Dépistage de la détresse en oncologie : une expertise infirmière à

Dépistage de la détresse en oncologie :
une expertise infirmière à développer
SIDIIEF, Montréal, 4 juin 2015
Marie de Serres
,
M.Sc.in
f
.
,
Conseillère en soins s
p
écialisés en oncolo
g
ie
,
,pg
Marie-Anik Robitaille, M.A., Centre de recherche CHU de Québec
Lise Fillion, inf., PhD, Université Laval
Marie
Claude Blais
PhD Université
du Québec à Trois
Rivières
Marie
-
Claude
Blais
,
PhD
.,
Université
du
Québec
à
Trois
-
Rivières
Dre Annie Tremblay, MD, FRCPC, CHU de Québec
Jean-François Desbiens, inf., PhD., Université Laval
Objectifs
Se familiariser avec les principaux acquis et
défis du dépistage de la détresse en oncologie
Explorer les difficultés des infirmières à gérer la
détresse et des pistes pour développer ces
compétences.
Introduction
Définition de la détresse du NCCN:
Une expérience émotive désagréable multifactorielle de nature
psychologique (cognitive comportementale émotive) sociale
psychologique
(cognitive
,
comportementale
,
émotive)
,
sociale
et/ou spirituelle qui peut interférer avec l’habileté à faire face
adéquatement au cancer, ses symptômes physiques et son
traitement
Plus simplement, sur l’Outil de dépsitage de la
détresse du CHU de Québec (ODD):
« Émotion désagréable qui diminue la qualité de vie et peut nuire
au fonctionnement de la personne. »
La
détresse
est
multifactorielle
La
détresse
est
multifactorielle
Besoins •Douleur
•Fatigue
Sommeil
•Estimedesoi
•Imagecorporelle
Coping
Psychologique Physique
Sommeil
• Nausée/vomissement
•…
Coping
•Mort
Social Émotionnel
•Colère
• Désespoir
•Peur/anxiété
• Impuissance
Famille
•Amis/relations
•École/travail
•Deuil
Information
•Sens delavie
•Souffrance
Spirituel
Pratique
• Finances/transport
• Garde desenfants
•Ménage
Aspect
légal
• Maladie
• Traitements
Information
•Services
•Mourir
•Sens delamort
Enjeux éthiques
Finitude
•Le
g
s
4
Aspect
légal
• Statégies coping
•Gestiondesymptômes
•Prise
dedécision
g
Prévalence de la détressePrévalence de la détresse
50 % des personnes atteintes
vivent une détresse
passagère
35 35 –– 45 %45 %
vivent
une
détresse
passagère
35-45% des personnes
atteintes vivent une détresse
plus
élevée
55 55 –– 65 %65 %
plus
élevée
5-10% des patients vivront une
dépression majeure
Si on se fie à des signes
arbitraires, la détresse a
tendance à être sous-évaluée
t
tité
Carlson et al., 2004; Zabora et al., 2001; Tuinman et al., 2008
e
t
sous-
t
ra
ité
e
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