L’environnement de l’entreprise La performance L’INSTITUTION LOGIQUE D’EFFICACITE LE CORPS SOCIAL LOGIQUE DE SATISFACTION SALARIES ACTIONNAIRES Dividendes -Revenus,participation -Stabilité -Conditions de travail -Avantages sociaux -Promotion, évolution -Reconnaissance -Horaires, congés 1 L’environnement de l’entreprise Le marché Clients actuels et potentiels Concurrents actuels et potentiels Fournisseurs Produits de substitution Les acteurs Politiques, élus Groupes d’intérêt, associations de consommateurs Écologistes, tiers-mondistes, Éléments ayant une influence sur l’entreprise MENACES ? OPPORTUNITES 2 L’environnement de l’entreprise POUR MIEUX FAIRE FACE AUX MENACES ET BIEN SAISIR LES OPPORTUNITES, ON DEFINIT UNE STRATEGIE STRATEGIE : CHOIX : DOMAINES D ’ACTIVITÉ DANS LESQUELS L’ENTREPRISE ENTEND ÊTRE PRÉSENTE. ALLOCATIONS DES RESSOURCES DE FAÇON À CE QU ’ELLE S ’Y MAINTIENNE ET SE DÉVELOPPE. 3 ALLOCATIONS DES RESSOURCES LES RESSOURCES EXAMINEES ORGANISATION + - MANAGEMENT + - SAVOIR + - CULTURE D’ENTREPRISE + - Éléments ayant une influence sur l’entreprise FORCES ? FAIBLESSES 4 L’ENTREPRISE CULTURE et PROJET La culture d’une entreprise est constitué par l’ensemble des mentalités, des valeurs, des croyances, des comportements et des pratiques professionnelles partagés par les membres de l’entreprise 5 CULTURE D’ENTREPRISE VALEURS Partagées MENTALITES Semblables APPROCHES Communes PRATIQUES PROFESSIONNELLES Homogènes Forte culture d’entreprise ACTIONS CONVERGENTES OBJECTIFS COMMUNS 6 L’ENTREPRISE UNITE DE PRODUCTION ET CENTRE DE REPARTITION DES REVENUS •Travail •Équipements financiers •Approvisionnements •Ressources naturelles •Facteurs de production •Achetés sur des marchés amont ENTREPRISE Centre de combinaison et de transformation Produits Biens et services Produits Vendus sur des Marchés aval 7 LA PRODUCTION DES ENTREPRISES De consommation DURABLES DES BIENS DES SERVICES NON MARCHAND (détruits lors de leur utilisation) D’équipement des ménages Ils constituent le patrimoine du ménage D’investissement pour les entreprises Utilisés pour produire d’autres biens ou services (immobilisations) Matières premières MARCHAND Consomptibles Incorporés dans les produits finis (approvisionnement) Aux ménages Coiffeurs, transports, … Aux entreprises Expert comptable, logistique, maintenance,… Aux ménages Aux entreprises Transport, enseignement, ANPE … Transport, Chambres de Commerce, ANPE 8 L’ENTREPRISE CENTRE DE REPARTITION DES REVENUS Biens et services ETAT Cotisations Impôts Biens et services ORGANISMES SOCIAUX Règlements Subventions Règlements Biens et services Prestations Revenus du capital Règlements Biens et services ENTREPRISE Revenus du capital Salaires Travail Règlements AUTRES ENTREPRISES Fournitures Investissements Achats MENAGES Investissements 9 L’ENTREPRISE UNITE DE PRODUCTION L’ENTREPRISE PRODUIT DES BIENS ET SERVICES ASPECT PHYSIQUE DE LA VALEUR ASPECT ECONOMIQUE 10 La valeur ajoutée C’est la différence entre la production et les consommations extérieures de biens et services VA = Production – Consommations externes 11 La production de la valeur est mesurée par la valeur ajoutée PRODUCTION Ventes C.A Valeur ajoutée Consommations extérieures Revenus Bénéficiaires Salaires Personnel Impôts État, collectivités Charges sociales Organismes sociaux Intérêts Prêteurs Dividendes Associés, actionnaires Achats Fournisseurs Bénéfices non Distribués L’entreprise produit de la valeur Entreprise Qui se répartit entre divers bénéficiaires 12 La répartition de la valeur ajoutée L’entreprise est un centre de répartition des revenus issus de la production. La valeur produite (V.A) se répartit entre trois parties prenantes LE PERSONNEL •Salaires •Participation LES ADMINISTRATIONS •Impôts •Cotisations sociales LES APPORTEURS DE CAPITAUX •Intérêts •Dividendes •Autofinancement 13 GAINS DE PRODUCTIVITE Produire une valeur plus grande avec la même quantité de facteurs PRODUCTION Ventes C.A Valeur ajoutée Consommations extérieures PRODUCTION Ventes C.A Valeur ajoutée Consommations extérieures 14 GAINS DE PRODUCTIVITE Le supplément de valeur est redistribué sous forme de variation des prix des facteurs et des produits Baisse des prix de vente pour les clients PRODUCTION Ventes C.A Valeur ajoutée Hausse des salaires Consommations extérieures 15 L’ENTREPRISE ECOLE CLASSIQUE DES ORGANISATIONS ORGANISATION Définition D’attributions Réseaux de communication Niveaux De décision Procédures de travail Contrôle des: •Activités •Résultats 16 L’ENTREPRISE ECOLE CLASSIQUE DES ORGANISATIONS ORGANISATION DES ENTREPRISES ENTREPRISES Techniques permettant de simplifier le travail,en tenant compte de : L ’amélioration de la productivité Des conditions de travail De la sécurité (corporel) De l’environnement 17 MAC GRÉGOR Théorie X et Théorie Y Mac Grégor a observé chez les managers deux visions opposées de la nature humaine. (Présomptions) - La Théorie X: vision traditionnelle des rapports de travail - La Théorie Y: vision plus “révolutionnaire” dont il s’est fait l’interprète 18 THÉORIE X L’individu moyen est foncièrement passif et hostile à l’effort Il recherche avant tout la sécurité et évite toute responsabilité 3 conséquences : 1. Il cherchera les moyens d’éviter le travail 2. On doit l’y contraindre et le contrôler en permanence 3. Il a besoin d’être dirigé 19 THÉORIE Y La théorie X: Pêche par insuffisance Elle ne prend pas en compte tous les faits observables Elle est contredite par certains d’entre eux 20 LES OBSERVATIONS QUI NE CADRENT PAS Les individus, au travail, se contentent du moindre effort ... mais s’investissent à l’extérieur dans des activités qui réclament du talent et de l’énergie 21 LES OBSERVATIONS QUI NE CADRENT PAS Dans l’organisation elle-même, l’acharnement et l’ingéniosité déployés pour “contourner le système” démontrent des ressources insoupçonnées. 22 CONSÉQUENCE Dans l’organisation traditionnelle, les ressources individuelles sont foncièrement sous-estimées et sous employées. 23 BASE DE LA THÉORIE Y 1. L’HOMME TEND NATURELLEMENT À L’ACTIVITÉ ET À L’EFFORT 2. IL PEUT SE CONTRÔLER LUI-MÊME LORSQU’IL SE SENT RESPONSABLE 3. IL ACCEPTERA LES RESPONSABILITÉS SI ELLES LUI PROCURENT DES SATISFACTIONS PERSONNELLES 4. L’INGÉNIOSITÉ ET LA CRÉATIVITÉ SONT LARGEMENT RÉPANDUES 24 MANAGEMENT DE TYPE Y Le comportement n’est pas seulement fonction de l’individu ( personnalité, connaissances, etc..) mais aussi de son environnement immédiat. Le manager est en grande partie RESPONSABLE de l’environnement dans lequel ses collaborateurs évoluent. 25 Style de comportement du manager, induit par la théorie Y Il manifeste à ses collaborateurs sa confiance pour leur capacité à atteindre les objectifs. Il leur apporte un soutien sans réserve et fait appel à leurs ressources. Il devance leurs problèmes et propose son appui pour les résoudre. 26 COMPARAISON Théorie X Communication à sens unique. Ordres péremptoires. Manque d’attention pour les difficultés rencontrées Théorie Y Attitude favorisant la réciprocité et l’écoute. Style de direction : Management PARTICIPATIF et/ou CONCERTATIF 27 PARTICIPATION En management, ce mot indique un processus de prise de décision par ceux qui, en principe, ne sont chargés que de les appliquer. 28 CONCERTATION Implique seulement la consultation et une certaine influence sur les décisions. 29 LE MANAGEMENT Y Le management Y encourage et accompagne la prise d’initiative. Mac Grégor dit que la mise en place d’un management participatif ne peut se faire que de façon participative. 