Thérapeutique la formation médicale continue du CEDH “ A imé Holtzscherer fut l’un des premiers à explorer le champ immense des possibilités des dilutions d’hormones. L’utilisation thérapeutique de celles-ci est incontestablement un atout essentiel pour le praticien dans le traitement de nombreuses situations cliniques, mais c’est aussi une riche piste de recherche clinique et fondamentale qui fera progresser l’homéopathie. Le travail d’Aimé Holtzscherer y restera toujours attaché. Code article : H96 CEDH ” T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E hormonale homéopathique Aimé Holtzscherer, médecin généraliste, exerce l'homéopathie en libéral depuis 37 ans. Élève de Denis Demarque, il fut enseignant au DU d’homéopathie de la faculté de Bordeaux et au CEDH depuis le début de ce dernier. Il est aussi enseignant en homéopathie à la faculté de médecine des AntillesGuyane. Il est aussi coauteur de plusieurs ouvrages. Il insiste depuis longtemps sur l'importance de la similitude anatomophysiopathologique en homéopathie. Thérapeutique hormonale homéopathique 14 € ISBN : 978-2-915668-61-2 l’enseignement de l’homéopathie clinique Dr Aimé HOLTZSCHERER CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:34 Page 3 Thérapeutique hormonale homéopathique Dr Aimé Holtzscherer formation médicale continue CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:34 Page 7 Introduction Après plusieurs années d’étude et de pratique de l’homéopathie, nous avons acquis la conviction que la relation thérapeutique de similitude devait être essentiellement basée sur la similitude anatomo-physiopathologique, et que nos Matières Médicales, notre enseignement et notre pratique devaient privilégier cette voie. C’est ainsi que nous avons été amenés à étudier certaines substances à visée physiopathologique, peu ou pas utilisées en homéopathie. La gynécologie étant un domaine qui nous a plus particulièrement intéressés, c’est tout naturellement que nous avons étudié les hormones de l’axe hypothalamo-hypophyso-gonadique avec des succès thérapeutiques supérieurs à ceux que nous avions auparavant. Nous nous sommes intéressés ensuite à la thyroïde et à l’hypertension artérielle. T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 7 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:34 Page 11 1 1re partie Matière médicale T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 11 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 24 c. La prolactine Elle est stimulée par la TRH hypothalamique (cette hormone n’existe pas à la nomenclature homéopathique) et partiellement par la LH-RH, la sérotonine et le VIP (Vasoactive Intestinal Peptide). Ce dernier est un neurotransmetteur vasodilatateur et régulateur de la motricité digestive, des sécrétions intestinales et stomacales et des sécrétions internes du pancréas. TRH Hormones gonadiques LH-RH PRL VIP Sérotonine Dopamine Sécrétion lactée action frénatrice action excitatrice • La prolactine est stimulée aussi par la succion et les stimulations du mamelon dans les deux sexes. • Elle est inhibée par la dopamine. • Elle a pour action principale le déclenchement et le maintien de la lactation, et contribue au maintien du corps jaune de la grossesse. • Elle a une action frénatrice sur les hormones gonadiques dans les deux sexes. Usages homéopathiques Dans toutes les indications qui vont suivre, l’utilisation de Lac caninum (qui contient beaucoup de prolactine mais aussi de la progestérone et des œstrogènes) peut être préférée ou être complémentaire. 24 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 25 Sevrage de la nourrice qui désire arrêter d’allaiter ou chez la parturiente qui ne désire pas allaiter Les résultats sont régulièrement excellents en prescrivant : • Lac caninum 15 CH, 5 granules à chaque montée laiteuse. • En cas d’engorgement mammaire, adjoindre Bryonia 15 CH et Apis mellifica 15 CH, 5 granules de chaque 3 fois par jour. Toutes les autres indications relèvent soit d’une hypersensibilité à la prolactine, soit d’une hyperprolactinémie vraie. Il faut donc demander le plus souvent un dosage de celle-ci et, éventuellement, une IRM de la selle turcique, à la recherche d’un adénome hypophysaire ou d’une déconnexion de la tige hypothalamo-hypophysaire. Même en cas de microadénome hypophysaire (non compressif), l’attitude officielle est de plus en plus, chaque fois que faire se peut, l’abstention thérapeutique ; donc ne pas hésiter à utiliser l’homéopathie. Ces indications peuvent être : Gynécomastie - Mastodynies sévères (voir p. 41) - Galactorrhée (avec ou sans aménorrhée) - Hypofertilité (voir p. 70) - Impuissance • Prolactinum (ou Lac caninum) 15 CH, 5 granules 1 à 2 fois par jour. En cas d’hyperprolactinémie vraie ou de prolactinémie limite, adjoindre LH-RH 15 CH et Serotoninum 15 CH, 1 fois de chaque par jour. Cas clinique Une dame m’amène son fils Julien F., 12 ans et demi, qui a découvert « une boule » dans son sein gauche il y a 3 semaines. Il est inquiet et complexé par ce phénomène. Julien est en bonne santé par ailleurs et n’a pas de traitement en cours. À l’examen, il existe effectivement une tuméfaction sous-mamelonnaire sphérique de 2 cm de diamètre, douloureuse à la pression. Tous les caractères sexuels primaires et secondaires sont présents. Traitement • Lac caninum 15 CH, 5 granules 2 fois par jour. Julien a été guéri en un mois (l’évolution spontanée de cette pathologie bénigne à l’adolescence se fait en général sur plusieurs mois pour arriver à la guérison). T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 25 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 55 D Les endométrioses 1 Par définition, c’est la présence hétérotopique d’endomètre : adénomyose, tubaire, péritonéo-ovarienne, externe (vulve, périnée, abdominale, urinaire, thoracique…). Les lésions endométrosiques sont sous la dépendance des œstrogènes qui les entretiennent. On retrouve dans le liquide péritonéal – en cas de forme génitale externe – des macrophages, des prostaglandines et des stéroïdes. C’est une pathologie fréquente qui doit toujours être évoquée devant une algoménorrhée secondaire ou une hypofertilité. Ce sont là les deux principaux motifs de consultation. .Traitement homéopathique Les lésions endométriosiques sont de véritables tumeurs chroniques. Il faut donc toujours donner un médicament de mode réactionnel sycotique : • Thuya occidentalis ou Medorrhinum, si l’on a la notion d’infection génitale fréquente, en dose de 30 CH hebdomadaire, ou Nitricum acidum, pour les localisations (col, vulve, narine), en dose de 30 CH hebdomadaire. La dépendance de l’endométriose aux œstrogènes doit faire prescrire, en cas d’insuffisance de résultats en quelques mois : • Folliculinum 15 CH, voire Œstradolium 15 ou 30 CH, 5 granules tous les jours. Adjoindre un traitement de douleurs de règles, essentiellement : • Prostaglandine F2 et Prostaglandine E2 en 15 CH, 5 granules de chaque à la demande, ou tout autre médicament vu au chapitre des algoménorrhées (voir p. 49). Actaea racemosa sera souvent indiqué puisque, dans sa pathologie, on retrouve des douleurs proportionnelles au flux menstruel, T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 55 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 56 comme dans les endométrioses, et qu’il a une action antiœstrogène. Adjoindre également un médicament de type sensible à rechercher surtout dans le climat hyperœstrogénique. Cas clinique Mme Danielle M., 31 ans, consulte pour une endométriose qui vient d’être diagnostiquée à la suite de douleurs pelviennes chroniques. Interrogatoire La cœlioscopie a montré une cavité pelvienne très congestive, un épanchement péritonéal au niveau du Douglas ; celui-ci présente aussi des lésions endométriosiques, tout le reste de la surface du péritoine présente de petites lésions endométriosiques. Par ailleurs, elle se dit fatiguée, présente des problèmes digestifs à type de constipation et de pesanteur postprandiale. Elle a été réglée à 14 ans ; ses cycles sont de 28 à 35 jours ; ses règles sont abondantes, durent 7 à 10 jours et sont au maximum le 2e et le 3e jour. Les douleurs pelviennes sont au maximum du 1er au 4e jour, à type de crampes. Il existe aussi, 10 jours avant les règles, un syndrome prémenstruel fait de mastodynies. Dans les antécédents, on note de très nombreux problèmes ORL de l’enfance. Traitement (6 mois) • Tuberculinum 30 CH et Sulfur iodatum 30 CH, 1 dose chaque dimanche en alternance. • Folliculinum 15 CH, 5 granules le matin. • Thuya occidentalis 15 CH, 5 granules le soir. • Prostaglandine E2 15 CH et Prostaglandine F2 15 CH, 5 granules de chaque à la demande. Revue 6 mois après : les règles sont beaucoup moins abondantes, beaucoup moins douloureuses et très vite calmées par Prostaglandine F2 et E2. On vient de lui faire une nouvelle cœlioscopie qui montre beaucoup moins de noyau endométriosique. 