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The Canadian
Council of Churches
founded in 1944
Le Conseil
Canadien des Églises
fondé en 1944
Volume 6 Numéro 1 Printemps – Été 2009
Le corps, en effet, ne se compose pas
dun seul membre, mais de plusieurs
1 Corinthiens 12.14
L
e Conseil canadien des Églises
aborde la deuxième décennie de
sa vie en mode de forum. Il serait
donc approprié de rappeler au Conseil
des gouverneurs comment nous en som-
mes arrivés et les bénédictions que
nous y avons trouvées.
Rappelons d’abord que le Conseil
nest pas un partenaire des confessions,
mais qu’il est, depuis ses tout débuts en
1944, une création des ses Églises mem-
bres. Au long des cinquante premières
années, nous avons reflété, pour une
bonne part, les politiques et pratiques
de nos plus grandes traditions fonda-
trices, dont l’anglicane, la baptiste, la
presbytérienne et celle de l’Église unie.
La composition et la voix de lorganisme
dépendaient du nombre de membres et
de la contribution financière.
Mais, comme saint Paul nous l’en-
seigne dans un autre passage de 1 Co-
rinthiens et ailleurs, ni la taille ni la lar-
gesse ne lemportent dans le royaume
de Dieu.
Une minorité créative de membres
du Conseil, dont l’ex-président Richard
Schneider, ont donc élaboré une stra-
tégie de pointe inspirée par l’Esprit,
consistant à créer un modèle véritable-
ment inclusif et responsable de gouver-
nance : le Forum du Conseil de direction
du Conseil canadien des Églises.
Ils ont travaillé sans relâche tout au
long du triennat 1994; à lassemblée
triennale de 1997 à Ottawa, leur concept
sa traduisant par un accord.
On a pu cueillir immédiatement les
fruits du Forum. De onze confessions
dominées par les acteurs importants du
Conseil, la composition du Conseil est
passée à vingt et un membres. Légalité
des voix à la table assurée par le Forum
a permis la formation d’un organisme
œcuménique renouvelé réunissant des
traditions aussi disparates que la Confé-
rence des évêques catholiques du Ca-
nada et l’Église mennonite du Canada.
Comme l’affirme avec justesse notre
secrétaire générale, le CCE représente
la coalition œcuménique coopérative
la plus vaste et la plus profondément
Dans ce numéro
Page 2—Semaine de prière pour
l’unité chrétienne; Nouvelles
ressources
Page 3—Le dialogue interreli-
gieux
Page 5—Semaine des Églises à
Ottawa; Sommet des religions du
monde 2010
Page 6—Chaleureux adieux des
vice-présidents du CCE; Branchez-
vous
L
e professeur John Kirton nous
parle des promesses quont fai-
tes les pays les plus riches et les
plus puissants du monde—et de la
suite qu’ils y ont donnée. Dans une
conférence présentée récemment par
le Conseil canadien des Églises et la
Victoria University de l’Université de
Toronto, il réfléchissait sur les défis que
les pays du G8 ont à relever :
Imaginons un monde meilleur les
sidéens ont tous accès aux médicaments
quil leur faut pour vivre, où la malaria
et la tuberculose ont éréduites de moitié,
où la polio est disparue de la planète, où
la prolifération des armements nucléai-
suite en page 5
suite en page 3
Un dans le Christ
La formule du forum accorde voix égale à toutes les
traditions
par Le Très Rév. James Christie, Président, Conseil canadien des Églises
Notre monde,
notre G8,
notre défi
Le professeur John Kirton
parle de l’urgence des
objectifs de développement
du millénaire
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Souffrance et espoir
Le roseau meur-
tri : Réflexion
sur la souffrance
et lespoir, une
production de la
Commission Foi
et Témoignage
du Conseil cana-
dien des Églises,
est une ressource
qui donne sens et forme au paradoxe
de l’espoir dans la souffrance et de la
souffrance dans l’espoir. Il réunit des
épisodes de souffrances racontés par
des Canadiens et des Canadiennes.
Entre leurs récits sont intercalées des
réflexions théologiques préparées
par diverses traditions chrétiennes.
Ensemble, nous nous demandons
comment les chrétiens vivent et com-
prennent la souffrance, comment ils
expliquent lespérance qui les habite et
comment ils réagissent. La ressource
pastorale quest ce livre s’adresse aux
personnes, aux groupes et aux commu-
nautés. Pour toute commande, s’adres-
ser à Mary Marrocco à marrocco@
ccc-cce.ca. Disponible en français et
en anglais.
