JOURNÉE(ANNUELLE(DE(LA(RECHERCHE(EN(OPHTALMOLOGIE((
Exemple de résumé pour les professionnels/le personnel infirmier
Banque de tissus oculaires pour la recherche en vision
Patrick Carrier1,2, François A. Auger1,3,4, Sylvain Chemtob5,6, Claude Giasson7, Sylvain Guérin2,3, Solange Landreville2,3, Stéphanie
Proulx2,3, Vincent Raymond8, Patrick Rochette2,3, Christian Salesse2,3, Mike Sapieha5,6, Elvire Vauche7, et Lucie Gemain1,3,4.
1LOEX/CMDGT, Centre de recherche du CHU de Québec, Hôpital de l'Enfant-Jésus, CHU de Québec; 2CUO–Recherche, Centre de
recherche du CHU de Québec, Hôpital du Saint-Sacrement, CHU de Québec; Départements 3d’ophtalmologie et d’ORL-CCF et de
4chirurgie, Faculté de Médecine, Université Laval; 5Département d'ophtalmologie, Faculté de médecine, Université de Montréal; 6Unité
de Recherche en ophtalmologie, Centre de recherche de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont, Montréal; 7École d’optométrie, Université
de Montréal; 8Laboratoire de génétique moléculaire des systèmes neurosensoriels, Centre de recherche du CHU de Québec (CHUL).
Cette infrastructure permet d’obtenir le matériel biologique nécessaire aux différents projets de recherche de plusieurs chercheurs du
réseau de recherche en santé de la vision (RRSV). En effet, la banque de tissus oculaires humains provenant de donneurs
consentants permet donc aux chercheurs du réseau de collaborer pour mener des recherches originales. Ainsi, la Banque d'yeux du
centre universitaire d’ophtalmologie (CUO) joue un rôle de tout premier ordre dans la réalisation de ces divers programmes de
recherche en raison du nombre de cornées et de globes oculaires humains qu'elle reçoit annuellement. Lorsque des yeux sont
disponibles pour la recherche, la cornée, la rétine, l'épithélium pigmentaire, les cellules de Muller ainsi que les mélanocytes de la
choroïde sont prélevés pour la recherche. Des cornées non qualifiées pour les greffes sont également disponibles. Cette infrastructure
permet à chaque année d’augmenter le nombre d’utilisateurs et de collaborations entre les chercheurs. En effet, plusieurs chercheurs
collaborent activement à divers niveaux pour réaliser des projets dont l’objectif est de mieux comprendre certains processus relevant
du domaine de la vision. Le maillage intra-/inter-axes est par-conséquent excellent. Le programme proposé intègre à la fois des
expertises dans les domaines de la biologie moléculaire et cellulaire, de la génétique et du génie tissulaire et allie à la fois recherche
fondamentale et clinique. Source de financement : Réseau de recherche en santé de la vision du FRQS