1.
«Si nous ne voulons pas que notre avenir,
l’avenir de nos enfants, l’avenir des générations
futures soit semé de catastrophes financières,
économiques, sociales, écologiques et, par
conséquent, humaines, nous devons changer nos
manières de vivre, de consommer, de produire.
Nous devons changer les critères de nos
organisations sociales, de nos politiques
publiques.
Une formidable révolution nous attend. Chacun
d’entre nous désormais le pressent. »