QCM d`immunologie appliquée

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2009/2010
QCM d’immunologie appliquée 4ème année pharmacie NB : en ce qui concerne les sujets d‛immunologie, une proposition
exacte peut devenir inexacte et l‛inverse dans le temps, donc toute
réponse sur ce document n‛est considérée comme «corrigé type».
Conseils :
Ø Pour les QCM, répondre en entourant la (les) proposition (s)
correspondante (s) ; toutes réponses mentionnées autrement
ne sont pas validées. (=> 0 pts pour la réponse)
Ø Attention aux termes suivant : « la », « les » ou « la ou les »
et « exacte » ou « inexacte »
Ø Les réponses raturées (effaceur, gomme,..) ou écrites au
crayon ne sont pas validées. (=> 0 pts pour la réponse)
Ø Une proposition fausse annule la question (=> 0 pts) donc
moins vous entourez des propositions plus vous avez des
chances d‛avoir une note complète
Ø 40mn suffit largement pour répondre soigneusement aux
20 questions
Option :
ü Dans ces QCM il faut mieux répondre sur chaque
proposition par vrais faux car ces propositions se
répètent souvent dans les sujets (pour cela il n y a pas,
dans ces QCM, de question)
ü Généralement « pour les QCM de l‛immunologie
appliquée (4ème année) il faux entourer les
propositions inexacte BILAL TALBI 2009/2010 1. Par mi les effecteur s les plus efficaces pour éliminer le staphylocoque dor é on r etr ouve : a) Les lymphocytes T cytotoxiques b) Les macrophages après activation par l’interféron γ c) Les anticorps IgA et le complément d) Les anticorps IgG et le complément e) Les cellules K (killers) et les anticorps IgG 2. L’immunité antibactér ienne innée possède les car actér istiques suivantes : a) Elle s’exprime avant tout contact avec l’agent infectieux. b) Elle est fonction des espèces voir de facteurs raciaux c) Elle s’exerce aussi bien à la surface qu’à l’intérieur de l’organisme d) Elle fait intervenir les cellules phagocytaires e) Elle implique des facteurs humoraux, et en particulier les interférons 3. Le système du complément inter vient dans l’immunité antibactér ienne non spécifique : a) Après activation par la voie alterne b) Après activation par les endotoxines bactériennes c) Après activation par les polysaccharides de la bactérie en cause d) En augmentant la phagocytose par opsonisation e) En entrainant la lyse des bactéries, particulièrement celles du groupe des mycobactéries 4. Les anticor ps de classes IgG et IgM inter viennent de façon efficace dans l’immunité antibactér ienne : a) En entrainant la lyse bactérienne après activation du complément par la voie classique b) En neutralisant les toxines bactériennes c) En augmentant la phagocytose des bactéries par adhérence immune d) En suscitant une phagocytose accrue après activation des premiers composants du complément e) Par synergie avec les cellules K (killer) dans le phénomène d’ADCC 5. L’immunité humor ale spécifique joue un r ôle impor tant, sinon cer tain, dans les infections suivantes : a) Tétanos b) Choléra c) Typhoïde, méningite à méningocoque d) Tuberculose e) Diphtérie 6. Une cytotoxicité cellulair e anticorps dépendante (ADCC) est obser vée avec des cellules K sur des cellules cibles : a) Autologues recouvertes d’IgG b) Autologues infectées par un virus et recouvertes d’IgG spécifiques du même virus c) Allogéniques infectées par un virus et recouvertes d’IgG spécifiques du même virus d) Autologues infectées par un virus et recouvert par des fragments F (ab’) d’IgG spécifique du même virus e) Autologues infectées par un virus et recouvert par des fragments Fab’ d’IgG spécifique du même virus 7. Le phénomène d’opsonisation : a) Implique les récepteurs fc de toutes les classes d’immunoglobulines b) Fait également intervenir les récepteurs pour le composant C3B du complément c) N’augmente pas la dégradation (cytocidie) du germe ingéré d) Augmente l’adhérence ou l’ingestion du germe e) N’a aucun effet sur les bactéries encapsulées 8. Le phénomène de phagocytose : a) Implique la reconnaissance spécifique de l’agent infectieux par le macrophage b) Met en jeu des cellules capables de capter et d’internaliser les micro­ organismes c) Est assuré uniquement par les polynucléaires neutrophiles et les macrophages tissulaires d) Nécessite l’activation du complément par la voie alterne e) Est rendu beaucoup plus efficace par la mise en place d’une immunité spécifique acquis
9. Lor s de l’induction de la r éaction inflammatoir e, les molécules de sur face impliquées dans l’adhésion des cellules phagocytair es sont : a) Le LFA­1 b) L’ICAM­1 c) La sélectine LECAM d) Le TCRαβ e) Le CR3 10. Par mi les facteur s chimiotactiques (ou cytotaxines) endogènes, on peut citer : a) Le composant C5a du complément b) Le composant C1q du complément c) Le PAF d) Le leucotriène LTB4 e) Les peptides formylés tels que la f­MLP 11. L’immunité natur elle : a) Est spécifique de l’antigène b) Est mise en jeu immédiatement c) Fait intervenir des cellules phagocytaires d) Repose sur l’action des lymphocytes e) Est exclusivement humorale. 12. Dans l’anaphylaxie : a) Le déclanchement des signes cliniques fait suite à la combinaison des IgE fixées sur les polynucléaires neutrophiles avec l’allergène causal b) On note une production accrue d’IL4 c) Il y’a libération de médiateur préformés telle que l’histamine d) Le diagnostic repose sur la détection des IgE spécifiques de l’allergène e) La fixation de l’antigène aux IgE circulantes peut être inhibée par des IgG circulantes 13. Dans l’hyper sensibilité de type immédiat, l’éosinophile : a) Est un marqueur spécifique des manifestations atopiques b) Constitue la principale cellule impliquée dans la phase tardive c) Est retrouvé en grand nombre dans les sécrétions bronchiques en cas de rhinite allergique d) Possède à sa surface des récepteurs FcεRII e) Ne libère que des médiateurs néoformés comme les prostaglandines. 14. Dans l’immunité non spécifique antibactér ienne : a) Le système du complément intervient par voie alterne b) On retrouve des anticorps opsonisants c) La phagocytose est augmentée par le C3b d) L’immunité à médiation cellulaire n’intervienne pas 15. L’immunité anti­ vir ale est car actér isée par : a) L’intervention de l’interféron γ synthétisé par les lymphocytes T activés b) La sécrétion de substances anti­ virales fibroblastes est les leucocytes c) La génération d’effecteurs cellulaires cytotoxiques d) L’intervention de la sous population lymphocytaire Th2 e) L’intervention de lymphocyte TCD8 16. Le système du complément est un facteur de l’immunité non spécifique : a) Par augmentation de la phagocytose b) En participant à la réaction inflammatoire grâce aux facteurs C3a, C5a et C5b67 c) En intervenant dans l’immunocytoadhérence par le composant C5b d) Par son rôle important dans la neutralisation des virus grâce aux 4 premiers composants e) Après activation par la voie alterne
