Question technologique
Pourtant en dépassant les Etats Unis dans la production des certains biens
industrielles URSS a complètement raté la révolution des TIC et finalement il a du
utiliser pour les besoins militaires les ordinateurs analogiques qu’aux Etats Unis
produits dans les usines soviétiques mais d’après les technologies volés chez les
américains.
Il n’y a pas des raisons de tel retard de quoi Castells conclue: « le système lui
même, et non quelques carence des talents ni une insuffisance des investissements est
à l’origine de ce retard ». Mais quand même il tache de donner certains éléments de
réponse et présenter les obstacles majeurs mis aux développement de TIC par la
système soviétique. Ils sont les suivants :
• Complexe militaire qui constituait une bonne machine à bouffer les efforts de
la recherche. Il est claire que car l’armée et l’industrie militaire étaient un priorité
pour l’état, les meilleurs chercheurs travaillaient dans le secteurs militaire. En plus,
car dans ce domaine il n’y avait pas de concurrence et c’était l’état qui décidait quelle
usine vas produire quoi et dans quelle quantité, même dans la branche militaire les
recherches souvent n’était pas prises en compte.
• Économie de commandement ne favorisait pas l’amélioration de produit. Il est
claire que quand dans l’économie de marché la nouvelle technologie entre dans la
cycle de production, il faut du temps pour la mettre en marche et pendant ce temps la
productivité peut considérablement baisser ce que vas tout de suite influencer le prix
de produit. Mais dans la système de économie planifiée on ne peut pas admettre la
baisse de productivité car il y a le plan et le système ne peut pas être réguler par les
instruments de marché (les prix sont artificielles). Donc, dans ce cas là, seul
possibilité de augmenter la productivité ce n’est pas la nouvelle technologie mais
élargissement des usines et recrutement de plus grande nombre des travailleurs
(système extensive du développement).
• La rupture entre la recherche et l’industrie (cette rupture existe même jusqu’à
maintenant). D’un côté il existait Académie des sciences de URSS qui était bien
financée mais qui constituait une « boîte noire » car les recherches qu’elle menait
étaient détachés de la production. D’autre côté chaque branche de industrie avait ses
propres instituts de recherche que dépendaient de ses ministères qui, à leur tour,