INTRODUCTION A LA PHILOSOP I. Naissance de la philosophie La philosophie est une réflexion sur la connaissance de l’Homme. La philosophie est appa VIème siècle avant Jésus-Christ : entrée plus tardive que les autres sciences. La philosoph dire « amour de la sagesse ». Vient de « philien » « aimer » et « sophia » « sagesse ». Depuis le néolithique, on différencie les animaux et les hommes par une chose primordial que les hommes imaginent une vie après la mort (ils enterrent les morts). Cet acte naît pa croyance religieuse. La philosophie et la religion posent des questions de base identiques le rôle de la vie ? Le rôle de l’être humain ? Que signifie la notion de devoir ? Y a-t-il une v la mort ? Les questions religieuses sont élucidées par des mythes. Le mythe est une histoire vraie p croyant qui se trouve avant la naissance de l’Homme et qui porte sur des évènements ori philosophienaît du refus du mythe.Les premiersphilosophes sont Thalès(théorisel’eau), Pythagore (théorise le nombre), Héraclite (le feu, le mouvement) et Démocrite (l’atome) q voulu rénover les mathématiques, les scienceset défier la raison. On les appelle les présocratiques. Ce mouvement de pensée est surtout issu du monde grec (territoire où l’on parle grec). C nouveaux penseurs cherchent à expliquer tout ce qui existe grâce au matériel et à l’imma Les grands philosophes suivants ont été Socrate → Platon → Aristote. II. Socrate Aujourd’hui, il n’existe aucun écrit de Socrate (lui-même), c’est Platon qui fera connaître S après sa mort dans des dialogues. L’ennemi connu de Socrate est Aristophane. Etude de Ménon – Platon Composition du texte : 1) Ménon propose sa définition de la vertu 2) Réfutation de cette définition par Socrate a. Métaphore sur les abeilles b. Deuxième exemple : la santé c. Mise en cause de la vertu / retour au thème principal du texte Définition du sophiste : le sophiste est un être capable de faire preuve d’intelligence, quel le discours, avec une éloquence remarquable, grâce à un grand talent de la rhétorique (en de procédés constituant l’art du « bien-dire »). Le sophisme est différent de la philosophie (Protagoras était un sophiste). Dans ce texte, Ménon est un sophiste et Socrate est le philosophe. Ménon donne une défi fausse de la vertu, c’est un préjugé. Socrate va faire un travail pour que Ménon se rende c de son erreur. Il ne va pas lui dire directement (il ne va pas clairement s’opposer) mais va comprendre en soulevant des questions. L’art socratique de manier les questions s’appell maïeutique (art d’accoucher les esprits). Socrate enseigne la liberté de penser. Une opinio philosophie est une idée dont on ne sait rendre raison. Au contraire, la science se base sur des arguments → La pensée est une idée fondée. L’op subjective, c’est-à-dire qu’elle reflète plus la personne qui parle que l’objet mis en cause, notre insu. Quelqu’un d’objectif est neutre. La subjectivité renvoie à la sensibilité. Avoir un pensée objective, c’est oublier notre histoire, notre milieu social, en faisant abstraction de ces éléments. Socrate va se faire beaucoup d’ennemis; on va le déclarer responsable de la défaite contr spartiates et il va être condamné à la peine de mort en 399 avant Jésus-Christ (mort emp la cigüe). Socrate serait un sage car il a conscience de son ignorance : “Je ne sais qu’une c’est que je ne sais rien”. III. Les deux sortes de sagesse : le destin de l’idée de sagesse. Première définition : selon Socrate, être sage c’est être libre; c’est-à-dire avoir du cour pensée critique (savoir ne pas se laisser abuser par l’argent ou par le gouvernement) → h libéré des préjugés s’efforçant de vivre libre. Deuxième définition : être sage c’est avoir le savoir absolu (science). Pour les croyants est Dieu. Pour les philosophes, l’absolu est la vérité. Ces derniers vont tenter d’obtenir un définitif et inconditionné : ce savoir est la métaphysique. La métaphysique est une réflexi critique sur la nature, l’origine, la destination de l’Homme et du monde. C’est le cœur de philosophie. Jusqu’au 17ème siècle, les penseurs sont persuadés de pouvoir atteindre ce savoir absolu Le dogmatisme est la philosophie qui pense que le savoir absolu est accessible à l’Homme du 18ème siècle, la métaphysique est critiquée et rejetée. Les philosophes du 18ème sièc frappés par la différence entre les sciences jeunes (exemple : Newton / physique) et les sc vieilles (comme la métaphysique). Kant en 1781, dans son ouvrage La critique de la raison pure, critique la métaphysique et cause la sagesse (= savoir absolu) : “On n’apprend pas la philosophie, on ne peut qu’appr philosopher”. La philosophie demeure une réflexion sur la connaissance. L’épistémologie est une critiqu méthodes, les pratiques et les résultats des sciences. Aristote a inventé le syllogisme, ou le raisonnement en trois temps : deux hypothèses + u conclusion. Par exemple : Tous les hommes sont mortels or Tous les Grecs sont des homm Tous les Grecs sont mortels. Aristote voulait avoir un raisonnement logique. IV. Conclusion La philosophie cherche à donner un sens à l’existence humaine, pour la guider. Elle est une réflexion sur les valeurs. Elle évalue ce que dit la science. Toutes les valeurs g autour de trois grandes valeurs (Bien, Beau, Vrai) → ce raisonnement s’appelle l’axiologie