Thème 3A chap.1 et 2 QCM
Cochez la proposition exacte pour chaque
question.
1) La syphilis est une maladie sexuellement
transmissible due à une bactérie pathogène, le
Tréponème pâle. Un test immunologique fondé
sur la recherche d'anticorps permet de détecter
si un individu a été en contact avec la souche
infectieuse.
On est capable d'isoler les antigènes
tréponémiques et de les fixer sur des microbilles
de latex. Ces microbilles sont placées dans
différents sérums. On peut observer au
microscope avec un grossissement x 600 le
résultat de cette mise en contact.
a) L’individu 1 est séropositif vis-à-vis du
tréponème.
b) L’individu 2 est séropositif vis-à-vis du
tréponème.
c) Aucun des deux sujets n'est séropositif.
d) L’individu 2 est séronégatif vis-à-vis du tréponème.
2) Les symptômes de la réaction inflammatoire (rougeur, chaleur et gonflement) sont dus:
a) à un déplacement d'eau qui quitte les tissus pour aller dans le sang.
b) à la stimulation des récepteurs sensoriels de la peau, des muscles ou des articulations.
c) à des réactions antigènes anticorps
d) à une vasodilatation et à une augmentation de la perméabilité des vaisseaux.
3) Le récepteur des lymphocytes B :
a) est aussi appelé CMH.
b) est capable de se lier à une cellule infectée.
c) est un anticorps membranaire.
d) est capable de reconnaître deux antigènes
différents.
4) Un plasmocyte fabrique
a) des milliers de sortes d'anticorps.
b) des milliers de sortes d'antigènes.
c) une seule sorte d'antigènes.
d) une seule sorte d'anticorps.
6) La sélection clonale des lymphocytes T CD8 :
a) peut s’effectuer par contact direct avec un virus.
b) s’effectue toujours après la différenciation des lymphocytes.
c) nécessite la présence d’interleukine.
d) s’effectue par contact avec une cellule présentatrice de l’antigène.
7) Les lymphocytes TCD4 :
a) sont des acteurs de la réponse immunitaire innée.
b) reconnaissent directement les antigènes circulants.
c) sont nécessaires à la production des anticorps.
d) possèdent des immunoglobulines membranaires formées par quatre chaînes polypeptidiques.
8) Les lymphocytes T CD8 :
a) sont nécessaires à la production des anticorps.
b) ne reconnaissent un antigène que si celui-ci est associé à une molécule de CMH.
c) ne se transforment jamais en cellules mémoires.
d) sont des acteurs de la réponse immunitaire innée.
9) Les anticorps circulants :
a) sont des protéines pouvant se lier à des antigènes différents pour un même anticorps.
b) sont produits par les plasmocytes dès le début d’une infection.
c) subissent le processus de sélection clonale.
d) sont impliqués dans la neutralisation de l’antigène.
5) La cellule ci-contre est :
a) un plasmocyte.
b) une cellule dendritique.
b) un LT CD4.
d) un LT CD8.
10) Deux boîtes de Pétri, contenant de la gélose, sont percées de puits. Différentes solutions de protéines sont
déposées dans les puits périphériques, à égale distance les uns des autres.
Puits 1 : albumine humaine (protéine du sérum humain).
Puits 2 : sérum humain.
Puits 3 : albumine de lapin.
Puits 4 : albumine de bœuf.
Dans le puits central de la boîte A, on dépose du sérum de
lapin, ayant reçu, trois semaines auparavant, de
l'albumine humaine.
Dans le puits central de la boîte B, on dépose le sérum d'un
lapin qui n'a pas reçu d'injection d'albumine humaine.
Les molécules peuvent diffuser dans le gel. Les résultats sont
lus 48 heures plus tard.
a) La protéine albumine humaine déclenche, chez le lapin boite B, une réaction immunitaire adaptative.
b) Un arc de précipitation entre le sérum de lapin boite A et le sérum humain montre une réaction entre deux
anticorps.
c) Le sérum de lapin A renferme des anticorps contre l'albumine de bœuf.
d) La spécificité d'un anticorps, pour un antigène, est liée à la forme spatiale de la partie variable de sa
molécule.
11) Les cellules de l’immunité innée :
a) sont les globules rouges.
b) sont présentes chez les Vertébrés.
c) sont tous les globules blancs.
d) sont nécessaires à la reconnaissance de l’anticorps.
12) Les médiateurs chimiques de l’inflammation :
a) sont des molécules libérées par les pathogènes.
b) entraînent une diminution de la réponse inflammatoire.
c) sont indispensables au déroulement de la réaction inflammatoire.
d) sont notamment l’aspirine.
13) La réponse adaptative implique :
a) une phase de différenciation clonale durant laquelle des lymphocytes reconnaissent l’antigène présent dans la
lymphe.
b) une phase de sélection clonale durant laquelle les cellules présentatrices d’antigènes activent les lymphocytes B.
c) une phase d’amplification clonale nécessitant l’interleukine.
d) une phase effectrice, la lyse cellulaire, nécessitant des médiateurs chimiques.
14) La phagocytose :
a) peut permettre de neutraliser le complexe immun.
b) peut permettre de détruire les pathogènes en utilisant des enzymes présentes dans le lyzosome.
c) n’intervient que lors de la réponse innée.
d) est le travail des macrophages, des granulocytes et des lymphocytes T.
15) Les symptômes de la réaction inflammatoire sont :
a) rougeur, chaleur, douleur, gonflement.
b) rougeur, chaleur, gonflement.
c) production d’interleukines médiateurs de la douleur.
d) douleur, chaleur, fièvre, vasodilatation.
16) La réponse adaptative nécessite une coopération cellulaire au moyen de molécules :
a) nécessaires à l’amplification clonale.
b) nécessaires à la sélection clonale.
c) nécessaires à la différenciation clonale.
d) nécessaires à la phase effectrice des LB.
17) La réponse adaptative nécessite un contact entre cellules :
a) lors de l’amplification clonale.
b) lors de la sélection clonale avec tout type d’antigène chez les lymphocytes B.
c) lors de la différenciation clonale chez les lymphocytes T cytotoxiques.
d) lors de la phase effectrice chez les lymphocytes T cytotoxiques.
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