17. Les immunoglobulines IgE : a) Sont les moins représentées quantitativement, parmi les immunoglobulines du sérum b) Sont des Ig dont les chaînes H présentent 5 domaines, 3 constants et 2 variables c) Sont des Ig dont la synthèse est régulée par l’IL­4 d) Ont leur synthèse régulée par la fraction soluble du récepteur RFcεI e) Ont une durée de vie variable selon qu’elles soient circulantes ou fixées sur les cellules 18. Les extr aits aller géniques absor bés : a) Sont utilisés pour la désensibilisation spécifique b) Peuvent être utilisés pour le traitement des pneumopathies allergénique extrinsèques c) Sont administrés par voie parentérale d) Ne peuvent pas êtres utilisés pour des tests cutanés e) Peuvent êtres utilisés pour des tests cutanés 19. Les anticor ps inter viennent dans la défense anti­ vir ale par : a) Lyse du virus par activation du complément b) Opsonisation vis­à­vis des polynucléaires neutrophiles c) Neutralisation de leurs exotoxines d) Inhibition de la pénétration du virion dans les cellules cibles e) Phénomène d’ADCC en présence de cellules K 20. Par mi les éléments suivants, quel est celui qui ne per met pas l’identification du ou des pneumaller gènes en cause lor s de l’atopie : a) L’anamnèse b) Les tests cutanés c) Le taux des éosinophiles sanguins d) Le dosage des IgE spécifiques circulantes e) Le test de dégranulation des basophiles humaines 21. L’histamine est un médiateur : a) Préformé et stocké dans les granulations des mastocytes b) Intervenant dans la contraction des muscles lisses c) Augmentant la perméabilité vasculaire d) Dans la libération est inhibée par les anti­ histaminiques e) pouvant être libéré par les mastocytes sous l’action des anaphylatoxines C3a et C5a 22. l’hyper sensibilité de type II : a) est due à des anticorps de classe IgG ou IgM b) est médiée par des Ac dirigé contre des Ag cellulaires c) fait intervenir des composants du complément et un éventail de cellules effectrices d) peut intervenir lors d’une transfusion sanguine incompatible e) est à l’origine de la maladie sérique 23. les complexes immuns : a) constituent un moyen dont dispose l’organisme pour se débarrasser d’un Ag b) peuvent donner lieu, dans certaines conditions, à une réaction inflammatoire aiguë c) sont solubles en excès d’Ag d) sont éliminés, dans les conditions normales, par les cellules mononuclées du système phagocytaire e) active le complément par voie alterne 24. la r éaction d’hyper sensibilité de type II : a) est retrouvée dans le LED b) est due à l’activation des mastocytes et des basophiles c) est dépendante du système complémentaire d) implique obligatoirement des polynucléaires neutrophiles
25. est décr ite dans les maladies par mi les maladies suivantes, quelle est celle qui ne s’accompagne pas d’un état d’hyper sensibilité r etar dée a) la lèpre b) la leishmaniose c) la bilharziose d) la tuberculose e) la sclérodermie 26. L’hyper sensibilité de type IV : a) Est déclenchée par un antigène de nature protéique b) Se caractérise par la présence d’un infiltrat cellulaire essentiellement formé de cellules mononuclées c) Peut être explorée par les tests cutanés aux Ag nécessitant un 2 ème contact d) Peut être explorée par les tests de transformation lymphoblastique e) Apparaît 24­48 heures après le premier contact avec l’Ag 27. L’immunité non spécifique : a) Constitue une barrière de défense de premier niveau contre les agents infectieux b) Peut faire intervenir des facteurs humoraux tels que le lyzosime c) S’accompagne de la production en quantité importante de marqueurs protéiques sériques de la réaction inflammatoire aiguë telle que la CRP d) Se traduit par la production d’Ac spécifiques de l’agent infectieux en cause e) Fait intervenir des cellules phagocytaires telles que le polynucléaire neutrophile et le macrophage. 28. L’immunité natur elle : a) Est également appelée immunité non spécifique b) Met en jeu des cellules qui sont uniquement des macrophages tissulaires c) Met en jeu des facteurs solubles dont les principaux sont le lysozyme et le complément d) Est augmentée ou renforcée après réinfection e) N’est pas inductible par les agents infectieux 29. Le phénomène de phagocytose est favor isé par : a) Les cations divalents comme le Mg⁺⁺ et le Ca⁺⁺ b) Les substances qui augmentent l’hydrophilie de la membrane du phagocyte c) Les substances qui accroissent l’hydrophilie de la surface de la particule à phagocyter d) Les mitogène comme la PHA et la Con A e) Des substances comme le MIF 30. La néphr ite néphr otoxique de syndr ome de Goodpastur e : a) Fait partie des réactions de l’hypersensibilité de type III b) Se classe dans les réactions d’hypersensibilité de type cytotoxique c) Se caractérise par la présence exclusive d’Ac et de C au niveau des lésions d) Se caractérise par la présence de dépôts de complexes Ag­Ac­C au niveau des lésions e) Se distingue par des lésions où l’infiltrat cellulaire est constitué de polynucléaires neutrophiles 31. Les pr opositions suivantes car actér isent la r éaction d’Arthus : a) Un délai d’apparition compris entre 20 et 30 mn b) Présence, au sein de la lésion, de polynucléaires, le plus souvent pycnotiques c) La sensibilisation a lieu après une seule injection de l’antigène par voie intradermique d) Elle est due à des précipités de complexes immun formes dans les vaisseaux ou à leur proximité e) Les Ac impliqués dans la formation des complexes immuns sont de faible affinité 32. Les manifestations cliniques du choc de la maladie sér ique sont liées à : a) Une libération massive d’histamine par les mastocytes de la muqueuse bronchique b) Une destruction importante des hématies par les macrophages hépatiques et spléniques c) Une activation du complément d) Des destructions tissulaires dues à des hydrolases des phagocytes polynucléaires neutrophiles e) Des dépôts de complexes immuns circulants
33. Le diagnostic immunologique de la maladie du poumon du fer mier : a) Se fait à partir du sérum du malade b) Peut également se faire à partir des lymphocytes B du malade c) Utilise un test d’immunoprécipitation en gel d) Utilise comme antigène un extrait de spores d’actinomycète thermophile e) Est basé sur un test « ELISA » simple sandwich 34. La r éaction d’hyper sensibilité de type IV : a) Se manifeste 24 à 48 heurs après introduction de l’agent causal chez un individu sensibilisé b) Fait intervenir des LY t mémoires de phénotype CD4 CD45Ro c) Se caractérise par la production de nombreuses cytokines d) Met en jeu des Ag de nature protéique, glycoprotéique ou polysaccharidique e) Fait intervenir des Ly B mémoires 35. En immunologie, les extr aits aller géniques adsor bés : a) Sont obtenus par addition au extrais aqueux d’un adjuvant minéral comme l’hydroxyde d’aluminium b) Ne servent qu’à la désensibilisation spécifique c) Sont utilisés aussi bien par voie parentérale que par voie orale en vue d’une désensibilisation d) Ne peuvent en aucun cas êtres utilisés pour les tests cutanés e) Sont utilisés dans le cas d’une allergie aux venins d’hyménoptères par rush­immunothérapie 36. L’hyper sensibilité de type II fait inter venir : a) Les IgG et les IgM b) Les IgE c) Le système du complément d) Les polynucléaires basophiles e) Les macrophages du système endothélial 37. L’hyper sensibilité de type II est impliquée dans : a) L’anémie hémolytique auto­immune b) La maladie hémolytique du nouveau né c) L’asthme d) L’œdème de Quincke e) Les cytopénie médicamenteuses 38. Lor s des anémies hémolytiques d’or igine médicamenteuse, on obser ve : a) La formation des complexes immuns (médicament/Ac anti­médicament) à la surface des globules rouges avec activation du complément b) La production des cellules T cytotoxique anti­médicament c) L’induction, par le médicament, d’une altération de la membrane érythrocytaire avec production d’Ac anti­ hématie d) L’adsorption des complexes immuns (médicament/Ac anti­médicament) à la surface des globules rouges entraînant leur éclatement e) La phagocytose des hématies par les macrophages sanguins 39. Les affections suivantes r elèvent d’un état d’Hyper sensibilité de type IV : a) La tuberculose b) La polyarthrite rhumatoïde c) La lèpre d) La sarcoïdose e) Le syndrome de Goodpasture