56 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 73 H Les possibilités de l’homéopathie dans les dysthyroïdies Dans cette pathologie, l’homéopathie seule est rarement suffisante (sauf en cas de signes cliniques très frustres de pathologies débutantes). Le plus souvent, elle est complémentaire des traitements classiques, en permettant de prescrire des dosages inférieurs de ceux-ci et de diminuer progressivement la posologie pour arriver parfois, dans un deuxième temps, à la prescription de l’homéopathie seule. Nos résultats étaient bien meilleurs lorsque nous pouvions prescrire des auto-isothérapiques sanguins, surtout dans les maladies immunologiques (maladie de Basedow), inflammatoires (maladie de De Quervain) et auto-immunes (thyroïdite spontanée atrophique et maladie de Hashimoto). PRL TRH TSH T4 , T3 LH , FSH Somatostatine Dopamine GH action frénatrice action excitatrice Les hormones thyroïdiennes, essentiellement la T3 L, ont deux types d’action : • Elles stimulent la synthèse protéique de tous les tissus de l’organisme. • Elles augmentent la consommation en oxygène et stimulent l’activité de la Na-K-ATPase (pompe à sodium) dans les tissus T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 73 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 1 7/10/11 12:35 Page 74 responsables de la consommation basale en oxygène (foie, reins, cœur, muscles squelettiques, cerveau). .L’hyperthyroïdie Comme il y a une augmentation des hormones thyroïdiennes, la TSH diminue et, donc, la TRH augmente. Tout cela entraîne une augmentation de la prolactine et peut expliquer la possibilité d’aménorrhée, de baisse de la libido et de la gynécomastie. Comme il y a également une diminution de la dopamine et de la somatostatine, la somatotrophine (GH) augmente, ce qui explique l’amaigrissement. Nous proposons de prescrire : • Hypothalamus 15 CH, 1 fois par jour (par défaut de TRH à la nomenclature). • Somatostatine 15 CH, 1 fois par jour. • Prolactinum 15 CH, 1 fois par jour. Et pour son action sur les effets périphériques de l’hyperthyroïdie : • Triac (Triodothyroaceticum acidum) 15 CH, 1 fois par jour. Nous y adjoignons toujours un médicament d’action plus général choisi sur les symptômes les plus fréquents de l’hyperthyroïdie, que nous avons résumés dans le tableau ci-contre. 74 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 75 X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X Ferrum iodatum Spongia X X Lycopus Gelsemium Lachesis mutus Fluoricum acidum Goitre Nodules POIDS <, APPÉTIT NORMAL Selles fréquentes Vomissements Palpitations Tachychardie Angor Nervosité Tremblements Myopathie Sudation HYPOCRASTISME DIGITAL Myxœdème Onycholyse Aménorrhée Libido diminuée ASYNERGIE OCULOPALPÉBRALE Diplopie Exophtalmie Thermophobie Asthénie Gynécomastie Soif augmentée Ostéoporose Iodum Natrum muriaticum Manifestations cliniques de l’hyperthyroïdie avec les médicaments correspondants X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 75 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 76 Cas clinique Thérèse E., 38 ans, consulte pour une hyperthyroïdie découverte il y a 3 ans à la suite d’alternance de phases d’asthénie et de phases d’excitation. Elle a noté également une perte de poids avec un appétit normal, des chutes de cheveux, une soif augmentée et une libido diminuée. La TSH était à 0,021 µUI/ml et la T4L à 20 pg/ml. L’échographie est en faveur d’une thyroïdite sans augmentation du volume de la thyroïde. Thérèse est traitée par Néomercazole®, 9 comprimés par jour depuis 3 ans, posologie qui l’équilibre et que l’on ne peut pas baisser, car la symptomatologie et la biologie d’hyperthyroïdie réapparaissent. Traitement • Natrum muriaticum 30 CH, 1 dose le dimanche. Tous les autres jours : • Hypothalamus 15 CH, 5 granules le matin. • Somatostatine 15 CH, 5 granules le midi. • Prolactinum 15 CH, 5 granules le soir. Avec ce traitement, on a pu diminuer progressivement le Néomercazole® sur 8 mois pour arriver à un arrêt définitif. Nous avons un recul de 4 ans chez cette patiente. Cas clinique Mme Danièle Y., 46 ans, présente une hyperthyroïdie découverte il y a 6 mois à la suite d’une perte de poids et de palpitations. La TSH était à 0,007 µUI/ml, la T3L à 13,7 pg/ml et la T4L à 38,5 pg/ml. À la palpation, il existe un adénome confirmé par l’échographie. Elle est traitée depuis le début par Néomercazole®, 9 comprimés par jour, Avlocardyl®, 2 comprimés par jour, sans résultats, et il a été rajouté de l’Iode 131, maintenant arrêté. Elle se dit très asthénique. Elle est devenue frileuse depuis le traitement et aménorrhéique depuis le début de la maladie. Les résultats biologiques sont quasiment identiques à ceux du début. À l’examen : taille 163 cm, poids 50 kg et pouls à 40 ! 