30 COMMENTAIRES La définition des règles du jeu ellesmêmes sera négociée. Avant l’attribution des tâches on convient ensemble des objectifs, des responsabilités et des principes de fonctionnement du groupe. 31 COMMENTAIRES IDÉE ESSENTIELLE DU MANAGEMENT Y: Par définition, la participation ne peut être imposée de l’extérieur. Elle doit pouvoir intégrer les aspirations individuelles. 32 ECOLE CLASSIQUE 1900-1965 LES COURANTS Les principes classiques de l’organisation La bureaucratie AUTEURS Taylor, Fayol, Gantt Weber APPORTS CONTENU IMAGE Étude des aspects formels de l’organisation. Affirmation de principes universels de management Type idéal d’organisation qui garantit l’efficience de l’activité et l’équité pour les acteurs et les usagers. Analyse des fonctions de management: planifier, organiser, commander, coordonner, contrôler. La bonne organisation repose sur la division du travail et une hiérarchie de coordination L’entreprise est une mécanique précise dans laquelle chaque rouage doit être à sa place pour que l’ensemble soit efficace Une hiérarchie claire La spécialisation des tâches La formalisation des règles et des procédures 33 ECOLE des RELATIONS HUMAINES 1965-1980 LES COURANTS AUTEURS Le mouvement des relations humaines Mayo, Blake et Mouton Les ressources humaines Argyris Maslow Mac Grégor L’École « CARNEGIE » Lewin Lockert Herzberg Leavit APPORTS Importance du facteur humain et nécessité de prendre en compte les besoins sociaux et d’estime pour accroître la productivité Les besoins majeurs des individus sont liés à la réalisation de soi et à l’accomplissement de son potentiel CONTENU •Fonctionnement des groupes de travail •Style de management •Management participatif L’organisation permet à l’homme d’exprimer son potentiel qui doit être mobilisé par la participation IMAGE L’entreprise est constituée d’hommes dont la motivation est la source de l’efficacité. Cette dernière dépend du «climat organisationnel» 34 COMMENTAIRES A. MASLOW et les Besoins de l’homme AUTOACCOMPLISSEMENT ÉGOCENTRIQUES – ESTIME DE SOI SOCIAUX - APPARTENANCE SÉCURITÉ PHYSIOLOGIQUES 35 L’ECOLE DE RELATIONS HUMAINES L’école des R.H. a introduit des politiques sociales 1. Information 2. Communication 3. Évaluation, formation 4. Conseil 5. Structures non hiérarchiques 36 L’ECOLE DE RELATIONS HUMAINES Et une modification des formes d’organisation du travail: 1. Groupes autonomes 2. Équipes 3. Enrichissement des tâches 37 Contenu de la Politique sociale Contenu de la politique sociale Rémunérations Avantages sociaux Carrière Formation Durée et conditions de travail Communication et Dialogue social Intéressement Et participation 38 La Politique sociale Elle permet de: Renforcer l’adhésion du personnel Accroître la cohérence et la cohésion du groupement humain Prévenir et éviter les conflits sociaux Élever la productivité, la flexibilité et la réactivité du groupe face à l’environnement 39 ECOLE NEO-CLASSIQUE OU EMPIRIQUE - 1980-2000 LES COURANTS Les théories managériales Les néoclassiques AUTEURS Sloan Cordivier Watson Drucker Gélinier Peters Waterman APPORTS CONTENU IMAGE Principes d’organisation et règles d’action fondant l’efficacité L’efficacité est obtenue par : •La décentralisation •La direction par objectifs •La motivation par la compétitivité interne •L’appréciation des résultats obtenus Chaque entreprise est un cas spécifique qui doit être traité comme tel Synthèse des apports classiques et des relations humaines à adapter de manière pragmatique. Son efficacité repose notamment sur la confiance dans l’organisation exprimée par les salariés. 