RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT
Trazodone Mylan 100 mg comprimés
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chaque comprimé contient 100 mg de chlorhydrate de trazodone.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Comprimés.
4. DONNÉES CLINIQUES
4.1 Indications thérapeutiques
Dépression de diverses origines nécessitant un traitement médicamenteux.
4.2 Posologie et mode d’administration
La posologie doit être adaptée individuellement. On tiendra compte du fait que l'effet antidépresseur se
manifeste après 2 à 3 semaines de traitement alors que l'effet sédatif s'observe déjà après quelques jours.
La dose initiale est de 100 mg et est augmentée de 50 mg tous les 3 à 4 jours jusqu'à l'obtention d'un effet
thérapeutique optimal.
Cette dose peut être portée à 400 mg par jour chez les patients ambulatoires et elle sera alors répartie en 2 à
3 prises.
Chez les patients hospitalisés et en cas de dépression très sévère, la dose peut exceptionnellement être
portée à 600 mg par jour.
Pour arrêter le traitement, il est conseillé de réduire progressivement la dose.
Patients âgés :
Chez les patients très âgés ou affaiblis, la dose initiale recommandée sera réduite à 100 mg par jour,
administrée en prises séparées ou en une seule dose administrée au coucher (voir rubrique 4.4). Cette dose
peut être augmentée par paliers, comme décrit à la rubrique « Adultes », sous surveillance médicale, en
fonction de la tolérance et de l’efficacité. En règle générale, éviter d’administrer des doses uniques
supérieures à 100 mg chez ces patients. Il est peu probable que l’on dépasse une dose de 300 mg par jour.
Population pédiatrique :
L’utilisation de la trazodone n’est pas recommandée chez l’enfant de moins de 18 ans compte tenu de
l’insuffisance des données de sécurité.
Il est possible d’atténuer les effets indésirables (augmentation de la résorption et diminution des
concentrations plasmatiques maximales) en prenant le chlorhydrate de trazodone après le repas.
Insuffisance hépatique :
La trazodone subit un métabolisme hépatique important (voir rubrique 5.2) et a également été associée à une
hépatotoxicité (voir rubriques 4.4 et 4.8). Dès lors, ce médicament sera prescrit avec prudence chez les
patients souffrant d’insuffisance hépatique, en particulier dans les cas d’insuffisance hépatique sévère. Une
surveillance périodique de la fonction hépatique peut être envisagée.
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Insuffisance rénale :
Aucun ajustement posologique n’est habituellement nécessaire, mais la prudence est de mise lorsque ce
médicament est administré aux patients souffrant d’insuffisance rénale sévère (voir également les rubriques
4.4 et 5.2).
4.3 Contre-indications
Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
Intoxication alcoolique et intoxication par des hypnotiques.
Infarctus aigu du myocarde.
4.4 Mises en garde spéciales et précautions d’emploi
Population pédiatrique
La trazodone ne doit pas s’utiliser chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans. Des
comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et planification de suicides) et de type hostile
(principalement agressivité, comportement d’opposition et colère) ont été plus fréquemment observés au
cours des études cliniques chez les enfants et adolescents traités par antidépresseurs que chez ceux traités
par placebo. Il n’existe par ailleurs pas de données de sécurité à long terme concernant la croissance, la
maturation et le développement cognitif et comportemental chez les enfants et les adolescents.
Suicide /idées suicidaires ou aggravation clinique
La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'automutilation et de suicide
(comportements liés au suicide). Le risque persiste jusqu'à ce qu'une rémission significative intervienne.
Comme il est possible qu'il ne se produise aucune amélioration pendant les quelques premières semaines ou
plus, les patients doivent être suivis de près jusqu'à ce que cette amélioration se manifeste. Il ressort de
l'expérience clinique générale que le risque de suicide peut augmenter au stade précoce du rétablissement.
On sait que les patients avec antécédents d'événements liés au suicide ou ceux ayant un degré important
d'idéation suicidaire avant le début du traitement présentent plus de risque d'idées suicidaires et de tentatives
de suicide et qu'ils devraient dès lors être minutieusement suivis pendant le traitement. Une méta-analyse
d'études cliniques contre placebo menées avec des antidépresseurs chez des patients atteints d'affections
psychiatriques a montré un risque accru de comportement suicidaire par rapport au placebo chez les patients
de moins de 25 ans.
Une surveillance étroite des patients, plus particulièrement de ceux à haut risque, doit avoir lieu pendant le
traitement, surtout à la phase précoce et lors des augmentations posologiques qui suivent. Les patients (et
leurs soignants) doivent être prévenus du besoin de suivi d'une aggravation clinique, d'un comportement et
d'idées suicidaires ainsi que de modifications inhabituelles du comportement, et ils doivent demander
immédiatement un avis médical si ces symptômes se produisent.