40. L’anaphylaxie est un état d’hyper sensibilité : a) Dont les signes cliniques apparaissent dès les premières minutes qui suivent le premier contact avec l’allergène b) Dont le mécanisme est à support sérique faisant intervenir des anticorps cytotropes c) Faisant intervenir des substances pharmacologiquement actives libérées par les mastocytes d) Dont le traitement spécifique utilise l’allergène en cause e) Qui se caractérise par la libération d’anaphylatoxines vaso­actives C3a et C5a 41. La r echer che du ou des pneumaller gènes en cause chez un sujet atopique r epose sur : a) L’anamnèse b) Les tests cutanés c) Le taux d’éosinophiles sanguins d) Le dosage des IgE spécifiques e) Le TDBH 42. Les extr aits aller géniques adsor bés : a) Sont utilisés pour la désensibilisation spécifique b) Peuvent être utilisés pour le traitement des pneumopathies allergiques extrinsèques c) Sont administrés par voie parentérale d) Ne peuvent pas être utilisés pour des tests cutanés e) Peuvent être utilisés pour des tests cutanés 43. Le RAST (r adio­allergo­sor bent­test) : a) Est utilisé pour la recherche et le dosage des IgE spécifiques in­vitro b) Est une technique utilisant des Ac anti­ IgE humaines radio­marqués c) Nécessite pour sa réalisation, l’utilisation d’allergène radio­marqués d) Est pratiqué sur un prélèvement de sérum e) Peut utiliser, le cas échéant, des Ac anti­ IgE de souris radio­marqués 44. Le système du complément est un acteur de l’immunité non spécifique : a) En augmentant les phénomènes de phagocytose b) En participant à la réaction inflammatoire grâce aux facteurs C3a, C5a et C5b67 c) En intervenant dans l’immunocytoadhérence, particulièrement par le composant C5b d) Par son rôle important dans la neutralisation des virus grâce au 4 premiers composants e) Après activation par la voie alterne 45. Par mi les facteur s chimiotactique (ou cytotaxines) on peut citer : a) Le fragment C5a du complément b) Le composant C1q du complément c) La composant C1r du complément d) Le PAF e) Le leucotriène LTB4 46. les immunoglobulines E : a) comportent 4 domaines CH et un domaine VH au niveau de chacune des chaînes lourdes ε b) se fixent sur les mastocytes et les plasmocytes par leur fragment Fc c) ont une synthèse régulée en partie par le CD23 soluble d) sont synthétisées lors du choque anaphylactique e) sont présents dans les granulations des mastocytes 47. L’inter fér on gamma (IFN γ) : a) Augmente la cytotoxicité naturelle NK b) Est chimiotactique pour les neutrophiles c) Possède des propriétés antivirales d) Est produit par les Ly T helper e) Accroit l’activité bactéricide des macrophages
48. Les épr euves de désensibilisation de l’asthme atopique : a) Consistent à administrer des doses croissantes et contrôlées de l’allergène b) S’accompagne à leur début d’une augmentation du taux des IgE spécifiques c) Induisent la synthèse d’IgG spécifiques de l’allergène (Ac bloquant) d) Constituent le traitement de choix de la crise asthmatique e) Impliquent l’administration de l’allergène par voie intraveineuse 49. Le r écepteur RFcεI et : a) Exprimé sur la membrane des mastocytes b) Exprimé sur la membrane des polynucléaires basophiles c) Fixe les IgE avec une forte affinité d) Fixe les IgG avec une forte affinité e) Fixe les IgE avec une faible affinité 50. Dans leur phase d’expr ession, les états d’hyper sensibilité impliquent la par ticipation : a) Du système du complément activé par la voie classique b) D’Ac de classe IgM c) D’Ac de sous classe IgG1 et IgG4 d) Une cible cellulaire e) Des lymphocytes T cytotoxiques activés 51. La r éaction d’hyper sensibilité de type III : a) Est retrouvée au cours du lupus érythémateux disséminé b) Fait intervenir les polynucléaires neutrophiles c) Est à l’origine de la maladie sérique d) Fait intervenir des complexes immuns circulants e) Est recherchée et mise en évidence par des tests cutanés f) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immunsérum anti­SHN 52. Dans l’immunité non spécifique antibactér ienne : a) Le système du complément intervient par voie alterne b) On retrouve des Ac opsonisants c) La phagocytose est augmentée par le C3b d) L’immunité à médiation cellulaire n’intervient pas 53. Le vir us de l’immunodéficience humaine (HIV) : a) Est un virus à AN b) Peut être transmis de la mère à l’enfant par le biais de l’allaitement c) Possède comme Co­ récepteurs, le CCR­5 au niveau du macrophage et CXCR­4 au niveau des lymphocytes T auxiliaires d) Peut infecter les cellules CD4, CR1 lorsqu’il est recouvert de complément e) Se lie à la molécule CD4 après interaction avec son Co­ récepteur 54. La gr anulomatose septique chr onique : a) Se caractérise par une perturbation du test au nitrobleu Tétrazolium b) S’accompagne de pyodermite à staphylocoques c) Est caractérisée par une anomalie de la bactéricidie d) Est due à une anomalie de la NADH oxydase e) Est dans tous les cas une affection liée au sexe 55. Par mi les indications thér apeutiques des gammaglobulines humaines par voie par entér ale, on r etiendr a a) La maladie de Bruton b) Les déficits sélectifs en IgA c) Les morsures faciales par chien suspect d) Les thrombopénies auto­immunes e) L’hypogammaglobulinémie physiologique et transitoire du nourrisson
56. Les Co­ r écepteur du VIH a) Sont représentés par le CXCR­4 (fusine) sur les lymphocytes T CD4+ b) Sont aussi représentés par le CCR­5 sur les macrophages c) Interagissent avec la glycoprotéine 120 du virus après sa liaison avec la molécule CD4 d) Sont des récepteurs des chimiokines permettant la fusion des membranes virale et cellulaire e) Ne sont pas indispensables à l’infection de la cellule par le virus 57. Les auto­ anticor ps : a) Peuvent être retrouvés à des taux faibles chez les sujets âgés en dehors de toute pathologie b) Sont misent en évidence par immunofluorescence in direct sur cellules Hep2 c) Forment avec l’antigène correspondant des complexes immuns circulant pouvant induire une activation du facteur B d) Sont retrouvés au cours du lupus érythémateux disséminé e) Peuvent apparaitre après traitement par certains médicaments 58. L’agammaglobulinémie liée au sexe est car actér isée par : a) Un blocage de la maturation de la lignée B au stade pré­ B b) Des mutations du gène codant pour une tyrosine­ kinase (B1K) c) Un taux normal des lymphocytes du sang périphérique d) Une absence des follicules lymphoïdes au niveau des ganglions lymphatiques e) Un déficit qualitatif de toutes les classes des immunoglobulines 59. La gr anulomatose septique chr onique est car actér isée par : a) La survenue fréquente de pyodermites à staphylocoque b) Une perturbation du test au Nitrobleu de Tétrazolium c) Un déficit d’un composant de la