The Acceptable
Year of the Lord
Le Conseil canadien
des Églises est heu-
reux d’annoncer la
publication du livre
de la v. Karen
Hamilton, The Ac-
ceptable Year of the
Lord. Écrit à l’intention des prédi-
cateurs surchargés de travail, il jette
un éclairage sur le sens des textes de
l’Ancien Testament dans la tradition
juive, pour les chrétiennes et chrétiens
d’aujourd’hui. Cest une publication
de Novalis, quon peut commander
auprès de cet éditeur (www.novalis.
ca), dans les libraires locales ou, par
téléphone, à 1 800 387-7164.
En voici un extrait : « Le viti-
que est un livre sur la vie de la vie. Il
nous proclame, avec sa myriade de
détails, que Dieu est le Seigneur de la
vie, attentif aux réalités physiques de
nos vies. Il nous vient d’un moment
de l’histoire du peuple d’Israël où la
vie était beaucoup plus précieuse que
maintenant pour beaucoup d’entre
nous, de l’Ouest et du Nord du globe.
Si l’interprétation de certaines réa-
lités physiques était alors différente
de ce quelle est maintenant, le sens
profond en demeure le même : Dieu
se préoccupe de la vie dans tous ses
détails. Dieu veut la vie » (extrait de
The Acceptable Year of the Lord, de
Karen A. Hamilton (Toronto: No-
valis), p. 375).
La secrétaire générale Karen Hamilton et
Paul Ladoceur lors du lancement de son
livre The Acceptable Year of the Lord.
Photo: Richard C. Choe
Le rabbin Roy Tanenbaum et l’ex-président
du CCE Richard Schneider fraternisent lors
du lancement du livre dans les bureaux du
CCE. Photo: Richard C. Choe
Célébration de la Semaine de prière
pour l’unité chrétienne. Des dirigeants
œcuméniques en procession dans l’Église
catholique Saint-Basile de Toronto.
INSTANTANÉS
Nouvelles ressources
Parcours d’un labyrinthe à un service des Seekers, à Milton, Nouvelle-
Écosse. Avec leur musique de prière, leurs multimédias et leur
prédication, ces cérémonies sont une collaboration œcuménique
de l’Église chrétienne (Disciples du Christ), de l’Église unie et des
Baptistes unis. Photo : Rév. Jen Garbin
Tenue à Ottawa d’un atelier à l’occasion de la Semaine de prière
pour l’unité chrétienne. Le Conseil chrétien de la Région de
la capitale a également tenu un petit déjeuner œcuménique à
l’intention des dirigeants des Église locales; on s’y est servi de
documentation de la Semaine de prière. Photo: Rev. Fred Demaray
PRINTEMPS – ÉTÉ 2009 EMMAUS — UN BULLETIN POUR LES AMI(E)S DU CCE
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enracinée au monde.
La décennie qui vient de se termi-
ner s’est révélée satisfaisante, mais fait
réfléchir. Nous nous engageons régu-
lièrement dans la périlleuse aventure
de la révélation de soi à l’autre, appre-
nant de saint Paul que la diversité des
membres est l’essence même du corps
du Christ.
La compréhension mutuelle et un
respect grandissant n’ont cependant
engendré ni complaisance, ni harmonie
fondée sur l’indifférence.
Le consensus qui préside à nos déli-
bérations est souvent conquis de haute
lutte et parfois difficile à atteindre. Un
travail ardu joint à une patience qui est
don de la grâce de Dieu nous a permis
de mettre au point des protocoles et
procédures qui font de nous un modèle
pour les Conseils chrétiens, de Genève à
Johannesburg. Les compromis s’avèrent
souvent nécessaires, mais jamais au prix
des convictions.
La secrétaire générale et le Comité
exécutif du Conseil de direction éta-
blissent les programmes du Conseil des
Églises pour une année à la fois, s’ef-
forçant d’équilibrer prière, travail et
témoignage—tâche particulièrement
exigeante, étant donné la résolution,
prise en 2007, de tenir la réunion prin-
tanière du Conseil dans la capitale na-
tionale, pour que nous puissions nous
présenter au Parlement pour proclamer
la pouvoir de la vérité.
Les réalités du Forum ont certes valu
plus d’humilité à notre témoignage, mais
il s’agit d’un état de choses conforme à
notre mission et à notre mandat.
La voix avec laquelle nous parlons
au monde doit son intégrité à notre
témoignage commun dans le Christ.