Pour réduire au minimum le risque potentiel de tentatives de suicide, en particulier lors de l’instauration du
traitement, le médecin ne prescrira que des quantités limitées de trazodone à chaque occasion.
Il est recommandé de déterminer avec soin la posologie et d’assurer une surveillance régulière chez les
patients présentant les affections suivantes :
Épilepsie ; éviter plus particulièrement toute augmentation ou diminution abrupte de la posologie
Patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale, surtout si elle est sévère
Patients atteints d’une affection cardiaque telle qu’angine de poitrine, troubles de la conduction ou blocs
AV de différents degrés, infarctus du myocarde récent
Hyperthyroïdie
Troubles de la miction, tels qu’une hypertrophie de la prostate ; toutefois, la survenue de problèmes est
peu probable, car l’effet anticholinergique de la trazodone est mineur
Glaucome aigu à angle fermé, augmentation de la pression intraoculaire ; des modifications importantes
sont toutefois improbables compte tenu de l’effet anticholinergique mineur de la trazodone
Si un patient développe un ictère, le traitement par trazodone doit être interrompu.
L’administration d’antidépresseurs chez des patients souffrant de schizophrénie ou d’autres troubles
psychotiques peut entraîner une aggravation éventuelle des symptômes psychotiques. Les pensées
paranoïaques peuvent être exacerbées. Au cours du traitement par trazodone, une phase dépressive peut
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évoluer d’une psychose maniaco-dépressive en une phase maniaque. Si tel est le cas, la trazodone doit être
arrêtée.
Des interactions, prenant la forme de syndrome sérotoninergique/syndrome malin des neuroleptiques, ont
été décrites lors de traitements associant d’autres substances à effet rotoninergique, comme d’autres
antidépresseurs (p. ex. antidépresseurs tricycliques, ISRS, IRSN et IMAO), avec des neuroleptiques. Des
cas fatals de syndrome malin des neuroleptiques ont été signalés lors de traitements combinés avec des
neuroleptiques pour lesquels ce syndrome constitue un effet indésirable possible. Pour plus d’information,
voir rubriques 4.5 et 4.8.
Étant donné qu’une agranulocytose peut se manifester cliniquement par des symptômes pseudogrippaux, un
mal de gorge et de la fièvre, il est recommandé de vérifier les paramètres hématologiques si de tels
symptômes apparaissent.
Des cas d’hypotension, y compris d’hypotension orthostatique et de syncope, ont été signalés chez les
patients traités par trazodone. En cas d’administration concomitante d’un traitement antihypertenseur et de
trazodone, il peut s’avérer nécessaire de réduire la dose de l’antihypertenseur.
Les patients âgés peuvent présenter plus souvent une hypotension orthostatique, de la somnolence et
d'autres effets anticholinergiques de la trazodone. Il faut accorder une attention particulière à la possibilité
d'effets additifs avec l'utilisation concomitante de médicaments tels que d'autres psychotropes ou
antihypertenseurs ou en présence de facteurs de risque tels qu'une maladie comorbide, qui peut exacerber
ces réactions. Il est recommandé d'informer le patient/le soignant de la possibilité de ces réactions et de
surveiller de près ces effets après l'initiation du traitement, avant et après une augmentation de la posologie.
Après un traitement par trazodone, surtout s’il est de longue durée, il est recommandé de réduire
progressivement la dose jusqu’à l’arrêt, afin de réduire au minimum l’apparition de symptômes de sevrage,
caractérisés par des nausées, des céphalées et une sensation de malaise.
Aucune donnée n’indique que le chlorhydrate de trazodone possède des propriétés addictives.
Comme avec d'autres antidépresseurs, de très rares cas d'allongement de l’intervalle QT ont été signalés
avec la trazodone. La prudence est donc de mise lorsque ce produit est prescrit en association avec des
médicaments prolongeant l’intervalle QT. La trazodone sera également utilisée avec prudence chez les
patients atteints d'une affection cardiovasculaire avérée, y compris une affection associée à un allongement
de l’intervalle QT.
Les inhibiteurs puissants du CYP3A4 peuvent induire une augmentation des taux sériques de trazodone.
Voir rubrique 4.5 pour plus d’information.