NADPH­ oxydase d) Un déficit de la glycoprotéine 91 (GP91) de la sous­unité β du cytochrome B558 dans sa forme récessive liée au sexe e) Un déficit de la maturation des macrophages et donc de la phagocytose 60. La gr anulomatose septique chr onique (CGD) : a) est un déficit immunitaire primitif de la bactéricidie b) est une affection caractérisée sur le plan histologique par des granulomes c) est une maladie transmise toujours selon un mode récessif lié au sexe d) est due à un défaut de génération d’ions superoxydes par anomalie de la NADPH­ oxydase e) est caractérisée par des mutations du gène codant pour la gp91 de la myéloperoxydase 61. Les tests suivant per mettent d’explor er l’immunité humor ale : a) l’électrophorèse des protéines sériques b) le dosage des sous­classes des immunoglobulines c) la numération des lymphocytes B d) la recherche d’allo­ agglutinine anti­ A et anti­ B e) le dosage de l’IFN γ 62. L’œdème angio­ neur otique hér iditair e (OANH) : a) est caractérisé cliniquement par des douleurs abdominales avec des œdèmes de la face et du coup b) est caractérisé par un abaissement des taux des composants C2, C4, C3 du complément c) est du à un déficit de la fraction C1 du complément d) existe sous deux types, dont le plus fréquent est le type 1 e) est une affection héréditaire transmise selon un mode autosomal dominant 63. Le syndr ome d’hyper ­ IgM : a) est un déficit immunitaire primitif exclusivement lié au sexe b) est du à un déficit de la commutation isotypique (switch) c) est caractérisé par une atteinte de l’immunité humorale d) est caractérisé par une atteinte du CD40L des lymphocytes T e) est caractérisé par une atteinte du CD40L des lymphocytes B
64. Le syndr ome de Di­ Geor ge : a) se caractérise par une lymphopénie de type T b) se manifeste cliniquement par une tétanie hypocalcémique dès les premiers jours de la vie c) est une affection congénitale due à une embryopathie avec hypo ou aplasie thymique d) est caractérisé par une réponse immunitaire humorale et cellulaire normale e) est caractérisé par la survenue d’infections graves dues à des germes à multiplication extracellulaire 65. Au cour s de l’infection par le VIH, la déplétion des lymphocytes T CD4+ est la conséquence de : a) Leur élimination par apoptose b) L’effet pathogénique direct du virus c) Leur phagocytose par les macrophages d) Leur élimination par les cellules cytotoxiques e) Leur destruction par une réaction de type ADCC 66. Au cour s de l’infection par le VIH on r etr ouve : a) Une réponse cytotoxique (T CD8+) b) Des auto­ anticorps par activation polyclonale des lymphocytes B c) Une hypergammaglobulinémie polyclonale par synthèse accrue d’IL­6 d) Une diminution du nombre des lymphocytes B e) Des anticorps anti VIH dès les premières semaines de l’infection 67. Au cour s de l’évolution de l’infection par le VIH, le stade SIDA est car actér isé par : a) La survenue d’infections graves à germes opportunistes b) Un taux de lymphocytes T CD4+ inferieur à 200 cellules /mm³ c) Une augmentation de la réponse T cytotoxique anti­ VIH d) Un effondrement des anticorps anti­ VIH e) Une augmentation de la charge virale 68. Le suivie biologique de l’infection par le VIH peut êtr e r éalisé par a) La numération des lymphocytes T CD4+ b) Le dosage des immunoglobulines sériques c) L’évaluation du rapport T CD4+/ T CD8+ d) Le dosage de la protéine virale P24 e) L’évaluation du nombre de copie d’ARN viral 69. Les déficits immunitair es pr imitifs suivants ont une tr ansmission autosomale r écessive : a) La maladie de Bruton b) Le syndrome d’hyper­IgM c) Le déficit en adénosine désaminase d) Le déficit combiné sévère par déficit de la chaîne CD132 e) Le déficit en G6PD 70. La maladie de Br uton : a) Est une affection touchant principalement le sexe masculin b) Est caractérisée par une agammaglobulinémie et une absence totale de lymphocyte B mature c) Est due à un blocage de différentiation des lymphocytes B au stade pré­B d) Se manifeste cliniquement par des infections par germes à multiplication intra­ cellulaire e) Est due à différentes mutation du gène BtK codant pour une tyrosine kinase 71. Le syndr ome de Di­ Geor ge : a) Est une embryopathie caractérisée par une délétion partielle du chromosome 22 b) Se manifeste à la naissance par une tétanie hypo­ calcémique c) Se caractérise par un déficit en cellule T variable en fonction du niveau d’atteinte thymique et un déficit en cellules B matures d) Est caractérisé par l’absence de la parathyroïde et d’épithélium thymique e) Se traduit par des malformations de la face et du cœur
72. La gr anulomatose septique chr onique : a) Se caractérise par une perturbation du test au Nitrobleu de Tétrazolium b) S’accompagne de pyodermite à staphylocoques c) Est caractérisée par une anomalie de la bactéricidie d) Est due à une anomalie de la NADH oxydase e) Est dans tous les cas une affection liée au sexe 73. L’auto­ r éactivité peut êtr e en r appor t avec : a) Une diminution de l’expression des molécules du CMH du classe I sur certaines cellules du tissu autologue b) L’existence d’un mimétisme moléculaire entre des agents infectieux et des auto­antigènes c) Un déséquilibre TH1­TH2 d) Une prédisposition génétique e) Certaines habitudes alimentaires 74. le facteur r humatoïde : a) est un auto­Ac anti­ IgM b) est retrouvé dans les maladies non auto­ immunes spécifiques d’organes c) est détecté par le test au latex d) est misse en évidence par la réaction d’agglutination passive e) est retrouvé dans les sérums de sujets atteints de polyarthrite rhumatoïde 75. Le vir us de l’immunodéficience humaine (VIH) : a) Appartient à la famille des rétrovirus, caractérisée par la présence d’une transcriptase inverse b) Possède une glycoprotéine de surface, la gp 120, par laquelle il se lie à la molécule CD4 des cellules TH c) Peut infecter les cellules CD4­ CR2+ lorsqu’il est recouvert du complément d) Peut infecter les cellules CD4­ RFc+ lorsqu’il est recouvert d’Ac e) Possède une protéine d’enveloppe, la P24, présentant une homologie structurale avec le C3 du complément 76. La sur veillance biologique au cour s de l’infection par le VIH se fait par : a) La numération des lymphocytes T CD4+ b) Le dosage de la β2 microglobuline c) Le dosage des immunoglobulines sériques d) Le dosage de la P24 e) Le dosage de l’Ac anti­ P24 77. Le lupus ér ythémateux disséminé (LED) : a) Est une maladie inflammatoire touchant essentiellement les femmes b) Est une affection liée au sexe c) Est une maladie auto­immune non spécifique d’organe d) Peut être induit par certains médicaments e) Est caractérisé par la production d’auto­anticorps anti­nucléaires 78. Les auto­anticor ps anti­ADN : a) Sont retrouvés essentiellement dans le lupus érythémateux disséminé b) Sont incriminé dans les lésions glomérulaires par immun­complexes chez les sujets lupique c) Sont mise en évidence par la réaction d’immunofluorescence indirecte d) Forme avec l’antigène correspondant des immun­complexes pouvant activer le facteur B e) Sont des immunoglobuline de classe IgG 79. Dans les maladies auto­immunes non spécifiques d’or gane, on classe : a) Le LED b) Le diabète insulinodépendant c) Le syndrome de Sjögren d) La polyarthrite rhumatoïde e) La sclérodermie
