Atome selon Démocrite : élément éternel
Pythagore : pense que tout est composé de combinaison numérique, les nombres sont la clef de
l’univers, derrière la lumière, les couleurs, ce cache des relations numériques qui explique le monde.
Ces philosophes rompent avec la pensé mi tique et montre que la vérité suppose la confrontation
de différents arguments.
b. La démarche Socratique
Socrate est un orateur athénien (environ : -470 ; -399), qui est réputé pour sa laideur, il est le fils
d’un sculpteur et d’une sage femme.
Socrate n’a rien écrit, on connaît sa démarche grâce aux écrits de son élève Platon.
Dans cette démarche on a 2 aspects philosophiques :
Le questionnement : Socrate oblige les athéniens a douté, a se défaire de leur préjugé
Réflexion : La vérité ne peut pas être donnée sans aucun préalable, elle suppose
un effort de la remise en cause de ces opinions.
Savoir : preuve de méthode
Croire : pas de vérification, pas de fondement
Savoir remettre en cause ces acquis
c. L’ironie Socratique
Il s’agit ici d’une méthode de réflexion qui consiste à dénoncé les contradictions d’un discours en
feignant l’ignorance. A partir de sa profession de foi, (Socrate), « je sais que je na sais rien », le
philosophe pose des questions à tous ceux qui prétendent savoir. L’interlocuteur flatté étale son
savoir mais il est très vite bloqué par les questions du philosophe qui le ridiculise.
d. Le combat de Socrate contre les Sophistes
Les Sophiste sont des maître de l’antiquité qui ce déplace dans les citées pour enseigné la
rhétorique au jeune athénien ce destinant dans une carrière politique (Gorgias, Protagoras, Caliclaès)
Socrate montre que leur discours sert à servir un auditoire sans ce soucié de la vérité des propos
tenus.
Convaincre et persuader : persuader c’est faire appel au sentiment
Convaincre c’est utilisé des arguments pour que l’interlocuteur
adhère à une thèse, on fait appel à sa raison
Socrate montre que celui qui sait parler peut faire de la propagande et détenir un véritable
pouvoir.
Socrate est accusé de corruption de la jeunesse et d’impiété (quelqu’un qui ne reconnaît pas les
dieux de la cité).
Socrate est reconnu coupable, deux solutions s’offre à lui, l’exil ou la mort.