CINQ DÉFIS À RELEVER pour l`économie sociale CRÉS Mauricie

CINQ DÉFIS À RELEVER
pour l’économie sociale
CRÉS Mauricie
Shawinigan, 1er décembre 2006
René Lachapelle
Savoir d’où l’on vient
pour choisir aller
L’économie sociale québécoise
une partie de notre héritage identitaire national
qui s’est renouvelée au lendemain d’un référendum
perdu dans un Québec où le taux de chômage
atteignait 12%
que la Marche des femmes Du pain et des roses a
remis à l’ordre du jour
Des acteurs de divers milieux ont proposé lors
du Sommet sur l’économie et l’emploi en
octobre 1996 qu’on la reconnaisse comme
avenue de développement
Une histoire de réussites
170 000 places et 40 000 emplois dans les CPE
5 millions d’heures de services et 8 000
emplois dans les EÉSAD
1 000 emplois dans 50 ressourceries
4 000 projets d’économie sociale soutenus
dans les CLD depuis 1998
Nous avons largement dépassé les objectifs
identifiés dans Osons la solidarité (1996)
Le Sommet de l’économie sociale a été une
célébration opportune
L’État social renouvelé
au Québec
Une réalité québécoise qui se distingue du
Canada et de l’Amérique du Nord
Le modèle québécois allie
La reconnaissance de l’action communautaire
autonome
Des investissements publics dans les entreprises
d’économie sociale
Un développement conceptuel qui renforce les
initiatives locales
Miser sur des acquis de solidarité
En regardant en avant
Léconomie sociale reste encore dans les marges
du pouvoir
Le financement de la mission sociale reste encore
insuffisant
L’accès aux programmes publics de soutien
économique repose encore sur des normes
privées
L’affirmation du caractère alternatif doit
demeurer un outil de résistance
Une autre économie est non seulement possible,
mais nécessaire
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