80. Par mi les auto­anticorps suivants, quels sont ceux qui sont spécifiques de la maladie de Basedow ? a) Les anticorps anti­thyroglobuline b) Les anticorps anti­thyroperoxydase c) Les anticorps anti­récepteurs de la TSH d) Les anticorps anti­cellules pariétales gastrique e) Les anticorps anti­insuline 81. Au cor s de l’infection par le VIH, le stade SIDA est car actér isé par : a) Un taux de lymphocytes T CD4+ inferieur à 200 cellule par mm b) La survenue d’infections opportunistes et d’affection maligne c) Une augmentation du taux d’anticorps anti P24 d) Une augmentation de la charge virale (protéine P24, génome VIH) e) Une diminution du taux de lymphocytes T CD8+ 82. Les facteur s r humatoïdes sont : a) Des auto­anticorps reconnaissant des épitopes portés par la région fc des IgG b) Spécifique de la spondylarthrite ankylosante c) Détectés par agglutination passive en utilisant comme antigène des IgG humaines d) Egalement détectés par agglutination passive en utilisant comme antigène des IgG de lapin e) Des auto­ anticorps de classe IgM, IgG ou IgA 83. Au cor s de la maladies lupique (LED), on r etr ouve : a) Des auto­anticorps anti ADN dans le sérum des patients b) Des complexes immuns circulant dans le sang c) Une augmentation du taux des immunoglobulines sériques d) Une augmentation de l’activité CH50 e) Des anticorps anti­Sm dans 30% des cas 84. La maladie lupique : a) Est une affection liée au sexe b) Est moins fréquemment rencontrée chez les femme c) Peut être induite par certain médicaments d) Est caractérisé par la présence d’Ac anti­Sm dans 30% des cas e) Est une affection systémique appartenant aux connectivites 85. Les facteur s r humatoïdes : a) Sont des auto­anticorps anti IgM b) Sont le plus souvent des IgG anti IgM c) Sont des auto­ anticorps pouvant également appartenir à la classe des IgA d) Sont détectés par des réaction d’agglutination passive e) Peuvent être retrouvés dans le sérum de sujets lupiques 86. Les auto­anticor ps impliqués dans la pathogenèse des maladies auto­immunes a) Entraînant la destruction des cellules cibles après fixation du complément et opsonisation b) Peuvent être dirigés contre des molécules fonctionnellement importantes et les bloquer c) Peuvent provoquer une inflammation après s’être déposés dans les tissus d) Sont capables de la formation de granulomes e) Interviennent par un mécanisme d’ADCC après fixation à des polynucléaire neutrophile 87. Les anomalies immunitair es du LED sont essentiellement : a) La production d’auto­anticorps anti­nucléaires b) La présence dans le sérum de complexes immuns solubles c) Une augmentation polyclonale des immunoglobulines sériques d) Une augmentation monoclonale des IgA sériques e) Une augmentation des taux sériques de C3 et C4 du complément
88. La définition du stade SIDA inclus : a) Un taux de lymphocytes T CD4 + inferieur à 200/µl b) Une forte concentration en IFN γ c) Un taux d’immunoglobulines sériques supérieur à 30g/l d) Une activité NK très élevée e) Un taux de β2 microglobuline inferieur à 2mg/l 89. L’hyper gammaglobulinémie polyclonale r etr ouvée lor s de l’infection par le VIH est due à : a) Une production accrue d’IL­6 b) Une augmentation du nombre des Ly B c) Une production exagérée d’IL­2 d) Une augmentation de l’activité T helper e) Une hyperstimulation par le Ly T helper 90. Dans les maladies auto­immunes non spécifiques d’or ganes appar tenant aux connectivites : a) Les auto­anticorps sont dirigés contre des antigènes ubiquitaires b) Les auto­antigènes reconnus sont exprimés exclusivement sur les membranes cellulaires c) On retrouve la polyarthrite rhumatoïde d) Les auto­anticorps impliqués sont souvent d’isotype IgG e) Les auto­antigènes sont toujours retrouvés à des taux très élevés dans le sérum 91. La r echer che des auto­anticor ps au cour s de MAI a per mis d’aboutir aux associations suivantes : a) Auto­Ac anti­Sm dans le lupus érythémateux systémique b) Auto­Ac anti nucléaire (AAN) dans les connectivites c) Auto­Ac anti ADN natif dans la polyarthrite rhumatoïde d) Auto­Ac anti­Sm dans la polyarthrite rhumatoïde e) Auto­Ac anti­ IgG dans la polyarthrite rhumatoïde 92. Les lésions induites lor s des maladies auto­immunes impliquent : a) Des anticorps cytotoxiques activant le complément b) Des complexes immuns déposés au niveau des petits vaisseaux c) La participation des cellules cytotoxiques dans une réaction de type ADCC d) Des auto­anticorps de classe IgM e) Une réaction inflammatoire modérée par les cytokines 93. Le facteur r humatoïde : a) Est un auto­Ac retrouvé essentiellement dans les sérums des sujets atteints de polyarthrite rhumatoïde b) Peut être détecté au cours de certaines maladies infectieuses c) Est exclusivement une IgM anti­ IgG d) Est dépisté par réaction d’hémagglutination passive e) Est titré par la réaction de Waaler Rose 94. Les anticor ps anti­ADN : a) Sont exclusivement dirigés contre de l’ADN natif (ou bicaténaire) b) Forment des complexes immuns pathologiques fixant le complément c) Sont incriminés dans les lésions glomérulaires chez les sujets lupiques d) Peuvent être retrouvé au cours d’autres connectivites e) Sont détectés par immunofluorescence indirect et/ou par ELISA 95. On peut citer par mi les maladies auto­immunes non spécifiques d’or gane : a) La polyarthrite rhumatoïde b) Le syndrome de Gougerot Sjögren c) Le LED d) L’œdème angio­ neurotique hériditaire e) La dermatopolymyosite
96. Au cour s de l’infection par le VIH, on obser ve : a) Une augmentation de la charge virale au cours de la phase asymptomatique b) Une augmentation des Ac anti­VIH au cours de la phase SIDA c) Une hypergammaglobulinémie polyclonale due à une synthèse accrue d’IL­6 d) Un effondrement du composant C3b du complément e) Une augmentation de l’IL­2 97. La sur veillance biologique du SIDA r epose essentiellement sur : a) La numération des Ly T CD4+ b) La numération des LY T CD8+ c) La numération des Ly B d) Le dosage des anticorps anti­P24 e) Le dosage des IgG sérique totales 98. Par mi les auto­anticorps suivants, indiquer celui qui est car actér istique du LED : a) Le facteur rhumatoïde b) L’anticorps anti­histone c) L’anticorps anti­ADN natif d) L’anticorps anti­mitochondrie e) L’anticorps anti­phospholipide 99. Par mi les maladies auto­immune suivantes, indiquer celle qui spécifique d’or gane : a) La sclérodermie b) La myasthénie grave c) La polymyosite d) La polyarthrite rhumatoïde e) Le syndrome de Sjögren 100. Les auto­Ac antinucléair e : a) Peuvent être retrouvés à des taux faible chez le sujet âgé en dehors de toute pathologie b) Sont mis en évidence par immunofluorescence indirecte sur cellule Hep 2 c) Forment avec l’Ag correspondant des complexes immuns circulants pouvant induire une activation du facteur B d) Sont retrouvés au cours du lupus érythémateux disséminé e) Peuvent apparaitre après traitement par certain médicaments 101. L’agammaglobulinémie liée au sexe est car actér isée par : a) Un blocage de la maturation de la ligné B au stade pré­lymphocytaire B b) Des mutations du gène codant pour une tyrosine kinase (BtK) c) Un taux normal des Ly du sang périphérique d) Une absence des follicules lymphoïde au niveau des ganglions lymphatiques e) Un déficit qualitatif de toutes les classes d’Immunoglobulines 102. La gr anulomatose septique chr onique est car actér isée par : a) La survenue fréquente de pyodermites à staphylocoque b) Une perturbation du test au Nitrobleu de tétrazolium c) Un déficit d’un constituant de la NADPH oxydase d) Un déficit de la glycoprotéine 91 (gp 91) de la sous unité β se cytochrome B 558 dans sa forme récessive liée au sexe e) Un déficit de la migration des macrophages et donc de la phagocytose
