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Présentation du département de psychologie
Le département de psychologie est un département de l’UFR Lettres et Sciences Humaines. Le directeur
de l’UFR est M. Frédéric Piantoni.
Le département de psychologie est dirigé par M. Régis Lefeuvre.
Le département de Psychologie possède désormais son propre site : http://www.univ-
reims.fr/departement-de-psychologie
Les études
La licence est constituée d’un tronc commun de six semestres, c’est-à-dire de trois ans, contenant
essentiellement des enseignements de psychologie mais également de biologie, de statistiques et d’anglais,
trois disciplines qu’il faut parfaitement maîtriser si l’on veut devenir psychologue. Pour information, sachez
que sur les 1462 heures d’enseignements reçus en trois années de Licence, 190 sont de biologie et
neurosciences, 188 de statistiques et 54 d’anglais. La responsable de la Licence de psychologie est M.
Nicolas Stefaniak et la responsable de la deuxième année de Licence est M. Dimitri Voisin.
La véritable spécialisation intervient en première année de Master (M1) puis évidemment en M2. Le M1
comporte des enseignements de tronc commun (méthodologie, neurosciences, statistiques, anglais) et des
enseignements de différenciation : 6 enseignements de psychologie à choisir parmi 18. Ces enseignements
doivent être choisis en cohérence avec le projet professionnel de l’étudiant. Le choix doit être validé en début
d’année universitaire par un enseignant du diplôme.
En M2, le département propose un master de psychologie avec deux spécialités différentes : une
spécialité "Psychologie des perturbations cognitives : clinique de l'enfant et de l'adulte" (PPC) comprenant
une option "enfant et adolescent" et une option "adulte" et une spécialité " Insertion et Risques Psychosociaux
: Approche psycho-sociale et contexte économique " (I-RPS).
Pour devenir psychologue, il faut une licence de psychologie, un M1 de psychologie et un M2 de
psychologie. Il faut en outre avoir validé au moins 500 heures de stage au niveau du master. L’entrée en M2
est un concours. Le nombre de places est limité. Actuellement, une partie des étudiant-e-s qui obtient un
master 1 n’entre pas en master 2.