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François-Marie Arouet, dit Voltaire, nait le
21 novembre 1694 à Paris et meurt le 30 mai 1778 dans
cette même ville. Il est un écrivain et philosophe français
qui a marqué le XVIIIe siècle.
Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du
parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le
fanatisme religieux, pour la tolérance et la liberté de pensée.
Déiste en dehors des religions constituées, son objectif
politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les
« philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité et de la
justice, il prend, sur le tard, seul et en se servant de son immense
notoriété, la défense de victimes de l’intolérance religieuse et de
l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas,
Pierre-Paul Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally.
La duchesse du Maine tenait une cour royale dans le château de Sceaux, aimant beaucoup
recevoir. Elle exigeait de ses hôtes des vers sur tout et sur rien. À ces joutes verbales, FrançoisMarie Arouet était de toute première force.
« S'il fallait choisir, je détesterais moins la
tyrannie d'un seul que celle de plusieurs. Un
despote a toujours quelques bons moments ; une
assemblée de despotes n'en a jamais. »
Cette toile est intitulée « le
lever de Voltaire ».
En effet, on y voit l’écrivain
enfilant son pantalon tout en
dictant un courrier à son
secrétaire.
« Il n'est point de grand conquérant qui ne soit
grand politique. Un conquérant est un homme
dont la tête se sert, avec une habileté heureuse,
du bras d'autrui. »
« Les passions sont les vents qui enflent les
voiles du navire ; elles le submergent
quelquefois, mais sans elles il ne pourrait
voguer. »
Jean Huber peint Voltaire
racontant une fable.
« Il ne dépend pas de nous de n'être pas
pauvres, mais il dépend toujours de nous de
faire respecter notre pauvreté. »
Ce tableau donne une idée
précise des soupers dans la salle
de marbre du château de SansSouci, ancien palais d’été du
roi de Prusse, Frédéric II, situé
à Postdam, en Allemagne. On
reconnaît Voltaire parmi les
invités. «Le roi avait de l’esprit
et en faisait avoir », disait-il.
« La raison humaine est si peu capable de
démontrer par elle-même l'immortalité de
l'âme que la religion a été obligée de nous la
révéler. »
Dans son château de Fernay, levant la main comme pour imposer le silence, Voltaire semble
vouloir laisser la parole à Diderot (à droite), cependant que Condorcet (à gauche) continue son
aparté avec le père Adam.
« Dieu nous a donné le vivre ; c’est à nous de
nous donner le bien vivre. »
« Presque toujours les choses qu'on dit frappent
moins que la manière dont on les dit. »
« Le Souper des philosophes » dessiné par Jean Huber montre Voltaire levant la main pour imposer le
silence. À sa gauche Diderot, puis le père Adam, Condorcet, d'Alembert, l'abbé Maury et La Harpe.
La scène se passe à Ferney en 1772. Elle est fictive et Diderot ne s'est jamais rendu à Ferney.
« N’est-il pas honteux que les fanatiques aient
du zèle et que les sages n’en aient pas ? »
« Le fanatisme est un monstre mille fois plus
dangereux que l'athéisme philosophique. »
« C'est à celui qui domine sur les esprits par la
force de la vérité, non à ceux qui font les
esclaves par la violence, que nous devons nos
respects. »
Une gravure représentant Voltaire à
l’âge de 70 ans.
Cette statue de Voltaire par Houdon orne le
foyer de la Comédie-Française à Paris.
« Le meilleur gouvernement est celui où il y a
le moins d'hommes inutiles. »
« Que toute loi soit claire, uniforme et
précise : l'interpréter, c'est presque toujours
la corrompre. »
« La discorde est le plus grand mal du genre
humain, et la tolérance en est le seul remède. »
Citations et images prises sur le Net.
Musique : The girl with the flaxen hair de
Debussy interprétée par Joshua Bell.
Conception et réalisation : L. Cavallari.
Date : Janvier 2015.
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Mes diaporamas sont hébergés sur les sites : www.imagileonation.com
www.chezjoeline.com
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