Élections du Conseil d'administration de la SHFCB, 2016-17 Maurice Guibord et André Lamontagne poursuivent leur mandat de 2 ans. Maurice Guibord Maurice Guibord oeuvre dans les domaines de la culture et du patrimoine depuis presque 30 ans. Il a travaillé dans les domaines de la conservation et des programmes au musée Glenbow de Calgary et au Burnaby Village Museum, et s’est aussi manifesté dans les organismes culturels, patrimoniaux et muséaux en Alberta et en C.-B. Il est conseiller fondateur de la société Heritage Vancouver et de la Société historique francophone de Colombie-Britannique. Il demeure actif auprès des médias francophones, à titre de chroniqueur dans les domaines de l’histoire et du patrimoine. Il détient une maîtrise en histoire de SFU et y est chargé de cours en histoire. Il est président de la SHFCB depuis 2013. André Lamontagne Professeur titulaire de littérature au Département d’études françaises, hispaniques et italiennes de l’Université de Colombie-Britannique, André Lamontagne est l'un des membres fondateurs de la Société historique francophone de la ColombieBritannique. Il est l’auteur d’essais sur la littérature québécoise, d’un recueil de nouvelles (Le tribunal parallèle, 2006) et de deux romans à caractère historique (Les fossoyeurs, 2010, et Les escaliers, 2015). Michel Bouchard, Rémi Léger, Sophie Oliveau-Moore, et Marc Parent se présentent à nouveau comme candidats, chacun pour un mandat de deux ans. Michel Bouchard Michel Bouchard est professeur d’anthropologie à l’Université du Nord de la Colombie-Britannique (UNBC). Ses recherches portent sur l’anthropologie et l’histoire de la francophonie canadienne de l’Ouest et il a entamé des recherches sur les francophones du nord de la province, une histoire trop souvent oubliée. Rémi Léger Rémi Léger est professeur adjoint de science politique à l’Université Simon Fraser. Il a résidé dans la moitié des provinces canadiennes et il possède une grande expérience au sein de la francophonie canadienne. Il a notamment été président de la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick (2001-2003) et de la Fédération de la jeunesse canadienne-française (2003-2005). Aujourd’hui, la francophonie canadienne est le cas de figure autant dans ses recherches que dans son enseignement. Sophie Oliveau-Moore Native de France, Sophie Oliveau-Moore vit sur l’île de Vancouver depuis 1984. Établie dans la capitale, elle œuvre en collaboration depuis 2005 avec l’Association historique francophone de Victoria pour mieux faire connaître au grand public le passé francophone de la ville. Elle a ainsi aidé à créer une brochure pour un circuit autoguidé des lieux de mémoire francophones de Victoria et à établir des marches guidées bilingues pendant la période estivale. Elle a également contribué des articles à l’Encyclopédie en ligne du patrimoine culturel de l’Amérique française. Elle est présidente du conseil de la Society of Friends of St. Ann’s Academy. Marc Parent Natif d’Ottawa, Marc A. Parent est un diplômé de l’université d’Ottawa. Membre du Barreau du Québec, il a œuvré tant dans le secteur public que le secteur corporatif privé depuis plus de quarante ans. Il vit à Vancouver depuis sept ans, et s’intéresse à l’histoire et à la généalogie depuis toujours. Membre de l’Association des familles Parent d’Amérique, il est un descendant de Pierre Parent (établi à Beauport en Nouvelle-France vers 1648), et de Sir Charles Fitzpatrick, homme de confiance de Sir Wilfrid Laurier et, entre autre, avocat principal de la défense de Louis Riel, ministre de la Justice, Juge en chef de la Cour suprême du Canada et Lieutenantgouverneur du Québec. Il est également auteur d’articles en droit administratif. Didier Rabesoa se présente pour la première fois pour un mandat de deux ans. J’ai décidé de m’installer il y a 3 ans à Vancouver avec mon épouse et mes deux enfants. Il me semble évident de connaître les faits historiques de l’endroit où l’on vit pour comprendre aussi bien la réalité présente, mais aussi vers quel avenir la ville de Vancouver et sa province s’orientent. Étant passionné d’histoire, je souhaite, au travers de cette discipline, apporter au sein de la SHFCB mon enthousiasme et mon goût de la pédagogie afin de contribuer à mieux faire connaître au sein d’un public francophone et francophile les activités de la SHFCB, par les moyens de communication dont je suis familier : réseaux sociaux (Facebook, Youtube etc.) et blog.