Nous avons pour première obligation
d’être toujours le Corps du Christ dans
une amitié œcuménique, de nous mon-
trer mutuellement le Christ grâce à la
beauté de nos traditions individuelles et
de témoigner au monde de la diversité
divine qui est l’Église universelle.
Le travail de nos Commissions et
comités et notre impact sur la société
canadienne et sur le monde constituent
une « valeur ajoutée ».
En tant que Conseil, il faut toujours
faire preuve de vigilance dans notre gé-
rance et de discipline dans notre planifi-
cation stratégique. C’est sur sa route, et
non pas sur la nôtre, que nous suivons
le Christ ressuscité. Il fait sans cesse
« toutes choses nouvelles » et la surprise
est notre constante compagne.
Dans cette nouvelle décennie tout
comme dans la précédente, il serait sage
de faire nôtre lattitude du grand histo-
rien Herbert Butterfield : « Attachez-
vous fermement au Christ; pour le reste,
abstenez-vous de tout engagement. »
suite de la page 1
V
ous mélangez un rabbin, un imam
et un ministre : quest-ce que
vous obtenez? Si vous êtes dans
les bureaux de la rédaction du quartier
général de lArmée du Salut à Toronto,
vous obtenez une riche discussion inter-
religieuse sur la nature de Dieu, la justice
sociale et notre commune humanité.
On organisait en mai dernier, avec
les bons offices du Conseil canadien
des Églises, une conversation entre le
major Jim Champ de larmée du Salut,
le rabbin Roy Tanenbaum du Dialogue
entre chrétiens et juifs de Toronto, et
l’imam Abdul Hai Patel, directeur des
relations interreligieuses du Conseil
canadien des imams. Pour ces trois di-
rigeants religieux, c’était une occasion
de partager leur foi en leurs propres
termes et dexaminer les similitudes
et les différences entre les traditions
religieuses monothéistes.
On relève, au nombre des sujets
abordés, le rôle de la prière et des écri-
tures sacrées, les partenariats
communautaires et les services
interreligieux. On a publié une
transcription des interviews
dans Salationist, le magazine
d’information confessionnel
de l’Armée du Salut. « Nous
avons une occasion d’élar-
gir la perspective de nos lec-
teurs »observe Champ, rédac-
teur en chef. « Nous voulons
que nos fidèles comprennent mieux le
travail interreligieux. »
Comme le fait observer Tanenbaum,
« la religion ne se propage pas par la
force, mais par l’enseignement, le dia-
logue et l’appel à l’esprit et au cœur. »
Il compare certaines des tensions entre
religions monothéistes à une rivalité
entre frères : « Cest cette similitude
qui suscite la douleur et la haine… notre
animosité naît, pour une bonne part,
de l’amour. »
« Le Coran nous dit comment Dieu
nous a créés en des nations et tribus
différentes, afin que nous puissions nous
connaître les uns les autres », observe
Patel, « mais nous sommes de plus en
plus consentants à reconnaître que
nous sommes tous des êtres humains
et que nous devons apprendre à vivre
ensemble. » On peut lire la transcription
des conersations à www.salationist.
ca/2009/04/face-to-face-side-by-side
Le dialogue interreligieux
resserre ses liens
LArmée du Salut ouvre la porte aux dirigeants juifs et islamiques
Le major Jim Champ (centre) et le rabbin
Roy Tanenbaum (droite) avec Geoff
Moulton, rédacteur du Salvationist
Ami(e)s du CCE
J’appuie l’important travail œcuménique du Conseil canadien des Églises et je veux contribuer à la
promotion de l’œcuménisme au Canada. J’offre :
q Un don de _______________$, ci-inclus (chèque ou mandat poste).
q La promesse de contribuer _______________$ payables d’ici à (date) _______________.
q Une contribution par dépôt direct (paiement préautorisé).
J’autorise le débit direct sur mon compte bancaire de _______________$ par mois en 2009.
Prière de joindre un chèque annulé.
q Ci-joint un don commémoratif de _______________ $:
m à la mémoire d’un être cher
m en commémoration d’un événement marquant
Ce don est offert à la mémoire de (caractères d’imprimerie) : _________________________________
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Toronto ON M5S 2C3 Tél. : 416 972-9494, Téléc. : 416 927-0405
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Un reçu est émis pour tout don de 35 $ ou plus. Pour vos dons en ligne, rendez-vous à www.ccc-cce.ca
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L
e Conseil canadien des Églises
planifie, pour cette année, la
« Semaine des Églises à Ottawa »,
une semaine entière d’activités qui se
tiendront dans la capitale nationale du
11 au 15 mai. La Commission Justice
et Paix et le Conseil de direction se
réuniront tous deux cette semaine-là
pour se faire visiblement présents à
Ottawa et pour établir des relations
avec les hautes autorités politiques du
Canada.