76 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 89 Table des matières Présentation de la collection ..........................................................5 INTRODUCTION ............................................................................7 AVANT-PROPOS .............................................................................9 1RE PARTIE : MATIÈRE MÉDICALE ................................................11 A. L’AXE HYPOTHALAMO-POSTHYPOPHYSAIRE .......................13 1. La vasopressine.........................................................................13 2. L’ocytocine................................................................................14 - Cas cliniques ..............................................................................15 B. L’AXE HYPOTHALAMO-ANTÉHYPOPHYSAIRE .......................17 1. Les hormones hypothalamiques..............................................17 a ) La LH-RH..................................................................................17 b ) La dopamine............................................................................18 - Cas clinique ................................................................................20 c ) La somatostatine .....................................................................20 d ) Les autres hormones hypothalamiques ...................................20 2. Les hormones antéhypophysaires ..........................................21 a ) La FSH .....................................................................................21 b ) La LH........................................................................................22 c) La prolactine ............................................................................24 - Cas clinique ................................................................................25 d ) L’ACTH.....................................................................................26 - Cas clinique ................................................................................26 e ) La THS .....................................................................................28 f ) La somatotrophine...................................................................28 3. Les hormones gonadiques ......................................................30 a ) Les œstrogènes .......................................................................30 b ) La progestérone ......................................................................31 c) Les androgènes .......................................................................33 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 89 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 90 2DE PARTIE : THÉRAPEUTIQUE ....................................................35 A. DÉTERMINATION DU CLIMAT HYPEROU HYPŒSTROGÉNIQUE RELATIF .......................................37 1. Le climat d’hyperœstrogénie relative ......................................37 2. Le climat d’hypœstrogénie relative .........................................37 3. Les grands médicaments de fond d’unité somato-psychique ..........................................................38 B. LES SYNDROMES PRÉMENSTRUELS......................................41 1. Le syndrome prémenstruel de type « hyperœstrogénique relative » ..................................................................................41 2. Le syndrome prémenstruel de type « hypœstrogénique relative » ..................................................................................41 3. Le cas particulier du syndrome prémenstruel avec importante mastodynie ...................................................41 4. Le cas particulier du syndrome prémenstruel avec importants œdèmes ........................................................42 5. Les cas « mixtes » ....................................................................42 - Cas cliniques ..............................................................................42 C. LES DYSMÉNORRHÉES ESSENTIELLES..................................47 1. Physiopathologie .....................................................................47 2. Traitement homéopathique .....................................................49 a ) Il existe des anomalies de la contractibilité du myomètre ......49 b ) Il existe des facteurs endocriniens...........................................50 c ) L’ischémie utérine se traduit par une algoménorrhée de règles noires .......................................................................51 d) Algoménorrhée par spasme du col .........................................51 - Cas cliniques ..............................................................................52 D. LES ENDOMÉTRIOSES ...........................................................55 1. Traitement homéopathique .....................................................55 - Cas clinique ................................................................................56 E. LES NAUSÉES ET LES VOMISSEMENTS DU PREMIER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE........................57 1. Une éthiopathologie inconnue................................................57 90 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 91 2. Une étude clinique : Luteinum 15 CH dans le traitement des nausées de la femme enceinte................................................57 3. Deux remarques sur l’étude clinique .......................................61 - Cas cliniques ..............................................................................62 F. LES BOUFFÉES DE CHALEUR DE LA MÉNOPAUSE...............65 1. Une pathogénie pas clairement établie ..................................65 - Cas cliniques ..............................................................................66 G. L’HYPOFERTILITÉ ....................................................................69 1. Un domaine très complexe .....................................................69 - Cas cliniques ..............................................................................70 H. LES POSSIBILITÉS DE L’HOMÉOPATHIE DANS LES DYSTHYROÏDIES .....................................................................73 1. L’hyperthyroïdie .......................................................................74 - Cas cliniques ..............................................................................76 2. L’hypothyroïdie primaire ..........................................................77 - Cas clinique ................................................................................78 I. LES POSSIBILITÉS DE L’HOMÉOPATHIE DANS L’HYPERTENSION ARTÉRIELLE....................................81 1. Rappels physiologiques...........................................................81 2. Le système rénine-angiotensine-aldostérone..........................82 3. L’adaptation au stress ..............................................................82 a ) Traitements homéopathiques d’appoint .................................82 - Cas cliniques ..............................................................................84 CONCLUSION ..............................................................................86 BIBLIOGRAPHIE ...........................................................................87 T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E 91 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 92 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 93 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 94 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 95 CEDH_Livre A.Holtzscherer06_10:Gabarit_CEDH_JP 7/10/11 12:35 Page 96 Directeur de la publication : Dr Jacques BOULET Édition : Béatrice MÉNEUX-BOULET Lecture-correction : Agathe ROSO Création graphique et mise en page : LOGOMOTIF (Lyon) Achevé d’imprimer en France (UE) en octobre 2011 sur les presses de l’imprimerie XL PRINT 42010 Saint-Étienne ISBN : 978-2-915668-61-2 Dépôt légal : octobre 2011 Thérapeutique la formation médicale continue du CEDH “ A imé Holtzscherer fut l’un des premiers à explorer le champ immense des possibilités des dilutions d’hormones. L’utilisation thérapeutique de celles-ci est incontestablement un atout essentiel pour le praticien dans le traitement de nombreuses situations cliniques, mais c’est aussi une riche piste de recherche clinique et fondamentale qui fera progresser l’homéopathie. Le travail d’Aimé Holtzscherer y restera toujours attaché. Code article : H96 CEDH ” T H É R A P E U T I Q U E H O R M O N A L E H O M É O PAT H I Q U E hormonale homéopathique Aimé Holtzscherer, médecin généraliste, exerce l'homéopathie en libéral depuis 37 ans. Élève de Denis Demarque, il fut enseignant au DU d’homéopathie de la faculté de Bordeaux et au CEDH depuis le début de ce dernier. Il est aussi enseignant en homéopathie à la faculté de médecine des AntillesGuyane. Il est aussi coauteur de plusieurs ouvrages. Il insiste depuis longtemps sur l'importance de la similitude anatomophysiopathologique en homéopathie. Thérapeutique hormonale homéopathique 14 € ISBN : 978-2-915668-61-2 l’enseignement de l’homéopathie clinique Dr Aimé HOLTZSCHERER