REMERCIEMENTS
L'aboutissement de ce travail est le fruit des appuis techniques et de plusieurs personnes et
institutions. Il s’agit de la faculté d’Agronomie de l’Université de Parakou et du Centre de
Recherche Agricole Plante Pérenne (CRA-PP) de l’INRAB. Je voudrais remercier les
responsables de ces deux institutions pour leur soutien et leur disponibilité dans la
réalisation de ce travail.
Je voudrais tout d'abord remercier mon superviseur Prof. Armand PARAISO (Maître
de Conférences au CAMES, Directeur de Laboratoire de Parasitologie des Abeilles de
l’Université de Parakou au Bénin) pour avoir accepté de diriger ce travail et pour ses
orientations dont j'ai bénéficiées. Il m'a réservé des moments précieux de discussion et
m'a facilité toutes les conditions pour mener à bien ce travail, malgré ses multiples
obligations. A travers ce travail, je vous témoigne toute ma reconnaissance et vous
remercie d'avoir été toujours là pour m'orienter et me soutenir. Merci pour tout
Professeur.
Dr. Alassane COFFI mon Co-superviseur (Chef Division Agronomie du Centre de
Recherche Agricole Plante Pérenne (CRA-PP) à l’INRAB pour sa générosité, sa
gentillesse, sa patience et ses précieux conseils pour l'établissement de ce travail.
Je remercie particulièrement Ir. Hubert DOMONHEDO pour toute sa contribution
respective en ce qui concerne l’analyse statistique lors du traitement des données.
Mon père et ma mère dont les coups de fils pour s'enquérir de mes nouvelles et prier pour
l'avancement des travaux sur le terrain à Pobè, m'ont toujours réconforté.
Il m'est agréable d'exprimer ma profonde gratitude et mes plus vifs remerciements à tous
mes frères et soeurs, particulièrement Sylvestre ADIMI pour ses soutiens et orientations
dont j'ai bénéficiés. Il m'a réservé des moments précieux de discussion à travers des
séances de travail qu’on tenait dans son bureau, malgré ses multiples obligations ; qu’il
soit assuré de toute ma gratitude.
Alain BALOGOUN, tu devais certainement te demander quand aurais-tu ton nom dans
ce manuscrit. Et bien voilà ; j’ai gardé le meilleur pour la fin ! Ce travail ne pouvait