Plan de la présentation Historique Description suite Symptômes

1
Le syndrome de stress
Le syndrome de stress
post
post-
-traumatique
traumatique
Pr
Pré
ésent
senté
épar
par
H
Hé
él
lè
ène Ouellet,
ne Ouellet, Msc
Msc inf
inf
Plan de la pr
Plan de la pré
ésentation
sentation
Historique
Historique
Description, qu
Description, qu
est
est-
-ce que le syndrome de stress post
ce que le syndrome de stress post-
-traumatique?
traumatique?
Symptômes caract
Symptômes caracté
éristiques
ristiques
Probl
Problè
èmes connexes
mes connexes
Facteurs
Facteurs influen
influenç
çants
ants
Diagnostics
Diagnostics
Traitements
Traitements
Compl
Complé
éments
ments
Historique
Historique
Guerre de S
Guerre de Sé
écession : trouble affectif du soldat
cession : trouble affectif du soldat
Premi
Premiè
ère guerre mondiale : traumatisme d
re guerre mondiale : traumatisme dû
ûaux bombardements
aux bombardements
Seconde guerre mondiale : n
Seconde guerre mondiale : né
évrose de guerre ou
vrose de guerre ou é
épuisement au
puisement au
combat
combat
Guerre du Vietnam : stress au combat
Guerre du Vietnam : stress au combat
Depuis 1980 : syndrome de stress post
Depuis 1980 : syndrome de stress post-
-traumatique (SSPT)
traumatique (SSPT)
Description
Description
DSM
DSM-
-IV, CIM
IV, CIM-
-10
10
Le premier facteur
Le premier facteur é
étiologique de l
tiologique de l’é
’état de stress post
tat de stress post-
-traumatique est la
traumatique est la
pr
pré
ésence d
sence d
un
un é
év
vé
énement stressant d
nement stressant d
intensit
intensité
éextrême qui est v
extrême qui est vé
écu par la
cu par la
personne avec d
personne avec dé
étresse.
tresse.
Classement selon
Classement selon Routhier
Routhier 2004
2004
Imm
Immé
édiat : moment pr
diat : moment pré
ésent (24hr)
sent (24hr)
Post
Post-
-imm
immé
édiat : deuxi
diat : deuxiè
ème au troisi
me au troisiè
ème jour +/
me jour +/-
-
R
Ré
éaction aigu
action aiguë
ëde stress : avec reviviscence et
de stress : avec reviviscence et é
état d
tat d
alerte
alerte
É
États chronicis
tats chronicisé
és :
s : é
état de stress post
tat de stress post-
-traumatique,
traumatique,
syndrome de stress post
syndrome de stress post-
-traumatique et
traumatique et
d
dé
ésordre de stress extrême quasi
sordre de stress extrême quasi-
-psychotique.
psychotique.
suite
suite
La r
La ré
éaction et son intensit
action et son intensité
évont varier selon plusieurs facteurs:
vont varier selon plusieurs facteurs:
Nos valeurs et exp
Nos valeurs et expé
ériences de vie
riences de vie
Notre vision du monde, ce qui est bien ou mal
Notre vision du monde, ce qui est bien ou mal
Aussi :
Aussi :
On ne s
On ne s
y habitue pas, au contraire cela s
y habitue pas, au contraire cela s
accumule
accumule
Touche les cinq sens
Touche les cinq sens
C
C
est barr
est barré
éà
àtriple tours dans la m
triple tours dans la mé
émoire
moire
Symptômes caract
Symptômes caracté
éristiques
ristiques
Intrusion
Intrusion
: souvenirs, images, odeurs, bruits et sensations associ
: souvenirs, images, odeurs, bruits et sensations associé
ées
es à
àl
l’é
’év
vé
énement traumatique
nement traumatique
peuvent envahir la vie de la personne qui pr
peuvent envahir la vie de la personne qui pré
ésente un SSPT. Cela am
sente un SSPT. Cela amè
ène des difficult
ne des difficulté
és de
s de
concentration, des cauchemars et des
concentration, des cauchemars et des «
«flashbacks
flashbacks »
»et cause des
et cause des é
émotions tels le chagrin, la
motions tels le chagrin, la
culpabilit
culpabilité
é, la peur et la col
, la peur et la colè
ère.
re.