103. Le vir us de l’immunodéficience humaine : a) Est un virus à ARN b) Peut être transmis de la mère à l’enfant par le biais de l’allaitement c) Possède comme co­récepteur, le CCR5 au niveau du macrophage et CXCR4 au niveau des Ly T auxiliaire d) Peut infecter les cellules CD4­, CR1+ lorsqu’il est recouvert de complément e) Se lie à la molécule CD4 après interaction avec son co­récepteur 104. La gr anulomatose septique chr onique : a) Se caractérise par une perturbation du test au Nitrobleu Tétrazolium b) S’accompagne de pyodermite à staphylocoques c) Est caractérisées par une anomalie de la bactéricidie d) Est due à une anomalie de la NADPH oxydase e) Est dans tout les cas une affection liée au sexe 105. Le vir us de l’immunodéficience humaine (HIV) : a) Est un virus à AN b) Peut être transmis de la mère à l’enfant par le biais de l’allaitement c) Possède comme Co­ récepteurs, le CCR­5 au niveau du macrophage et CXCR­4 au niveau des lymphocytes T auxiliaires d) Peut infecter les cellules CD4, CR1 lorsqu’il est recouvert de complément e) Se lie à la molécule CD4 après interaction avec son Co­ récepteur 106. La tr ansplantation r énale ne r etr ouve pas de contr e­indication dans : a) L’incompatibilité HLA entre donneur et receveur dans le cas où le rein provient d’un donneur état de mort cérébrale. b) L’incompatibilité dans le système ABO c) L’incompatibilité dans le système rhésus d) La présence d’anticorps anti HLA de classe II préformés chez le receveur e) L’administration au receveur d’un traitement immunosuppresseur 107. Lor s d’une tr ansplantation r énale, le r ejet aigu : a) Est réversible sous traitement immunosuppresseur b) Se manifeste dans la majorité des cas dans les trois mois qui suivent la transplantation c) Met en jeu un mécanisme immunologique à médiation cellulaire d) Implique principalement des cellules T CD4+ et T CD8+ e) Peut être évité par la pratique de cross match pré­ transplantation 108. L’ér adication par la vaccination, de l’agent pathogène, peut êtr e envisagée dans le cas des infections comme : a) La poliomyélite b) L’hépatite B c) La rougeole d) La rage e) La rubéole 109. La méthyle­ pr ednisolone est un anti­ inflammatoir e tr ès puissant, mais également un agent immunosuppr esseur : a) Particulièrement actif sur les macrophages et les polynucléaires neutrophiles b) Qui déprime la synthèse de l’interleukine­6 c) Inhibant la production de prostaglandines et de leucotriènes d) Qui ne doit jamais être associée à l’azathioprine, en transplantation e) Utilisée, en premier, dans le traitement de la maladie lupique à dose initiale de 2mg/kg/j
110. Le méthotr exate est un immunosuppr esseur : a) Appartenant au groupe des agents alkylants b) Actif surtout sur les cellules en division c) Dont l’action s’exerce principalement sur les cellules B d) Dont l’action, à faible dose, s’exerce surtout sur les lymphocytes T CD4+ e) Utilisé dans le traitement préalable de futur receveur de greffe de moelle osseuse 111. L’hypogammaglobulinémie constatée dans, le myélome multiple et qui cor r espond à une baisse des immunoglobulines polyclonales, r epr ésente un cr itèr e de gr avité et peut êtr e mise en évidence par : a) Electrophorèse des protéines sériques. b) Electrophorèse des protéines urinaires c) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immun­ sérum anti­ Kappa d) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immun­ sérum anti­ Lambda e) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immun­ sérum anti­ SHN 112. Indiquer par mi les médicaments énumér és ci­dessous. Celui qui n’est pas utilisé comme immunosuppr esseur : a) Le cyclophosmamide b) La rapamycine c) Le méthotrexate d) La céphalosporine e) La prednisolone 113. L’antigène car cino­ embr yonnair e, chez l’homme, est un mar queur : a) Important dans le suivi thérapeutique des tumeurs du colon b) Spécifique des tumeurs du tube digestif c) Spécifique des cancers colo­ rectaux d) Retrouvé exclusivement au cours des cancers de l’estomac e) De différentes tumeurs survenant au stade de la vie embryonnaire 114. Les cellules d’une tumeur expér imentale induite par le méthylcholanthr ène chez une sour is Balb/c : a) Exprime le même antigène tumoral que celui d’une tumeur chimio­induite chez une souris CBA/H b) Exprime le même antigène tumoral que celui d’une tumeur chimio­induite chez une souris Balb/c c) Produisent une tumeur après inoculation à des souris Balb/c d) Ne développent pas de tumeur après inoculation à des souris Balb/c e) Induisent une tumeur après inoculation à des souris C3H 115. Une femme enceinte de 2 mois peut êtr e vaccinée avec les pr oduits suivants sauf un, lequel ? a) Anatoxine tétanique b) Le vaccin anti­méningococcique c) Vaccin anti­ rubéoleux d) Le vaccin contre l’hépatite B e) Le vaccin contre l’Haemophilus influenzae 116. Le car actèr e monoclonal des immunoglobulines pr oduites est l’élément clé du diagnostic de la plupar t des immunoglobulines. Il pet êtr e démontr é par : a) La mise en évidence de l’homogénéité structurale et électrophorétique b) Une précipitation anormale sous forme d’arc symétrique c) Une précipitation anormale avec un immun sérum spécifique de classe d) Une précipitation anormale avec un immun sérum spécifique de sous­classe e) Une précipitation anormale avec un immun sérum spécifique de chaînes kappa ou avec un immun sérum spécifique de chaînes Lambda
117. Pour évaluer le degr é de malignité d’un myélome multiple, les tests d’explor ation suivant sont pr atiqués : a) Dosage des Ig sérique polyclonales ou immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immun sérum anti SHN b) Evaluation quantitative de l’Ig monoclonale produite c) Numération des lymphocytes B périphériques d) Numération des plasmocytes circulants e) Recherche et évaluation quantitative de protéine de Bence Jonce 118. L’antigène car cino­ embr yonnair e (CEA) : a) Fait partie des antigènes dits spécifiques de tumeurs b) Est un antigène associé aux tumeurs c) Est exprimé par certain tissus normaux de l’organisme d) Présente un grand intérêt diagnostic en carcinologie e) Est d’un intérêt pronostic certain 119. Les Ig monoclonales car actér isant les immunoglobulinopathies malignes : a) présente la même organisation structurale que les Ig polyclonales normaux b) sont détectés après une période d’accumulation dans le sérum du malade c) sont détectés après une période d’accumulation dans les urines du malade d) sont détectés sous forme de bandes homogènes à l’électrophorèse et à l’immunofixation e) sont détectés sous forme d’arcs symétriques à l’immunoélectrophorèse en gel d’agar 120. Le r ejet de gr effe dans sa for me sur aiguë : a) Est réversible sous traitement immunosuppresseur b) Est en rapport avec la préexistence dans le sérum du receveur d’allo­ anticorps dirigés contre les Antigènes