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La science donne à celui qui y consacre son travail et ses recherches beaucoup
de satisfaction, à celui qui en apprend les résultats, fort peu. Mais comme peu
à peu toutes les vérités importantes de la science deviennent ordinaires et
communes, même ce peu de satisfaction cesse d’exister : de même que nous
avons depuis longtemps cessé de prendre plaisir à connaître l’admirable deux
fois deux font quatre. Or, si la science procure par elle-même toujours de moins
en moins de plaisir, et en ôte toujours de plus en plus, en rendant suspects la
métaphysique, la religion et l’art consolateurs : il en résulte que se tarit cette
grande source du plaisir, à laquelle l’homme doit presque toute son humanité.
C’est pourquoi une culture supérieure doit donner à l’homme un cerveau
double, quelque chose comme deux compartiments du cerveau, pour sentir,
d’un côté, la science, de l’autre, ce qui n’est pas la science : existant côte à
côte, sans confusion, séparables, étanches : c’est là une condition de santé.
Dans un domaine est la source de force, dans l’autre le régulateur : les illusions,
les préjugés, les passions doivent servir à échauffer, l’aide de la science qui
connaît doit servir à éviter les conséquences mauvaises et dangereuses d’une
surexcitation. Si l’on ne satisfait point à cette condition de la culture
supérieure, on peut prédire presque avec certitude le cours ultérieur de
l’évolution humaine : l’intérêt pris à la vérité cessera à mesure qu’elle garantira
moins de plaisir ; l’illusion, l’erreur, la fantaisie, reconquerront pas à pas, parce
qu’il s’y attache du plaisir, leur territoire auparavant occupé : la ruine des
sciences, la rechute dans la barbarie est la conséquence prochaine ; de
nouveau l’humanité devra recommencer à tisser sa toile, après l’avoir, comme
Pénélope, détruite pendant la nuit. Mais qui nous est garant qu’elle en
retrouvera toujours la force?
NIETZSCHE, F, Humain, trop humain ; Avenir de la science
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C’est avec un profond respect que je souhaite exprimer ma gratitude à Monsieur Marc
BOZZETTO, Président Fondateur ATMAN, pour ces trois années passées dans son école à
baigner dans l’Ostéopathie atmanienne.
Je voudrais également remercier Monsieur Benjamin VERDEIL, Vice-Président AOA, ainsi que
l’ensemble de l’équipe pédagogique, avec une pensée particulière pour Monsieur Denis CÔME,
D.O., et le Dr Florence GOMMY, Docteur en Médecine, pour leur disponibilité et leur soutien
précieux durant cette dernière année riche en rebondissements.
Je souhaite exprimer ma reconnaissance à Monsieur Gilles GERMAIN, D.O., pour m’avoir fait
confiance en acceptant d’être mon tuteur de mémoire, pour son esprit, pour sa disponibilité, et
de m’honorer de son amitié.
J’adresse mes remerciements à Monsieur Jean-Luc PAYROUSE, D.O., pour ses conseils avisés
durant l’édification de ce mémoire.
Je voudrais par ces mots remercier les professeurs dont j’ai reçu l’enseignement durant ces cinq
années d’étude, ainsi que plus largement l’ensemble des ostéopathes qu’il m’a été donné de
rencontrer depuis mon jeune âge et qui m’ont inspiré et donné l’envie de faire ce métier.
Comment, parmi eux, ne pas citer Monsieur Christian DEFRANCE de TERSANT, D.O., fondateur
de ma première école, InSO-Aix.
Je remercie aussi mes patients, ces enseignants qui s’ignorent, pour leur confiance et pour tout
ce qu’ils m’ont apporté.
Jadresser aussi ma gratitude au Dr Jean VION-DURY, Docteur en Médecine, Docteur en
Sciences, praticien hospitalier et Maître de Conférence à la Faculté de Médecine de Marseille,
ainsi qu’au Dr Carlo ROVELLI, Docteur en Physique, professeur à l’Université de la Méditerranée
et directeur de recherche au CNRS au Centre de physique théorique de Luminy à Marseille, pour
m’avoir donner le goût des sciences physiques en général et de la physique quantique en
particulier, ce qui n’était a priori pas une mince affaire.
De façon plus personnelle, mes remerciements vont à mes ami(e)s, d’hier et d’aujourd’hui, qui
m’ont épaulé, soutenu, écouté et enrichi par leurs paroles ou simplement leur présence.
Enfin, last but not least, j’adresse mes remerciements et ma gratitude aux membres de ma
famille. Mon grand-père et ma grand-mère pour leur soutien inconditionnel, mes parents pour
avoir cru en moi, mon frère et ma sœur d’être ce qu’ils sont.
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