É
Évitement
vitement
: Les sujets
: Les sujets é
évitent les situations, les gens ou les
vitent les situations, les gens ou les é
év
vè
ènements qui
nements qui é
éveillent le souvenir
veillent le souvenir
du traumatisme et ils mettent des barri
du traumatisme et ils mettent des barriè
ères
res à
àleurs
leurs é
émotions. Cela les am
motions. Cela les amè
ène
ne à
àse couper du
se couper du
monde et l
monde et l
isolement s
isolement s
installe.
installe.
Hyper
Hyperé
éveil
veil
: La personne a
: La personne a é
ét
té
éconfront
confronté
ée
e à
àsa propre condition de mortel. Sa vision du monde
sa propre condition de mortel. Sa vision du monde
s
sû
ûr et juste et sa croyance dans la profonde bont
r et juste et sa croyance dans la profonde bonté
éde l
de l
être humain peuvent s
être humain peuvent s’é
’écrouler. Son
crouler. Son
sentiment d
sentiment d
être
être à
àl
l
abri du danger peut s
abri du danger peut s’é
’évanouir.
vanouir.
Col
Colè
ère
re :
:
La personne se sent irascible, prompte et impatiente contre ell
La personne se sent irascible, prompte et impatiente contre elle
e-
-même, son entourage et le
même, son entourage et le
monde en g
monde en gé
én
né
éral.
ral.
(Lalonde, Aubut, Grunberg et coll., 1999)
(Lalonde, Aubut, Grunberg et coll., 1999)
R
Ré
ésilience
silience
: (n
: (n
est pas un symptôme, mais plutôt un m
est pas un symptôme, mais plutôt un mé
écanisme de d
canisme de dé
éfense) Strat
fense) Straté
égie de lutte
gie de lutte
contre le malheur qui permet d
contre le malheur qui permet d
arracher du plaisir
arracher du plaisir à
àvivre, malgr
vivre, malgré
éle murmure des fantômes au
le murmure des fantômes au
fond de sa m
fond de sa mé
émoire. (côt
moire. (côté
épositif)
positif)
(
(Routhier
Routhier, 2004)
, 2004)
2
Probl
Problè
èmes connexes
mes connexes
D
Dé
épression
pression
Anxi
Anxié
ét
té
é
Alcool
Alcool
Drogue
Drogue
Suicide
Suicide
R
Ré
épercussion sur les relations interpersonnelles, la vie
percussion sur les relations interpersonnelles, la vie
familiale et professionnelle.
familiale et professionnelle.
(Charte des Anciens
(Charte des Anciens Combatants
Combatants, 2008)
, 2008)
«
«Oublier ces anciens militaires, c
Oublier ces anciens militaires, c
est comme laisser
est comme laisser
quelqu
quelqu
un de bless
un de blessé
ésur le champ de bataille
sur le champ de bataille »
»
(Le Devoir, 2008)
(Le Devoir, 2008)
Facteurs
Facteurs influen
influenç
çants
ants
La r
La ré
éponse hormonale :
ponse hormonale :
Lib
Libé
ération de cortisol, d
ration de cortisol, d
adr
adré
énaline, de noradr
naline, de noradré
énaline, de vasopressine,
naline, de vasopressine,
d
d
ocytocine et les
ocytocine et les opioides
opioides endog
endogè
ènes. Aide
nes. Aide à
àmoduler quatre
moduler quatre
comportements instinctifs ou r
comportements instinctifs ou ré
éflexes, la fuite, la lutte, la soumission
flexes, la fuite, la lutte, la soumission
et l
et l
immobilit
immobilité
é.
.
