition qui vise à réduire
le risque de contamination par le VIH. Le TPE est la combinaison de trois
antirétroviraux à prendre pendant 4 semaines. Avant cette prescription, un
médecin évaluera le risque pris.
19. On se rend le plus rapidement possible dans un hôpital lorsque
l’on pense avoir pris un risque.
VRAI. Pour bénéficier du traitement post-exposition qui vise à réduire le
risque de contamination par le VIH, il faut se rendre très rapidement aux
urgences d’un hôpital après la prise de risque (si possible dans les 4 heures
et au plus tard dans les 48 heures). Un médecin évaluera le risque pris et
l’intérêt de prescrire le TPE. Un appel préalable à Sida info service (0800 840
800) permet de vérifier l’adresse du service le plus proche et de lever les
doutes sur la réalité du risque.
20. Le médecin est autorisé à divulguer le résultat d’un test de
dépistage du VIH à une tierce personne.
FAUX. Le médecin est tenu au secret médical. Il n’est donc pas autorisé à
divulguer le résultat d’un test de dépistage au VIH à une tierce personne.
21. Le test de dépistage du VIH est payant.
FAUX. Le test de dépistage du VIH n’est pas payant. Les consultations de
dépistage anonymes et gratuites (CDAG) et les centres d’information, de
dépistage et de diagnostic des IST (Ciddist) réalisent les tests de dépistage
du VIH de façon anonyme et gratuite. Il existe au moins une de ces structures
dans chaque département.
Certaines associations proposent aussi, de manière gratuite, la réalisation
d’un dépistage à l’aide d’un test rapide d’orientation diagnostique (Trod).
Par ailleurs, les tests de dépistage réalisés en laboratoire sont intégralement
remboursés par la Sécurité sociale.
22. Le résultat d’un test de dépistage du VIH est certain dans les 15
jours après la prise de risque.
FAUX. Le résultat d’un test de dépistage du VIH est certain six semaines
après la prise de risque. Quand on a pris un risque, il est conseillé de se faire
dépister le plus tôt possible. Toutefois, le résultat devra être confirmé par un
second test réalisé six semaines après la prise de risque.
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Les éléments graphiques
Le l rouge est un élément graphique déterminant dans l’identité
et les communications de Sidaction.
Le terme “l rouge” évoque le guide, le l conducteur ou l’élément
récurrent. Il a une symbolique forte qui marque l’engagement de
Sidaction dans la lutte contre le sida.
Le l rouge peut être utilisé de plusieurs façons pour :
- représenter un élément ou symboliser une idée,
- écrire un texte,
- agrémenter une mise en page de fon purement graphique.
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Les traitements
23. En France, on ne meurt plus du sida.
FAUX. Les traitements antirétroviraux ont permis de diminuer
considérablement la mortalité liée au VIH. Les spécialistes estiment
aujourd’hui que les personnes séropositives ont une espérance de vie
presque similaire à celle de la population générale. Toutefois, des personnes
meurent encore de causes liées au sida en France. 300 personnes environ
meurent chaque année du sida en France, depuis 2007.
24. Il existe un vaccin contre le VIH.
FAUX. Malgré les progrès réalisés, il n’existe toujours pas de vaccin
préventif ou de vaccin thérapeutique (pour un contrôle de l’infection). La
route demeure longue car les obstacles restent nombreux tant le VIH déjoue
toutes les stratégies classiques (rapidité à sa répliquer et à se disséminer
dans l’organisme, capacité à créer des réservoirs viraux et grande variabilité).
25. Les traitements permettent aujourdhui de guérir de linfection par le VIH.
FAUX. À l’heure actuelle, l’infection à VIH reste une maladie incurable.
L’arrivée des traitements antirétroviraux (appelés ARV) en 1996 a permis de
diminuer considérablement la mortalité due au VIH/sida. Cependant, les ARV
permettent uniquement de contrôler la réplication du virus, prévenant ainsi
l’évolution de l’infection vers le stade sida. Ils ne permettent pas d’éradiquer
le virus.
26. Les personnes séropositives doivent prendre un traitement de
temps en temps lorsqu’elles se sentent fatiguées.
FAUX. Les traitements contre le VIH sont des traitements à prendre à vie
et ils nécessitent un suivi médical régulier. De plus, la prise de traitements
antirétroviraux sur le long terme contribue à une accélération du processus
de vieillissement.
27. Les traitements actuels sont toujours très lourds et
contraignants.
FAUX. D’énormes progrès ont été faits concernant les traitements. Ils
sont aujourd’hui beaucoup plus simples à prendre (souvent quelques
comprimés à avaler le matin et/ou le soir, parfois même un seul par jour) et
les effets indésirables ont été fortement réduits. La diversité des molécules
disponibles permet de rechercher la combinaison thérapeutique la plus
adaptée à chaque personne. Mais il s’agit toujours de traitements à prendre
à vie, et qui nécessitent un suivi médical régulier.
Les chiffres epidemioLogiques
28. En 2012, 12 % des nouvelles contaminations en France concernent
des personnes entre 15 et 25 ans.
VRAI. Au total, ce sont 6 400 personnes qui ont découvert leur séropositivité
en France en 2012. Ces découvertes ont, pour la première fois, été plus
nombreuses en province qu’en Île-de-France.
29. 30 000 personnes en France ignorent leur statut sérologique.
VRAI. En France, 30 000 personnes seraient porteuses du virus sans le
savoir. En plus de ces 30 000 personnes, environ 20 000 personnes seraient
sans suivi médical. Dans le monde, 34 millions de personnes vivent avec le
VIH dont seulement 50 % environ connaissent leur statut sérologique.
30. 28 millions de personnes sont mortes dans le monde depuis le
début de l’épidémie.
FAUX. Depuis le début de l’épidémie, le sida a tué 36 millions d’hommes, de
femmes et d’enfants à travers le monde. Rien que sur l’année 2012, il y a eu
1,6 million de décès.
31. 2,6 millions d’enfants sont porteurs du virus dans le monde.
FAUX. En 2012, 3,3 millions d’enfants de moins de 15 ans vivaient avec le VIH.
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