40 COMPORTEMENTS DU LEADER Blake & Mouton 41 LA DIRECTION PAR OBJECTIFS Peter F. Peter Drucker “ PRINCIPE DE DIRECTION CAPABLE DE DONNER TOUTE LIBERTÉ À LA FORCE ET À LA RESPONSABILITÉ INDIVIDUELLES, TOUT EN FOURNISSANT UNE ORIENTATION COMMUNE DE VISION ET D’EFFORT “ 42 LES 3 PRINCIPES DE LA D.P.O Assurer à chaque échelon de la hiérarchie une vision claire et précise des buts à atteindre. Lui permettre un engagement maximum dans son travail et une motivation accrue. Rendre possible le contrôle et l’intégration maxima des diverses activités de l’entreprise. 43 NOTIONS CLÉS DE LA D.P.O notion d’ OBJECTIF : nécessité d’une formulation rigoureuse exprimé en termes de résultats : précis et mesurables spécifique à une fonction réaliste ambitieux 44 NOTIONS CLÉS DE LA D.P.O notion de PROGRAMMATION : souligne l’aspect hautement prévisionnel de la D.P.O. Étapes définies à l’avance Possibilité de vérifier la cohérence entre les actions, les objectifs et les moyens. 45 NOTIONS CLÉS DE LA D.P.O notion de CONTRÔLE : “feed-back” continu sur les résultats atteints et constante correction des écarts. Le contrôle est : actif directif didactique 46 LES 7 ÉTAPES DE LA D.P.O 1. Fixation des objectifs généraux de l’entreprise par la Direction 2. Détermination des objectifs partiels et des responsabilités individuelles 3. Planification 4. Action 5. Contrôle des résultats 6. Mesures correctrices 7. Appréciation des individus 47 Schéma de l’analyse des mesures correctrices 48 STRUCTURE et ORGANISATION LA STRUCTURE Ensemble des fonctions et relations déterminant formellement les missions que chaque unité de l’entreprise doit accomplir et les modes de collaboration entre ces unités. 49 STRUCTURE et ORGANISATION LA STRUCTURE C’est la somme totale des moyens employés pour diviser le travail en tâches distinctes et pour, ensuite, assurer la coordination nécessaire entre ces tâches. 50 STRUCTURE et ORGANISATION LA STRUCTURE Répartition des tâches Répartition et hiérarchisation des responsabilités Mécanismes de coordination Règles et procédures 51 STRUCTURE et ORGANISATION LA STRUCTURE Agencement de 3 catégories d’entités Les organes opérationnels ou d’exploitation (fabrication, vente, conception des produits) Les services fonctionnels et de soutien (finance, ressources humaines, entretien) Les organes d’état-major aux missions particulières 52 STRUCTURE et ORGANISATION 53 STRUCTURE et ORGANISATION 54 STRUCTURE et ORGANISATION 55 STRUCTURE et ORGANISATION 56 STRUCTURE et ORGANISATION LES TENDANCES ACTUELLES Les nécessités de la conduite de projet Les implications des démarches qualité et de maîtrise des processus La recherche d’amélioration de la valeur ajoutée le long de la chaîne de production La diminution du nombre de niveaux hiérarchiques (nouvelles définitions du rôle des cadres) 57 STRUCTURE et ORGANISATION CONSÉQUENCES SUR L’EMPLOI DES PERSONNES Rôle des cadres : Expertise Conseil Assistance Coordination … en remplacement de leur fonction hiérarchique traditionnelle 58 STRUCTURE et ORGANISATION CONSÉQUENCES SUR L’EMPLOI DES PERSONNES Développement de la responsabilité de tous les acteurs, avec nouvelles définitions des modalités de contrôle des résultats. Développement de l’autonomie dans le travail 59 STRUCTURE et ORGANISATION CONSÉQUENCES SUR L’EMPLOI DES PERSONNES Mise en place d’une nouvelle culture fondée sur l’acceptation du changement et de la flexibilité Développement de la gestion des compétences 60 STRUCTURE et ORGANISATION CONSÉQUENCES SUR L’EMPLOI DES PERSONNES Importance donnée au rôle et à la gestion des équipes Mise en œuvre de nouvelles philosophies de la rémunération, privilégiant davantage l’individualisation des salaires 61 STRUCTURE et ORGANISATION 62 STRUCTURE et ORGANISATION 63 STRUCTURE et ORGANISATION 64 STRUCTURE et ORGANISATION 65 FONCTION COMMERCIALE Finalité de toute entreprise : vendre les produits ou les services qu’elle a conçus au plus grand nombre de clients L’évolution de l’environnement oblige à identifier et répondre aux besoins des clients Passage du concept de gestion commerciale à celui de Marketing (Mercatique) 66 FONCTION COMMERCIALE La notion de marché 67 FONCTION COMMERCIALE Les intervenants sur le marché Les consommateurs Les acheteurs Les prescripteurs Les concurrents Les groupes de pression L’État 68 FONCTION COMMERCIALE L’approche du marché De la segmentation au positionnement Les études de marché 69 FONCTION COMMERCIALE La politique commerciale Le produit et son cycle de vie La gamme La marque Le conditionnement Les services associés 70 FONCTION COMMERCIALE La politique de prix La politique de communication La politique de distribution 71 FONCTION PRODUCTION L’activité production a pour finalité de créer de la valeur en répondant aux besoins des clients selon des normes de qualité, quantité, coûts et délais. Les facteurs de production Le travail (savoir, savoir-faire) Le capital (terrains, constructions, machines Les matières 72 ORGANISATION DES ENTREPRISES La production LES 5 OBJECTIFS DU SYSTEME DE PRODUCTION: 1. 2. 3. 4. 5. Capacité de production Qualité Coût de production Délai Flexibilité 73 FONCTION PRODUCTION Organisation de la fonction production Les services spécifiquement rattachés à la production 74 FONCTION PRODUCTION 75 FONCTION PRODUCTION Les différents modes de production Production continue Chimie, laminoirs Production discontinue Production unitaire (grands ouvrages, BTP) Petite et moyenne série (avions, machines-outils) Grande série (Produits consommation courante, électroménager) Production au plus juste (lean production), combine les caractéristiques de la production à la commande et de la grande série 76 FONCTION PRODUCTION Évolution technologique et organisation de la production Moyens de production classiques Nouvelles technologies au service de la production 77 FONCTION PRODUCTION 78 FONCTION PRODUCTION 79 FONCTION PRODUCTION Organisation de la production Facteurs qui expliquent le développement du travail en équipe Évolutions technologiques. Matériels plus complexes. Qualifications supérieures. Initiatives nouvelles (contrôle qualité, réglages, premières interventions de réparation) 80 FONCTION PRODUCTION Organisation de la production Facteurs qui expliquent le développement du travail en équipe Évolution des conditions de production. D’avantage de flexibilité, réactivité, qualité. Les salariés sont mieux placés pour résoudre des problèmes. Ils doivent s’adapter à différentes « configurations » 81 FONCTION PRODUCTION Organisation de la production Facteurs qui expliquent le développement du travail en équipe Aspirations des salariés. L’école des Relations Humaines a démontré que le niveau de productivité dépend de l’intérêt éprouvé par le salarié. 82 FONCTION PRODUCTION 83 FONCTION PRODUCTION 84 FONCTION PRODUCTION Des flux « poussés » aux flux tendus 85 LES ACHATS ET LA LOGISTIQUE LA FONCTION ACHAT Les étapes du processus d’achat Exprimer le besoin (ponctuel ou répétitif) Rechercher et sélectionner les fournisseurs Négocier et passer la commande Suivre et contrôler la commande Évaluer les fournisseurs 86 LES ACHATS ET LA LOGISTIQUE LA FONCTION ACHAT LA POLITIQUE D’APPROVISIONNEMENT Faut-il « faire » ou « faire faire »? Les déterminants: Être cohérent avec la stratégie d’ensemble de l’entreprise. Recentrage stratégique – Externaliser une partie de la production, voire des fonctions complètes Gérer au mieux les stocks (arbitrage entre coûts de stockage et coûts de rupture) 87 LES ACHATS ET LA LOGISTIQUE Avantages et risques de l’externalisation 88 LES ACHATS ET LA LOGISTIQUE LA FONCTION LOGISTIQUE