La philosophie s`est beaucoup posé la question du « non

La philosophie sest beaucoup posé la question du « non-sens », le qualifiant, à
ses meilleurs jours, comme ce qui nest ni vrai ni faux puisque ne remplit
même pas les conditions minimales pour être faux. Elle sest moins penchée sur
le pnomène de linsignifiant, cest-à-dire, à première vue, de ce qui n’est
« même pas faux » au sens de ce qui, peut-être, est « même vrai », mais na pas
forcément d’inrêt. Pourtant ce jugement par lequel, dans une discussion, dans
une enqte, dans le traitement dun problème, et peut-être dans la vie en
géral, il nous arrive de qualifier quelque chose d « insignifiant » est tout sauf
insignifiant.
Nous nous interrogerons donc sur la signification de cette façon bien particulière
que nous avons de dire que quelque chose ne signifie pas, en proximi mais
aussi en écart avec dautres caracrisations possibles « faux », « absurde »,
ou encore « trivial » dans un dialogue entre mathématiciens et philosophes.
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