La cyberviolence peut prendre plus d’ampleur
que la violence traditionnelle faite aux
femmes en raison de la nature publique des
agressions.
Un cyberagresseur utilise des messages
textes ou des réseaux sociaux, comme
Facebook, Instagram, Vine, Snapchat,
Formspring, Hot or Not, le site de clavardage
de Xbox et Playstation, etc.
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