Ensemble des activités ayant pour objet la mise en place au moindre coût d’une certaine quantité de produit, à l’endroit et au moment où une demande existe 89 LES ACHATS ET LA LOGISTIQUE LA FONCTION LOGISTIQUE Finalité de cette fonction Optimiser la circulation de l’ensemble des flux nécessaires à la réalisation d’un produit, depuis l’approvisionnement jusqu’à sa distribution au client. La logistique peut être une source majeure de compétitivité 90 LA QUALITÉ La qualité concerne à la fois un produit (bien ou service), une activité ou un processus, voire l’ensemble de l’organisation : Management par la qualité (TQM), s’appuyant sur l’adhésion du personnel pour assurer le succès de l’entreprise à long terme par la satisfaction du client 91 LA QUALITÉ Les conditions techniques d’obtention de la qualité 92 LA QUALITÉ Organisation de la qualité et qualité de l’organisation Objectifs à atteindre : Obtenir 5 zéros Zéro panne, évite les retards de production et permet de respecter les délais Zéro papier, évite la surcharge d’informations inutiles ou erronées Zéro délai, évite le mécontentement du client Zéro stock, évite les coûts inutiles Zéro défaut, garantit le respect des normes 93 LA QUALITÉ Moyens utilisés par l’entreprise pour atteindre ces objectifs 94 LA QUALITÉ DIAGRAMME D’ISHIKAWA •Met en évidence 5 sources possibles de dysfonctionnement 95 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) Les ressources humaines se placent au cœur de la richesse de l’entreprise. Cela se traduit par des efforts pour : Acquérir (recruter) Entretenir (former) Conserver et motiver (rémunérer) cette ressource. 96 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) Les ressources humaines génèrent aussi des coûts importants, que les entreprises n’hésitent pas à réduire pour améliorer sa rentabilité 97 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) Évolution des préoccupations Entreprises tayloriennes : quantité de main-d’œuvre disponible Entreprises post-taylorienne: les qualifications requises 98 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) Dans un environnement de plus en plus instable, la nécessaire adéquation entre besoins et ressources, ne peut être obtenue que par une démarche prospective : La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences ( GPEC) 99 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) 100 101 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) 102 LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) 103 COMPTABILITÉ. FINANCE. CONTRÔLE DE GESTION. Comptabilité générale Permet de donner périodiquement, une image fidèle du patrimoine sous la forme du bilan. La variation de la valeur du patrimoine constitue l’enrichissement de la période et se dans le tableau de résultat. Valeur du patrimoine et résultat représentent des informations pour les tiers et pour le fisc. 104 COMPTABILITÉ. FINANCE. CONTRÔLE DE GESTION. Le contrôle de gestion Ce terme peut être entendu de deux manières : « Garder la maîtrise » comme par exemple « garder le contrôle de son véhicule ». « Vérifier la conformité » comme dans « faire un contrôle technique de son véhicule ». 105 COMPTABILITÉ. FINANCE. CONTRÔLE DE GESTION. Le contrôle de gestion utilise largement la comptabilité générale comme source d’information, mais l’adapte à ses propres besoins au sein de la comptabilité de gestion 106 COMPTABILITÉ. FINANCE. CONTRÔLE DE GESTION. Le contrôle de gestion étant à usage interne, il est construit sur « mesure » en fonction des missions qu’on lui assigne. Système de calculs de coûts Tableaux de bord Systèmes de rapports des écarts par rapport à des normes Outils prévisionnels contenant les budgets 107 COMPTABILITÉ. FINANCE. CONTRÔLE DE GESTION. ASPECTS OPÉRATIONNELS