Comme avec d'autres médicaments à effet alpha-adrénolytique, la trazodone a très rarement été associée à
un priapisme. Ce trouble peut se traiter par une injection intracaverneuse d’un agent alpha adrénergique tel
que l’adrénaline ou le métaraminol. Toutefois, certains cas de priapisme induits par la trazodone ont
nécessité une intervention chirurgicale ou entraîné une dysfonction sexuelle permanente. Les patients qui
développent cette réaction indésirable suspectée doivent arrêter immédiatement la prise de trazodone.
Lactose
Les patients présentant des problèmes héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficience en Lapp
lactase ou de malabsorption glucose/galactose ne peuvent pas prendre ce médicament.
4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
Généralités : Il existe un risque d’exacerbation des effets sédatifs des antipsychotiques, des hypnotiques,
des sédatifs, des anxiolytiques et des antihistaminiques ; dans de tels cas, il est recommandé d’en réduire la
dose.
Le métabolisme des antidépresseurs est accéléré par les contraceptifs oraux, la phénytoïne, la
carbamazépine et les barbituriques, suite aux effets hépatiques. Le métabolisme des antidépresseurs est
inhibé par la cimétidine et certains autres antipsychotiques.
Inhibiteurs du CYP3A4 : Des études de métabolisme médicamenteux menées in vitro mettent en évidence un
risque d'interactions médicamenteuses lorsque la trazodone est coadministrée avec des inhibiteurs puissants
du CYP3A4 tels que l’érythromycine, le kétoconazole, l’itraconazole, le ritonavir, l’indinavir et la néfazodone.
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RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
Les inhibiteurs puissants du CYP3A4 induiront probablement des élévations importantes des concentrations
plasmatiques de trazodone. Des études in vivo menées chez des volontaires en bonne santé ont confirmé
qu’une dose de ritonavir de 200 mg 2x/jour entraînait une augmentation plus que doublée des taux
plasmatiques de trazodone, donnant lieu à des nausées, des syncopes et de l’hypotension. Si la trazodone
est utilisée avec un inhibiteur puissant du CYP3A4, il faut envisager de prescrire une dose plus faible de
trazodone. Toutefois, dans la mesure du possible, la coadministration de trazodone et d’inhibiteurs puissants
du CYP3A4 sera évitée.
Carbamazépine : La coadministration réduit les concentrations plasmatiques de trazodone. L’utilisation
concomitante de carbamazépine 400 mg par jour a induit une diminution des concentrations plasmatiques de
trazodone et de son métabolite actif, la m-chlorophénylpipérazine, de respectivement 76 % et 60 %. Les
patients doivent être étroitement surveillés afin de déterminer si une augmentation de la posologie de
trazodone est requise.
Antidépresseurs tricycliques : l'administration concomitante doit être évitée en raison du risque d’interaction.
Il convient d’être vigilant par rapport au syndrome sérotoninergique et aux effets indésirables
cardiovasculaires.
Fluoxétine: De rares cas d’élévation des taux plasmatiques de trazodone et d’effets indésirables ont été
signalés lorsque la trazodone était coadministrée avec la fluoxétine, un inhibiteur du CYP1A2/2D6. Le
mécanisme sous-jacent à une éventuelle interaction pharmacocinétique n’est pas entièrement élucidé. On ne
peut exclure une éventuelle interaction pharmacodynamique (syndrome sérotoninergique).
Inhibiteurs de la monoamine-oxydase : Des interactions éventuelles avec les inhibiteurs de la monoamine-
oxydase ont été rapportées peu fréquemment. L’administration de la trazodone et d’IMAO, de façon
concomitante ou dans les deux semaines qui suivent l’arrêt de ces derniers, n’est pas recommandée, même
si certains cliniciens administrent ces deux substances en association. De même, l’administration d’IMAO au
cours de la semaine qui suit l’arrêt du traitement par trazodone n’est pas recommandée.
Phénothiazines : Des cas d’hypotension orthostatique sévère ont été observés lors de l’utilisation
concomitante de phénothiazines, comme p. ex. la chlorpromazine, la fluphénazine, la lévomépromazine, la
perphénazine.
Anesthésiques/relaxants musculaires : Le chlorhydrate de trazodone peut renforcer les effets des relaxants
musculaires et des anesthésiques volatiles : la prudence est donc de mise en cas de coadministration.
Alcool : La trazodone renforce les effets sédatifs de l’alcool. La consommation d’alcool doit être évitée
pendant le traitement par trazodone.
Lévodopa : Les antidépresseurs peuvent accélérer le métabolisme de la lévodopa.
Autres
L’utilisation concomitante de trazodone avec des médicaments connus pour allonger l’intervalle QT peut
augmenter le risque d’arythmies ventriculaires, y compris de torsades de pointes. La prudence est donc de
rigueur en cas de coadministration de ces médicaments avec la trazodone.
