Du côté du CNRS, je n’oublie pas M. Bernard Pannetier pour toutes les explications sur
les supraconducteurs, Mme. Anne-Marie Bonnot pour son accueil à l’AFM du LEPES, MM.
Thierry Fournier et Thierry Crozes, qui ont été là pour m’aider en salle blanche.
Je remercie tous les chercheurs de l’IMEP qui ont su répondre à mes questions
scientifiques (ou pas). Un grand merci à tous les membres permanents de l’IMEP qui ont
toujours eu un mot gentil pour moi et qui m’ont fait me sentir là-bas comme dans une petite
famille : Xavier (que j’ai fait souffrir avec mes manips bizarres, comme le pot de confiture),
Martine (pour tous les essais de soudures que je lui ai demandé pour des échantillons très
particuliers), Nathalie (pour sa bonne humeur et l’affection qu’elle m’a témoignée), Elisabeth
(qui a souvent sauvé mes après-midi de travail en m’offrant des cigarettes), Emmanuelle
(l’organisation de MIGAS à tes côtés fut géniale), Youla (pour m’avoir confié des TPs dès ma
première année de thèse), Luc (pour son aide pour l’informatique).
Je remercie également le personnel de l’ENSERG ; chaque rencontre avec chacun
d’entre vous fut très agréable. Un grand merci à Chantal pour sa gentillesse ainsi que pour son
aide pour le pot et à Françoise pour toutes les fois quand elle m’a fait la liaison avec des
numéros de téléphone hors Grenoble.
Pendant les journées de travail au CRTBT, Laetitia, Cécile, Antonio, Aurore ont été là
pour m’aider à découvrir et partager leurs manips.
Si ces trois années de thèse se sont bien passées, c’est aussi grâce aux doctorants de
l’IMEP qui ont assuré une ambiance très agréable pleine de bonne humeur. Un grand merci
aux anciens thésards qui m’ont accepté parmi eux très rapidement : François (son régime
« rédaction » m’a fait un peu peur de la fin de thèse), Bogdan C. (qui est parti au nord, où il
fait froid), Fred (alias Donald, notre doyen sur lequel j’ai toujours pu compter et en plus j’ai
toujours préféré les hommes mariés … oups … j’ai rien dit, Claire), Kruno (je parie que tu ne
peux pas parler avec les mains attachées), Delphine (la chef du bureau SOI ☺), Dimitris (qui a
lancé la mode « tête rasée » au labo), Stéphane (qui a essayé en vain de m’apprendre
l’ardéchois et que j’ai torturé pendant plus de deux ans avec mes chansons et je suis loin
d’avoir une belle voix, n’est-ce pas « PZ » ?). Une pensée aussi pour ceux qui ont commencé
leur thèse en même temps que moi : Nico B. (qui m’a appris des expressions montpelliéraines
du style « en face moi », et il y avait encore quelque chose sur l’estime … ;) ), Nico C. (le seul
parmi nous qui a vraiment su choisir sa thèse : en été à la mer, en hiver à la montagne), Tom
(notre tête en l’air qui avait soit des clopes, soit des jetons de café, mais jamais les deux au