Voici un échantillon des activités
prévues :
La présentation du premier plan de
programme du groupe de travail Trafic
humain au Canada.
Un forum d’une journée entière sur
le thème Religion et économie dura-
ble qui aura pour objet de concevoir
une approche holistique aux défis du
jour : la pauvreté au Canada, la crise
environnementale et la crise financière
mondiale.
Lélaboration dun plan de défense des
droits au sujet de l’examen décennal de
la politique nucléaire de l’OTAN, de
concert avec Project Ploughshares.
Lexamen dune ressource produite par
le Réseau canadien contre le racisme
sur la vérité et la réconciliation et les
peuples autochtones du Canada.
Une table ronde de députés sur la
Colline parlementaire, des mem-
bres des partis politiques traiteront
de pauvreté, d’environnement et de
finance.
Une soirée de réflexion sur la lecture
des « signes des temps», avec le Fo-
rum des Jésuites pour la Foi sociale
et la justice.
Un forum sur la Religion dans l’espace
public où, avec de hauts dirigeants
politiques, on discutera de la diffé-
rence que peuvent faire les Églises dans
la vie publique au Canada.
Une cérémonie religieuse en soirée
marquant le 65e anniversaire du
Conseil canadien des Églises, qui in-
clura des prières pour l’Afghanistan.
Imprimer un élan au nouveau Par-
tenariat interreligieux G8, qui est à
organiser une campagne de défense des
droits et intérêts et pour un Sommet
de haut niveau des dirigeants religieux
à l’occasion de la réunion du G8 au
Canada en 2010.
Où: à l’Universide Winnipeg
Quand: du 21 au 23 juin 2010
Qui: cent hauts dirigeants religieux des pays
du G8 et de l’Afrique
Pourquoi: tous les ans, les dirigeants politiques
des pays du G8 (Canada, France, Grande-
Bretagne, États-Unis, Russie, Japon et Allemagne) se réunissent et prennent
des engagements d’aide aux pauvres et aux vulnérables du monde entier.
Malheureusement, le taux de respect de ces engagements n’est que de 47
pour cent. On continue de mourir. Les femmes et les hommes de foi se
préoccupent de leurs sœurs et frères du monde entier qui continuent de
mourir pour rien.
Pour la sixième année de suite, des hauts dirigeants religieux du monde entier
se rencontreront pour réitérer leur engagement commun à l’égard de ces
instruments vitaux de paix et de justice, pour émettre une claration interpellant
le G8 à tenir ses engagements et pour faire part de cette responsabilité au
monde entier.
Nous sommes tous appelés à élever nos voix en faveur de l’éradication de la
pauvreté, de la malaria et du VIH/sida. Nous sommes conviés à travailler en
faveur de l’éducation primaire et de la santé maternelle, la réduction de la
mortalité infantile et la durabili de lenvironnement.
Pour obtenir plus d’information, d’idées et d’inspiration sur les moyens de faire
une différence, rendez-vous à www.faithchallengeG8.com.
Sommet des religions du monde 2010 :
Les dirigeants religieux des pays du G8
La semaine des Églises
à Ottawa
Le Conseil canadien des Églises se réunit dans la
capitale nationale pour se pencher sur le trafic humain,
l’environnement et la crise financière mondiale
par Peter Noteboom, secrétaire associé de la CCE, Justice et Paix
res a sensiblement diminué. Imaginons
encore que les dirigeants des pays les plus
puissants du monde se sont réunis pour
promettre ensemble daccomplir ces gran-
des choses.
La bonne nouvelle est que ces diri-
geants croient vraiment à la possibilité
de ce monde meilleur. Lautre nouvelle,
meilleure encore, est que leurs citoyens
peuvent vraiment les aider à y parvenir
dici à ce que le Canada accueille le G8
ici-même, en Ontario, en juin 2010.
Les dirigeants du G8 ont cependant
besoin de otre aide, car laissée à eux-
mêmes, ils ont gravement failli à leurs
promesses; si nous narrivons pas à tenir
les grandes promesses du G8 dici à 2010,
il sera impossible datteindre les Objectifs
de développement du millénaire dici à
2015. . . .
Pour en savoir davantage, consultez
http://mediacast.ic.utoronto.ca/
20081118-CCC.
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