ADHESION CEN bulletin 2016 - COORDINATION de la NOUVELLE
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Coordination de la Nouvelle Education populaire : la CEN BULLETIN D'ADHESION année civile 2016 Date d'adhésion (impératif):………….......…Nom…………………………Prénom.....................Profession :……………………………Adresse ……………………………………………………………………………............................................................ Localité (impératif) : …………………………………………Tél : ……………………………………E-mail : (impératif).......................................... Association : …………………………………………………… Je suis membre actif (invité au CA pour décider) : OUI........ NON......... je veux devenir membre actif dès que possible : (informé sur liste CA-CEN-associés) .......OUI.....................NON..... ADHÉSIONS : individuelle : membre actif (inscription sur CA-CEN) pour co-construire les actions/projets/commissions/groupes locaux.Pas d'accès Internet ? Merci d'envoyer avec votre versement 5 enveloppes (timbrées à votre adresse) pour envoi des informations Soutien : inscription, sauf mention contraire, à la liste interne ECHANGES/COOPCEN pour débats infos entre deux CA bimestriels, Associations Petite (moins de 50 adhérents) : 10 € ; moyenne (50-100) : 30 € ; grande (de 100 à 250) : 50 € ; très grande (de 250 à 1000) : 100 € ; plus de 1000 adhérents : 200€ Donateur/trice : -occasionnel ...............-don régulier (nous consulter pour un versement mensuel ou trimestriel 06800579) .......... Cotisations selon les revenus (dont patrimoines) RMI-RSA : 5€ ; RMI < 970 € : 10€ ; 970 à 1200 € :15 € ; 1200 à 1500 € : 20 € ; 1500 à 1800 € : 30 € ; 1800 à 2300 € : 40 € ; 2300 à 2800€ : 50 € ; 2800 à 3500€ :75 € ; 3500 à 5000€ : 100 € ; > 5000€ : 150 € Chèque à l’ordre de « la CEN » et adressé à : La Cen, 143, rue Neuve, 01120 Montluel La CEN coordination de la nouvelle éducation populaire ; [email protected] 06 75 80 05 79 Site web (inscription à sa newsletter hebdomadaire) : www.la-cen.org Une mouvance générale (voir son dépliant sur le site) organisée en branches (thèmes spécifiques), en réseaux/groupes locaux, en Rencontres, le tout coordonné par un CA régional tous les 2 mois, des réunions téléphone, les discussions sur liste des adhérents et amis) Une créatrice d'événements (rencontres été : éduc pop et sortie du système depuis le bas, de printemps (permaculture/autonomie alimentaire villes/campagnes), automne (urgence logement écolo-social, accueil des familles en précarité ................................................................................... Une colporteuse de transitions alternatives, (régies publiques territoriales de production d'énergie, voire cantines 100% bio local, biens communs dont agriculture paysanne et foncier agricole en contexte de collapsus), Une antidote à toutes les récups par l'émancipation intellectuelle (construction de l'autonomie de pensée via la production d'écrits, de savoirs, notamment dans des form'action (actions ----> conscientisation ---> action) impliquant de puissant outils (jeux de simulation, théâtre forum, jeux de conscientisation, ateliers d'écriture et de théorisation de l'action , de partage des savoirs sur le monde, la nature, l'écologie, la permaculture, l'économie monde, la sociologie et l'analyse des sociétés, l'éducation émancipatrice, la philosophie politique, l'état, les partis, la société civile, les oligarchies, les résiliences; Une actrice de la construction de l'autonomie de la société civile (prenant sa place localement dans le concert des assos mouvements visant la prise en main ses territoires et cités de l'économie -réparatrice-) à la culture –productive, non consumériste) Une boîte à outils de la démocratie économique (de la socialisation coopérative de moyens de production relocalisés et sous contrôle de la DDT et d'élus nationaux fédératifs/impératifs) , de la démocratie politique directe (à commencer au local), avec débats vivants ; de la démocratie culturelle (de la production par tous des savoirs universels et de terroirs et de toutes les formes d’art mis en bouquet en festivals co construits, d'une éducation émancipatrice autant que possible les jeunes des écoles publiques/privées en recherches actions sur le développement endogène du territoire Une agitatrice d'idées relayeuse d'alertes et éveilleuse de consciences sur les espaces publics (stands, foires, marchés, cinés-débats, forums... ) et dans les médias citoyens associatifs locaux (chroniques d'écologie sociale et de société, d'économie, de culture exprimant les intérêts des plus exploités, dominés...) Une passerelle entre résistances (aux investisseurs et élus) et alternatives (propositions et actions), entre écologie fondamentale (sauver, restaurer la vie sauvage condition du renouvellement de la vie) et écologie sociale (implication des personnes des classes populaires pour un développement humain : pour leur résilience, autonomie alimentaire/énergétique, villes en transition, rapports villes/campagnes, revivre à la campagne), entre local (projets alternatifs et résilients de territoire d'initiative citoyenne/populaire ou PRATIC) vers la démocratie directe territoriale ou DDT) et global (solidarités internationalistes (palestiniens, grecs, sans terre, réfugiés, justice climatique...) ; participation aux mouvements globaux pour changer le système, pas le climat par exemple Vélorution Villages Alternatiba) ; entre intellectuels classiques (issus des classes moyennes) et intellectuels organiques (porte paroles de leur classe sociale) ; entre actions personnelles et collectives (pour collectifs société civile, une personne, une voix, les partis en soutien extérieur, sans instrumentation), Un levain des convergences dans les collectifs de lutte et de transition, comme dans les forums pour les transitions citoyennes écologiques et sociales, et plus globalement via la bataille des idées pour sortir de la cause des causes des effondrements économiques et écologiques (dont réchauffement) : le capitalisme et son oligarchie, ses médias et sa culture. La Cen veut juste contribuer à la sortie par le bas du système (des banques, des multinationales dont agro alimentaires, des grandes surfaces, des promoteurs immobiliers, des médias-système (privés/d’état), des industries culturelles de dérivation/consolation, de la pseudo démocratie électorale (oligarchique, ploutocratique), de l’école fabrique de l’impuissance, et plus globalement de la religion de la croissance, du consumérisme, du productivisme, de la compétition, des technologies destructrices et asservissantes...) ; pour associer les forces vives de la société civile, les classes populaires concernées, l’ESSE à la construction locale des souverainetés territoriales : énergétique (PETARD), alimentaire (AUPUSS), d'habitat (HAGATE), culturelle (CCCC), visant un développement endogène appuyé sur les ressources locales et les coopérations horizontales, sans croissance quantitative, assurant les biens publics le plus possible gratuits, des emplois nombreux de qualité et durables bref reconstruisant depuis le bas la société le plus possible résiliente le plus possible égalitaire et sobre dans le partage des ressources et le plus possible engagée dans la restauration des communs en premier lieu la nature, les sols vivriers, le climat, une économie locale sociale réparatrice et résiliente en contexte de montée des périls
