Remerciements
Je tenais tout d'abord à remercier vivement Grégory Chambon, pour avoir accepté de
diriger ma thèse lors de ces quatre années, ainsi que Stéphane Tirard, qui a pu me suivre
depuis le mémoire de master et qui a su m'orienter tout au long de ce périple entamé depuis
lors. Leur disponibilité et leur savoir furent indispensables pour ce travail.
J'adresse mes remerciements à l'école doctorale Sciences Humaines et Sociales pour
avoir offert un cadre et une aide à cette thèse. Je remercie également Sylvain Laubé pour son
investissement pour obtenir un financement auprès de la présidence de l'Université de
Bretagne Occidentale, que je remercie également, sans eux cette thèse n'aurait été.
En outre, j'adresse également mes remerciements à Martine Acerra, Pascal Acot,
Hervé Ferrière et Olivier Perru pour le temps consacré à l'analyse de mon travail et pour leur
expertise indispensable à la concrétisation de celui-ci.
Je remercie bien évidemment l'ensemble des membres du Centre François Viète, de
Brest comme de Nantes, qui m'ont aidé, de près comme de loin, notamment grâce à leurs
échanges. Parmi eux, je remercie plus particulièrement : l'ensemble des doctorants, ou
maintenant jeunes docteurs, du CFV dont Karine Le Jeune et Axel Petit, mes « aînés » de
soutenance, avec qui les échanges furent toujours enrichissants ; Céline Briée qui me conseilla
dès le début du mémoire à propos de l'histoire de la biologie marine ; Aurélie Giacomini et
Anaïs Durand pour leur aide toujours précieuse lorsque j'étais de passage à Nantes ; Jenny
Boucard et Pierre Teissier pour leur disponibilité et leur analyse qui constitua une aide
importante ; Anaël Marrec avec qui j'eus l'honneur d'organiser la première journée des
doctorants du CFV ayant lieu à Brest ; Frédéric Soulu pour les échanges sur la science
coloniale française, cela de la même façon que Hervé Ferrière qui m'apporta en plus son
savoir d'historien de la biologie marine ; Colette Le Lay et Olivier Sauzereau qui me
permirent, entre autres, d'écrire sur un Nantais écrivain de la mer : Jules Verne ; Fernando
Figueirido pour ses conseils venant du sud ; Pierre Savaton pour ses connaissances en
géologie ; Laurence Ghier et Françoise Veillet pour leur aide lors de traductions. En outre, je
remercie les différents doctorants brestois en SHS, et au-delà, que j'ai croisé au cours de ses
années et dont les échanges inter-disciplinaires furent toujours instructifs, notamment lors de
la Fabrique de la thèse.
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