DE LA FONCTION FINANCIÈRE Assurer la pérennité du financement Minimiser le coût d’accès à la ressource financière Valoriser la ressource financière excédentaire Neutraliser les risques financiers 108 RECHERCHE & DÉVELOPPEMENT. L’innovation et la recherche L’innovation consiste à introduire sur le marché une nouveauté. Cette nouveauté peut concerner : Un produit Un procédé de fabrication Une organisation des ressources techniques, commerciales, financières 109 RECHERCHE & DÉVELOPPEMENT. Les formes de l’innovation Technique : nouvelles matières (le lycra, le kevlar), nouveaux composants (les supraconducteurs), nouveaux procédés (découpe au laser, lecture optique), nouveaux produits (minitel, internet), nouveaux conditionnements (le sous vide, la bombe aérosol) 110 RECHERCHE & DÉVELOPPEMENT. Les formes de l’innovation Commerciale : nouveaux design (les chaussures DOC Marten), nouveaux modes de distribution (la franchise, la VPC), nouvelles présentations (part individuelle, bouteilles d’eau par six) 111 RECHERCHE & DÉVELOPPEMENT. Les formes de l’innovation Organisationnelles : la structure en réseau, la reconfiguration des processus (reengineering - remise en cause fondamentale et redéfinition radicale des processus opérationnel ), La réduction des niveaux hiérarchique (le delayering), 112 RECHERCHE & DÉVELOPPEMENT. Les formes de l’innovation Socio institutionnelle : nouvelle convention collective, l’Euro la loi sur les 35 heures 113 L’entreprise: une organisation dans un environnement LA VIE DE L’ENTREPRISE ETAPES PROBLEMES A RESOUDRE La création Identifier un projet. Assurer son montage juridique, financier, industriel, commercial. Faire un compte d’exploitation prévisionnel. La croissance Survivre (50 % des entreprises disparaissent dans les 3 à 5 ans après leur création). S'implanter sur les marchés. La maturité Accroître ses ressources financières, matérielles et humaines. Conquérir des marchés. Savoir s’adapter et innover pour éviter le déclin. 114 ORGANISATION DES ENTREPRISES CLASSIFICATION ECONOMIQUE SECTEUR SECONDAIRE SECTEUR PRIMAIRE Extraction - production de matières premières Transformation des matières Premières en biens De consommation: •Construction auto •Raffinages •Chimie •Équipements SECTEUR TERTIAIRE Production de services: •Commerces •Banques •Assurances •Voyages •Santé •Loisirs 115 ORGANISATION DES ENTREPRISES CLASSIFICATION ECONOMIQUE Six principales catégories Exploitations Agricoles Entreprises industrielles Entreprises commerciales Prestataires De services Établissements De crédit Compagnies D’assurances 116 ORGANISATION DES ENTREPRISES L’information L’information est au cœur du système de gestion de l’entreprise. Son organisation repose sur un système d’information qui doit satisfaire à de nombreuses exigences de qualité. 117 ORGANISATION DES ENTREPRISES L’information LES DEUX ASPECTS DE L’INFORMATION L’information « signes » L’information « renseignements » Point de vue technique Concerne la capacité Du réseau à transmettre et stocker les données Point de vue gestionnaire Concerne la possibilité d’utiliser l’information pour prendre des décisions 118 ORGANISATION DES ENTREPRISES L’information Les fonctions (rôles) de l’information GENERATION (ou élaboration) de processus décisionnels (préparation d’une décision) ou opérationnels (préparation d’une action). La décision comme l’exécution reposent sur des informations COORDINATION (ou communication interne) pour assurer la réalisation d’un ensemble d’activités confiés à des services différents pour atteindre un résultat. ADAPTATION À l’environnement, l’information constituant l’instrument de connaissance de l’environnement (ex: études de marché) 119 ORGANISATION DES ENTREPRISES L’information Les