du CMH de classe I exprimés par le greffon c) Est du à des allo­ anticorps dirigé contre les antigènes du système rhésus d) Survient dans les minutes qui suivent la réalisation des sutures de l’anastomose vasculaire e) Est évité par la pratique du test de cross match avant la transplantation 121. Une gr effe de moelle osseuse effectué sur une sour is de 1 ère génér ation (F1 A x B) à par tir de l’un des par ents AA ou BB : a) N’est pas rejetée de façon suraiguë b) Est rejetée d’une façon suraiguë c) Est rejetée tardivement d) Ne subis aucun rejet e) Induit une réaction du greffon contre l’hôte 122. La r éalisation d’une tr ansplantation r énale nécessite : a) Une numération des lymphocytes T CD4+ chez le receveur b) Une bonne compatibilité pour les antigènes HLA de classe I et II entre donneur et receveur c) L’absence d’Ac anti­HLA de classe I chez le receveur dirigés contre un panel de Ly T d) Une compatibilité ABO entre donneur et receveur e) Un cross match négatif entre donneur et receveur 123. L’azathiopr ine et un immunosuppr esseur : a) Analogue de l’hypocanthine b) Utilisé dans la prévention du rejet de greffe rénale c) Agissent préférentiellement sur les cellules T d) Très faiblement toxique pour la moelle osseuse e) Dont l’action sur les cellules T est réversible
124. 125. 126. Les Ag HLA de classe I sont : a) Prisent en compte avant les Ag HLA­ A de classe II lors de la sélection du donneur b) La cible des Ac cytotoxiques lors du rejet hyper­ aigu c) La cible des cellules cytotoxiques CD8+ lors du rejet aigu d) Généralement déterminés par un test de microlymphocytotoxicité e) Responsables de la prolifération cellulaire dans un test de culture mixte lymphocytaire (MLR) Les données suivantes ne contr e indique pas une tr ansplantation r énale : a) Antécédents de transfusion sanguine b) Incompatibilité HLA partielle c) Réaction lymphocytaire mixte négative (entre donneur et receveur) d) Incompatibilité dans le système ABO e) Incompatibilité dans le système rhésus Le r ejet sur ­ aigu inter venant lor s d’une tr ansplantation r énale est : a) Est évité par la pratique du cross match pré­ transplantation b) Lié à la présence d’anticorps pré­ formés chez le receveur et dirigés contre les lymphocytes T du donneur c) Peut être lié à une incompatibilité ABO entre le donneur et le receveur d) Est causé par des anticorps IgM détectés par réaction d’agglutination e) Du à des anticorps IgG fixant le complément 127. Les antigènes associés aux tumeur s : a) Peuvent être retrouvés essentiellement sur des cellules normales b) Ne sont pas retrouvés sur des cellules normales dans l’organisme c) Peuvent être retrouvés sur des proliférations bénignes d) Peuvent avoir des intérêts diagnostiques et pronostiques e) Peuvent aider à la surveillance thérapeutique 128. La plasmaphér èse est indiquée dans : a) La maladie des chaînes lourdes alpha b) L’agammaglobulinémie de type Bruton c) Les déficits immunitaires combinés sévères d) La myasthénie grave e) La maladie de Hodgkin 129. Lesquelles des substances suivantes n’est pas un immunosuppr esseur : a) L’hydrocortisone b) L’azathioprine c) La céphalosporine d) Le cyclophosphamides e) La 6 mércaptopurine 130. Une seul des substances ci­ apr ès n’est douée de pr opr iétés adjuvantes pour la pr oduction d’anticor ps, laquelle ? a) Le phosphate de calcium b) Le kaolin c) Le carbonate de magnésium d) La carboxyméthylcellulose e) L’hydroxyde et/ou le phosphate d’aluminium 131. Ne font pas par tir des effecteur s de l’immunité anti­ tumor ales : a) Les macrophages activés b) Les anticorps de classe IgG c) Les anticorps de classe IgM d) Les mastocytes e) Les lymphocytes T cytotoxiques CD8+
132. Le r ejet hyper ­aigu apr ès tr ansplantation r énale : a) Est réversible sous traitement immunosuppresseur b) Est évité par la pratique du cross match avant transplantation c) Survient en présence d’anticorps préformés contre les Ag HLA de classe I du donneur d) Peut se manifester en quelques minutes voire jusqu’à 48 heures après transplantation rénale e) Met en jeu des mécanismes immunopathologiques de l’hypersensibilité de type II 133. Les données suivantes ne constituent pas une contr e indication à la gr effe de moelle osseuse : a) Un donneur HLA géno­ identique au receveur b) Une réaction lymphocytaire mixte négative c) L’administration d’un traitement immunosuppresseur au receveur d) Une incompatibilité dans le système rhésus e) Une incompatibilité dans le système ABO 134. Pour le diagnostic immunologique du myélome multiple le meilleur pr élèvement à effectuer compr end : a) Sang total sur tube en verre stérile et urines des 24 heures b) Sang total sur tube en plastique stérile c) Sang total sur tube citraté et urine des 24 heures d) Sang total sur tube sec en verre stérile e) Sang total sur tub sec en verre stérile et ponction de moelle osseuse 135. Dans les techniques d’immuno­sélection utilisées pour le diagnostic de la maladie des chaînes lour des alpha : a) Les IgG IgA et IgM sériques sont éliminées par des anticorps spécifique de ces classes b) Les IgA sont éliminées par des anticorps spécifiques de composant sécrétoire c) Les IgG, IgA et IgM sont éliminées par des anticorps anti chaînes légères kappa et lambda d) Les IgA sont co­précipitées sous forme d’obus par des Ac anti­chaînes légères kappa et lambda et par les Ac anti­IgA e) La chaîne lourde alpha anormale est précipitée par des Ac anti­IgA sous forme de ligne croisant avec les IgA mais située en dehors de l’obus de précipitation des Ig entières 136. Par mi les vaccins suivants lequel est contr e indiqué chez la femme enceinte : a) b) c) d) e) Anti­méningococcique Antirabique Antitétanique Anti­rubéoleux Anti­pneumococcique 137. Les Ac anti­HLA de classe I : a) Peuvent être par un panel de globules rouges b) Sont impliqués dans le rejet hyper­aigu c) Sont des allo­anticorps d) Sont des auto­anticorps dirigés contre les molécules des gènes A, B et C du CMH e) Apparaissent à la suite de grossesses et ou de transfusions 138. Par mi les molécules douées d’activité immunosuppr essive, on peut citer : a) b) c) d) e) La cyclosporine Le ribomunyl Le méthotrexate L’anticorps monoclonal anti­CD3 Le sérum antitétanique
