o Perte d’eau intra cellulaire / augmentation de la concentration osmotique
intracellulaire
o Diminution de …
Résistance au froid (gel) chez les mollusques intertidaux (ectothermes)
Mécanisme de déshydratation protecteur / perte de 60% H20 intra cellulaire (cf schéma)
Conséquences de la résistance au gel sur la zonation :
% de tissus gelés entrainant la mort (% léthal pour T°< 0°C)
Cf schéma
Résistance à la dessication chez les algues (Pelvetia canaliculata) :
Entre les BMVE (basse mer de vives eaux) et les PMVE (pleine mer de vives eaux), on a une
succession d’algues : d’abord algues brunes puis algues rouges.du côté des PMVE, on a beaucoup de
lichens.
L’algue la plus haute est Fucus spiralis.
Un peu plus bas, on a Fucus vesiculosus, puis Fucus serratus.
Les grandes algues brunes sont plus bas encore.
Les conditions d’exposition (le mode) peut influencer la présence des algues mais aussi la zonation.
On va distinguer deux grands modes :
Un mode abrité (hydrodynamisme faible)
Un mode exposé (à de forts courants, au vent dominant…) impact mécanique des houles
sur les rochers conséquences pour les espèces présentes. On retrouve tout de même des
ceintures à Pelvetie et à Fucus (mais certains disparaissent).
On a testé la zone de tolérance de deux espèces : la Pelvetie et le Fucus. On les a récoltées à
différentes périodes de l’année.
On les a séché à 26°C et on les a mis à 50% d’humidité relative.
Pour des durées d’exposition de moins de 40h, il y a peu de mortalité pour les plants de pelevetie
(sauf si on les prélève en hiver).
Au-delà de 40h, les plants de pelvetie sont plus endommagés.
Les pelveties sont très résistantes à la dessication en deça de 40h.
Les fucus cependant résistent beaucoup moins bien.
La pelevtie est une espèce qui se développe en haut de l’estran alors que le fucus se trouve sur les
zones médianes de l’estran donc est émergée pendant moins de temps durant l’année.
Lumières et algues :
Flux quantique = quantité d’énergie reçue par les algues sur l’estran et composition de la lumière
perçue (longueur d’onde).
A 1m de profondeur, seulement 45% de l’énergie lumineuse est captée par les plantes.
A 10m, seulement 16% de l’énergie lumineuse est captée.
De plus, plus on va en profondeur, plus le spectre de la lumière visible diminue (à 10m, on va
seulement capter du bleu-vert).