fonctions (rôles) de l’information ACTION CONTROLE MOTIVATION Et COHESION sur l’environnement (ex: publicité) des actions, des réalisations, des résultats, des décisions antérieures. Le contrôle repose sur la collecte d’informations (ex: tableau de bord, analyse d’écarts). sociale, dans l’entreprise par les communications hiérarchiques, collectives, syndicales, interpersonnelles 120 ORGANISATION DES ENTREPRISES LES 5 OBJECTIFS DU SYSTEME DE PRODUCTION Point de vue statique •Satisfaire la demande. •Équilibrer le plan de charge de l’entreprise CAPACITE DE PRODUCTION Point de vue dynamique •Maintenir la capacité productive (maintenance, renouvellement des équipements) •Accroître la capacité (investissements de capacité). 121 ORGANISATION DES ENTREPRISES LES 5 OBJECTIFS DU SYSTEME DE PRODUCTION Point de vue statique •Déterminer le niveau de qualité requis en matière de: QUALITE •Produits •Procédés •Organisation •Relations •Vie de travail. Point de vue dynamique •Constance (régularité) de la qualité. •Améliorer le niveau de qualité. •Tendre vers les «5 zéros» •Zéro panne •Zéro défaut •Zéro délai •Zéro stock •Zéro papier 122 ORGANISATION DES ENTREPRISES LES 5 OBJECTIFS DU SYSTEME DE PRODUCTION Point de vue statique COÛT DE PRODUCTION DELAI Point de vue dynamique •Minimiser les coûts •Stabiliser les coûts •Réaliser des gains de productivité Respecter les dates prévues: •Envers les clients •Réduire les durées de fabrication •Abaisser les coûts (investissement de productivité) •Délai de livraison contractuel. •Internes: •Planning des fabrications 123 ORGANISATION DES ENTREPRISES LES 5 OBJECTIFS DU SYSTEME DE PRODUCTION Point de vue statique FLEXIBILITE •Adapter les produits et les procédés aux changements de l’environnement •Assurer la variété des fabrications. •Faire face aux fluctuations saisonnières ou conjoncturelles de la demande. Point de vue dynamique •Accroître la flexibilité de la production (adaptation aux variations de la demande). 124 ORGANISATION DES ENTREPRISES LES SERVICES DE PRODUCTION PREPARATION DU TRAVAIL Préparation technique: -Études -Méthodes Préparation administrative: -Ordonnancement -Lancement REALISATION DES TÂCHES Ateliers: -Usinage -Montage Services logistiques: -Entretien -Outillage -Manutention -Conditionnement -Magasin (stockage) CONTRÔLE DE LA PRODUCTION Délais Qualité Rendements Coûts 125 F. HERZBERG Motivations & Facteurs d’ambiance Recherche des motivations à partir de méthodes quantitatives. Enquêtes et entretiens individuels afin d’identifier les sentiments de satisfaction et d’insatisfaction tirés du vécu professionnel. 126 RESULTATS Les individus au travail se déclarent généralement satisfaits de certaines choses et insatisfaits de choses totalement différentes. 127 RESULTATS SATISFACTION ET INSATISFACTION SONT INTRINSÈQUEMENT DIFFÉRENTES ET NON PAS L’INVERSE L’UN DE L’AUTRE. 128 RESULTATS 5 FACTEURS apparaissant plus souvent comme motifs d’insatisfaction que de satisfaction. 1. 2. 3. 4. 5. Politique & administration de l’entreprise Commandement - Supervision Rémunération Relations personnelles Conditions de travail 129 RESULTATS 5 FACTEURS apparaissant plus souvent comme motifs de satisfaction que d’insatisfaction. 1. 2. 3. 4. 5. Accomplissement du travail Reconnaissance - Considération Travail proprement dit Responsabilité Promotion - Avancement 130 COMMENTAIRES HERZBERG démontre l’existence de 2 types de facteurs : 1. Les “satisfiers”, MOTIVATEURS (ou VALORISANTS) 2. Les “dissatisfiers” FACTEURS D’AMBIANCE (ou d’HYGIÈNE) 131 COMMENTAIRES LES MOTIVATEURS concernent l’individu en lui-même et ce qu’il fait. Valorisations qu’il recherche LES FACTEURS D’AMBIANCE impliquent toujours l’environnement et “les autres” Désagréments qu’il veut éviter 132