Atelier 2 – Comment les CSSS peuvent

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Danièle Bédard, Directrice adjointe et responsable du
programme de soutien aux études collégiales et universitaires,
Prise II
Ginette Comtois, MPs., Psychologue en réadaptation
vocationnelle, Clinique des premiers épisodes psychotiques,
Institut universitaire en santé mentale de Montréal
Dorice Grenier, agente de recherche MSSS, Direction générale
des services de santé et médecine universitaire, Direction de la
santé mentale
Gilles Lussier, Psychologue, école Polytechnique, Montréal
Annie Querry, Cheffe de service par intérim, Santé mentale
jeunesse CSSS de Laval, regroupement clientèle FEJ
Odette Raymond, Conseillère pédagogique au centre de
recherche pour l’inclusion scolaire et professionnelle des
étudiants en situation de handicap (CRISPESH), CVM/Dawson
College
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Un jeune étudiant de 19 ans est à sa deuxième année
d’études supérieures. Ses résultats scolaires jusqu’ici
sont excellents. Il rencontre le psychologue parce qu’il
ne dort plus, ressent beaucoup d’anxiété et fonctionne
moins bien dans son cheminement scolaire. Une
évaluation du psychologue confirme la présence de
plusieurs symptômes dépressifs chez le jeune étudiant.
Le psychologue suggère donc une démarche auprès d’un
psychiatre. L’étudiant n’a jamais été suivi en psychiatrie
avant et n’a jamais eu de problème auparavant. Il n’a
pas de médecin de famille.
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Une étudiante de 25 ans est à sa dernière année de
maîtrise à l’université. Elle est de plus en plus
méfiante et présente des symptômes psychotiques
selon la psychologue qui la rencontre. Elle n’a
jamais consulté qui que ce soit avant aujourd’hui.
Elle n’a pas de médecin de famille. Selon la
psychologue, un suivi dans une clinique de première
psychose serait approprié. Il n’y a pas de clinique
JAP dans son secteur. Son état se détériore
lentement mais sûrement. Elle vit seule et n’a pas
de relation significative autour d’elle.
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La situation des jeunes qui viennent étudier à
Montréal et qui ont un statut étudiant sans
avoir d’assurance maladie et qui vivent un
problème de santé mentale.
La situation d’une personne qui a besoin d’un
suivi thérapeutique et qui n’a pas l’argent pour
aller au privé
Situation de l’étudiant qui a déjà eu un suivi en
psychiatrie en 2001, suivi que l’étudiant a
arrêté et qui aurait avantage à être repris
aujourd’hui parce que l’étudiant ne va pas
bien.
Etc., etc., etc.
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