Étant donné que la trazodone n’est qu’un très faible inhibiteur de la recapture de la noradrénaline et qu’elle
ne modifie pas la réponse tensionnelle à la tyramine, les interférences avec l’effet hypotenseur des
composés de type guanéthidine sont improbables. Néanmoins, des études menées chez les animaux de
laboratoire semblent indiquer que la trazodone pourrait inhiber la plupart des actions aiguës de la clonidine.
Bien qu’aucune interaction clinique n’ait été rapportée, il faut envisager l’éventualité d’une potentialisation
avec d’autres agents antihypertenseurs.
Les effets indésirables peuvent être plus fréquents lorsque la trazodone est administrée avec des
préparations contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
Des modifications du temps de prothrombine ont été signalées chez des patients recevant un traitement
concomitant par trazodone et warfarine.
La coadministration avec la trazodone peut induire une augmentation des taux sériques de digoxine ou de
phénytoïne. Il faut donc envisager de surveiller les taux sériques chez ces patients.
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RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
4.6 Fécondité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les données concernant un nombre limité (< 200) de femmes enceintes exposées au médicament indiquent
que la trazodone ne révèle aucun effet indésirable sur la grossesse ou sur la santé du fœtus/de l’enfant à
naître. À ce jour, il n'existe aucune autre donnée pertinente de nature épidémiologique. Les études
effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur la gestation, le
développement embryonnaire ou fœtal, la mise bas ou le développement postnatal aux doses
thérapeutiques (voir rubrique 5.3).
Le médicament sera prescrit avec prudence chez la femme enceinte. Lorsque la trazodone est utilisée
jusqu’à l’accouchement, les nouveau-nés doivent être surveillés afin de détecter la survenue éventuelle de
symptômes de sevrage.
Allaitement
Des données limitées mettent en évidence une faible excrétion de la trazodone dans le lait maternel, mais
les taux du métabolite actif sont inconnus. Les données étant lacunaires, la décision doit être prise soit
d’interrompre l’allaitement soit d’interrompre/de s’abstenir du traitement par trazodone en prenant en compte
le bénéfice de l’allaitement pour l’enfant au regard du bénéfice du traitement par trazodone pour la femme.
4.7 Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
La trazodone n'a qu’une influence mineure à modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des
machines. Il faut mettre en garde les patients contre les risques liés à la conduite d’un véhicule et à
l’utilisation de machines, et leur demander de ne pas effectuer ces activités jusqu’à ce qu’ils soient sûrs ne
pas présenter de somnolence, de sédation, d’étourdissement, de confusion ou de vision floue.
4.8 Effets indésirables
Des cas d’idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant des traitements par trazodone ou
peu après l’arrêt de ces traitements (voir rubrique 4.4).
Les symptômes suivants, dont certains sont fréquemment signalés dans le cadre de dépressions non
traitées, ont également été observés chez des patients traités par trazodone.
Base de données
MedDRA des classes de
systèmes d’organes
Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des
données disponibles)
Affections hématologiques
et du système lymphatique
Dyscrasies sanguines (y compris agranulocytose, thrombocytopénie,
éosinophilie, leucopénie et anémie)
Affections du système
immunitaire Réactions allergiques
Affections endocriniennes Syndrome d’antidiurèse inappropriée (SIADH)
Troubles du métabolisme et
de la nutrition Hyponatrémie1, perte de poids, anorexie, augmentation de l’appétit,
Affections psychiatriques
Idées ou comportements suicidaires2, état de confusion, insomnie,
désorientation, manie, anxiété, nervosité, agitation (évoluant rarement vers
un délire), idées délirantes, réaction agressive, hallucinations, cauchemars,
baisse de la libido, syndrome de sevrage
Affections du système
nerveux
Syndrome sérotoninergique, convulsions, syndrome malin des
neuroleptiques, étourdissements, vertige, céphalées, somnolence3,
agitation, diminution de la vigilance, tremblements, vision floue, troubles de
la mémoire, myoclonie, aphasie expressive, paresthésie, dystonie,
dysgueusie
Affections cardiaques Arythmies cardiaques4 (y compris torsades de pointes, palpitations,
1 L’équilibre hydroélectrolytique doit être surveillé chez les patients symptomatiques.
2 Voir également rubrique 4.4.
3 La trazodone est un antidépresseur sédatif ; une somnolence, qui apparaît parfois au cours des premiers jours du
traitement, disparaît généralement lors de sa poursuite.
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