139. Les immunoglobulines humaines à usage thér apeutique sont : a) Préparées à partir d’un pool de plasma de sujets sains b) Constituées essentiellement d’IgM c) Indiquées particulièrement dans le traitement de l’agammaglobulinémie de Bruton d) Contre indiquée chez les sujets présentant un déficit en IgA e) Dépourvues d’effets indésirables 140. Les effecteur s de l’immunité anti­tumor ale sont : a) Les macrophages activés b) Les Ac dirigés contre les Ag tumoraux de surface c) Les mastocytes d) Les cellules K et NK e) Les lymphocytes T cytotoxiques 141. La maladie des chaînes lour des alpha se car actér ise par : a) Une prolifération plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire de type B b) La production d’une Ig monoclonale comportant des chaînes lourdes incomplètes associées à des chaînes légères complètes c) La production d’une Ig monoclonale comportant des chaînes lourdes incomplètes sans chaînes légères associées d) S’accompagne d’un syndrome de malabsorption e) Est diagnostiquée dans la majorité des cas par la technique d’immunosélection 142. Le myélome multiple des os a) Est consécutif à un déficit humoral primitif b) Se caractérise par la présence dans les urines de protéine de Bence Jones c) Est diagnostiqué généralement par électrophorèse des protéines sérique suivie d’une immunofixation d) S’accompagne d’une augmentation de l’IL­6 sérique e) S’accompagne d’une plasmocytose médullaire 143. Les gammapathies monoclonale bénignes : a) Se caractérise par un taux d’Ig polyclonales sériques normal b) Sont le plus souvent diagnostiquées fortuitement par électrophorèse des protéines sériques c) Se caractérise par une radiographie osseuse normale d) Se manifestent sur le plan biologique par la présence dans le sérum d’un composant monoclonal en quantité importante e) Sont asymptomatiques 144. En sér othér apie, les sér ums : a) Sont utilisés aussi bien à titre préventif qu’à titre curatif b) Peuvent être d’origine humaine ou animale c) Ne doivent jamais être utilisé sont purification préalable d) Renferment toujours des adjuvants pour assurer une bonne protection e) Sont également utilisé dans la prévention de l’alloimmunisation anti rhésus 145. Lequel des éléments suivants ne constituent pas un cr itèr e de gr avité du myélome multiple a) L’isotype de l’Ig monoclonale b) La quantité d’Ig monoclonale sérique c) Le type de prolifération cellulaire (plasmocytaire ou lymphoplasmocytaire) d) La présence de protéine de Bence Jones
146. Le car actèr e monoclonal des immunoglobulines pr oduites est l’élément­clé du diagnostic de la plupar t des immunoglobulinopathies. Il peut êtr e démontr é par : a) La mise en évidence de l’homogénéité structurale et électrophorétique b) Une précipitation anormale sous forme d’arc symétrique c) Une précipitation anormale avec un immunsérum spécifique de classe d) Une précipitation anormale avec un immunsérum spécifique de sous­classe e) Une précipitation anormale avec un immunsérum spécifique de chaînes kappa ou un immun sérum spécifique de la chaîne lambda 147. Pour évaluer le degr é de malignité du myélome multiple, les tests d’explor ation suivants sont pr atiqués : a) Dosage des Ig sériques polyclonales ou immunoélectrophorèse des protéines sérique avec un immunsérum anti­SHN (sérum humain normal) b) Evaluation de l’activité de l’Ig monoclonale produite c) Numération des lymphocytes B du sang périphérique d) Numération des plasmocytes circulants 148. Recher che et évaluation quantitative de pr otéine de Bence J ones Par mi les indications thér apeutiques des gammaglobulines humaines par voie par entér ale, on r etiendr a : a) La maladie de Bruton b) Les déficits sélectifs en IgA c) Les morsures faciales par chien suspect d) Les thrombopénies auto­immunes e) L’hypogammaglobulinémie physiologique et transitoire du nourrissant 149. L’ér adication par vaccination, de l’agent pathogène, peut êtr e envisagée dans le cas des infections comme : a) La poliomyélite b) L’hépatite B c) La rougeole d) La rage e) La rubéole 150. La méthyl­pr ednisolone est un anti­inflammatoir e tr ès puissant, mais également un agent immunosuppr esseur : a) Particulièrement actif sur les macrophages et les polynucléaires neutrophiles b) Qui déprime la synthèse de l’interleukine­6 c) Inhibant la production de prostaglandines et de leucotriène d) Qui ne doit jamais être associée à l’azathioprine, en transplantation e) Utilisée, en premier, dans le traitement de la maladie lupique à la dose initiale de 2 mg/kg/j 151. Le méthotr exate est un immunosuppr esseur : a) Appartenant au groupe des agents alkylants b) Actif surtout sur les cellules en division c) Dont l’action, s’exerce principalement sur les cellules B d) Dont l’action, à faible dose, s’exerce surtout sur les Ly T CD4+ e) Utilisé dans le traitement préalable de futurs receveurs de greffe de moelle osseuse 152. L’hypogammaglobulinémie constatée dans le myélome multiple et qui cor r espond à une baisse des immunoglobulines polyclonales, r epr ésente un cr itèr e de gr avité et peut êtr e mise en évidence par : a) Electrophorèse des protéines sériques b) Electrophorèse des protéines urinaires c) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immunsérum anti­kappa d) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immunsérum anti­ lambda e) Immunoélectrophorèse des protéines sériques avec un immunsérum anti­SHN
153. La tr ansplantation r énale ne tr ouve pas de contr e indication dans : a) L’incompatibilité HLA entre donneur et receveur dans le cas ou le rein provient d’un donneur en état de mort cérébrale b) L’incompatibilité dans le système ABO c) L’incompatibilité dans le système rhésus d) La présence d’Ac anti HLA de lasse II pré­ formés chez le receveur e) L’administration au receveur d’un traitement immunosuppresseur 154. Les Ac anti­HLA de classe I : a) Sont des anticorps naturels b) Apparaissent après alloimmunisation c) Sont des IgG fixant le complément d) Sont responsables du rejet hyper aigu lorsque leur spécificité est dirigée contre les antigènes HLA de classe I du donneur e) Peuvent être détectés sur un panel de lymphocytes 155. L’utilisation des Ac dans un but pr ophylactique est indiquée : a) Dans les infections à période d’incubation trop courte comme le tétanos b) Pour la prévention de la typhoïde c) Chez l’enfant prématuré d) Chez un sujet mordu à la face par un chien suspect de rage e) Dans tous les cas cités ci­dessous 156. Les agents alkylants comme le cyclophosphamide : a) Agissent, à forte dose, en détruisant les cellules prolifératives b) Agissent, à dose élevées, principalement sur les Ly B c) Sont peu toxiques pour la moelle osseuse d) A doses moins fortes, sont plus actifs sur les cellules T CD8+ que sur les cellules T CD4+ e) Induisent une nette hypogammaglobulinémie 157. L’azathiopr ine est un immunosuppr esseur : a) Faisant partie des agents alkylants b) Agit par l’intermédiaire d’un métabolite, la 6 –mércaptopurine c) Actif plus particulièrement sur les cellules T d) Dont l’action est rapidement réversible aux doses modérées e) Dont l’utilisation est fortement contre indiquée en transplantation rénale 158. L’alpha 1 fœto­ pr otéine : a) Est un marqueur spécifique des hépatocarcinomes b) N’est pas un marqueur spécifique des hépatocarcinomes c) Est présente dans le sérum des sujets normaux à une concentration inférieure à 10 mg/ml d) Peut être légèrement augmentée au cours des cirrhoses hépatiques e) Est un marqueur important pour le suivi d’une cirrhose ou d’un hépatocarcinome 159. Les Ac inter venant dans le phénomène de r ejet d’une tumeur maligne : a) Par lyse des cellules tumorales en présence du complément b) Par la formation de complexes immuns solubles avec l’Ag tumoral c) En augmentant la phagocytose des cellules maligne par opsonisation d) En association avec les cellules NK dans une réaction d’ADCC e) En induisant une modulation des Ag de surface 160. L’immunoélectr ophor èse en gel d’agar avec un immunsér um anti­ sér um humain nor mal per met de pr écipiter et de détecter : a) Les IgG monoclonales et polyclonales b) Les IgD monoclonales et polyclonales c) Les chaînes légères monoclonales libres d) Les IgA monoclonales et polyclonales e) Les IgE monoclonales et polyclonales
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