La politique de prix se définit par le choix de proposer les meilleurs prix en maintenant les
objectifs de positionnement sur le marché, de vente et de rentabilité.
La fixation des prix prend en compte
Liés aux facteurs de
production, aux
fournisseurs, aux
intermédiaires, à la
législation, aux contraintes
environnementales
Sensibilité des acheteurs
au prix, en fonction du
rapport qualité/prix du
produit et de l’éventuel
caractère saisonnier de
l’achat
Agressivité plus ou moins
grande en matière de prix
Coût d’achat
Coût de distribution
Coût de revient
Marge nette
Prix rond ou magique
Prix psychologique
Produits permanents,
saisonniers ou
promotionnels
Relevés de prix
Stratégie d’alignement,
d’écrémage ou de
pénétration
Les formules :
Prix magique : prix fixé immédiatement en dessous d’un seuil pour créer un effet psychologique
favorable chez l’acheteur (exemples : 9,00 € ou 199,95 €).
Stratégie d’alignement : adoption des prix pratiqués par la concurrence afin d’éliminer ce critère de
différenciation.
Stratégie d’écrémage : politique de prix plus élevés que ceux de la concurrence afin d’accroître ses
bénéfices ou de justifier la qualité du produit.
Stratégie de pénétration : pratique de prix plus bas que ceux de la concurrence afin de vendre en
grande quantité et d’augmenter ses parts de marché.
Coût d’achat = Prix d’achat hors taxes + Frais d’achat (transport…) – Réductions sur achats
Coût de distribution = Coûts liés à la publicité + Frais de vente et de commercialisation du produit
Coût de revient = Coût d’achat + Coût de production + Coût de distribution et de commercialisation
Afin de déterminer si l’on a fixé le bon prix et si l’on a correctement placé son produit dans le point
de vente, il est nécessaire de suivre régulièrement les ventes. On va alors analyser les quantités
vendues.