R
Ré
éaction normale de stress (7
action normale de stress (7 é
étapes):
tapes):
1
1-
-la perception de l
la perception de l
agent stressant, facteur de stress ou sollicitation
agent stressant, facteur de stress ou sollicitation
2
2-
-r
ré
éaction physiologique imm
action physiologique immé
édiate dite r
diate dite ré
éflexe ou
flexe ou é
état d
tat d
alerte du
alerte du
corps
corps
3
3-
-é
évaluation
valuation cognitivo
cognitivo-
-affective primaire et secondaire
affective primaire et secondaire
4
4-
-choix d
choix d
un plan d
un plan d
action
action
5
5-
-passage
passage à
àl
l
acte
acte
6
6-
-fatigue g
fatigue gé
én
né
éralis
ralisé
ée
e
7
7-
-retour au niveau habituel de fonctionnement somatique et physiq
retour au niveau habituel de fonctionnement somatique et physique
ue
(
(Routhier
Routhier, 2004)
, 2004)
Suite
Suite
Les facteurs psychologiques
Les facteurs psychologiques
Nous avons v
Nous avons vé
écu un
cu un é
év
vé
énement, maintenant qu
nement, maintenant qu
est
est-
-ce que nous
ce que nous
en faisons? (5 phases)
en faisons? (5 phases)
1
1-
-Phase initiale
Phase initiale : surprise, la victime subit le plein effet de
: surprise, la victime subit le plein effet de
l
l’é
’év
vé
énement
nement
2
2-
-Phase de d
Phase de dé
éni
ni : la victime nie, a du mal
: la victime nie, a du mal à
àcomprendre
comprendre
3
3-
-Phase de pens
Phase de pensé
ées envahissantes r
es envahissantes ré
écurrentes
currentes : reviviscences
: reviviscences
sous forme de flashback, cauchemars, images et sensations.
sous forme de flashback, cauchemars, images et sensations.
4
4-
-Phase de perlaboration
Phase de perlaboration : la victime essaie de rendre
: la victime essaie de rendre
l
l’é
’év
vé
énement acceptable et compatible avec ce qu
nement acceptable et compatible avec ce qu
elle connait.
elle connait.
5
5-
-Phase de chronicisation
Phase de chronicisation : les aspects importants se fixent de
: les aspects importants se fixent de
fa
faç
çon permanente = SSPT
on permanente = SSPT
(Lalonde, Aubut, Grunberg et
(Lalonde, Aubut, Grunberg et coll
coll,. 1999)
,. 1999)
Suite
Suite
Les facteurs sociaux
Les facteurs sociaux
Prennent de l
Prennent de l
importance encore plus chez les militaires puisqu
importance encore plus chez les militaires puisqu
ils sont
ils sont
souvent d
souvent dé
éploy
ployé
és dans d
s dans d
autres pays o
autres pays où
ùles coutumes, valeurs et
les coutumes, valeurs et
habitudes de vie sont tr
habitudes de vie sont trè
ès diff
s diffé
érentes des nôtres, donc conflits
rentes des nôtres, donc conflits
int
inté
érieurs et ins
rieurs et insé
écurit
curité
é= d
= dé
és
sé
équilibre et instabilit
quilibre et instabilité
é
Diagnostics
Diagnostics
La partie la plus difficile pour
La partie la plus difficile pour é
établir ce genre de diagnostic est de
tablir ce genre de diagnostic est de
r
ré
éussir
ussir à
àfaire verbaliser le patient, donc la relation de confiance est
faire verbaliser le patient, donc la relation de confiance est
d
d
une extrême importance.
une extrême importance.
Il faut distinguer le SSPT des diverses conditions apparent
Il faut distinguer le SSPT des diverses conditions apparenté
ées soit :
es soit :
La r
La ré
éaction psychologique normale
action psychologique normale à
àun traumatisme intense
un traumatisme intense
Le trouble de l
Le trouble de l
adaptation
adaptation
Le trouble panique
Le trouble panique
L
L’é
’état de stress aigu
tat de stress aigu
L
L
anxi
anxié
ét
té
ég
gé
én
né
éralis
ralisé
ée
e
Le trouble psychotique bref
Le trouble psychotique bref
La simulation
La simulation
Le trouble de personnalit
Le trouble de personnalité
élimite
limite
Le syndrome post
Le syndrome post-
-commotionnel (trauma crânien)
commotionnel (trauma crânien)
Traitements
Traitements
L
L
essentiel du traitement sera de faciliter le d
essentiel du traitement sera de faciliter le dé
éroulement
roulement
de chacune des phases du processus d
de chacune des phases du processus d
assimilation de ce
assimilation de ce
qui est assimilable de l
qui est assimilable de l
exp
expé
érience traumatisante et de
rience traumatisante et de
permettre l
permettre l
encapsulation de la partie r
encapsulation de la partie ré
ésiduelle du
siduelle du
traumatisme, de fa
traumatisme, de faç
çon que le patient puisse d
on que le patient puisse dé
épasser
passer
cette exp
cette expé
érience et continuer
rience et continuer à
àvivre malgr
vivre malgré
étout.
tout.
(Lalonde, Aubut, Grunberg et col. 1999)
(Lalonde, Aubut, Grunberg et col. 1999)
Les th
Les thé
érapies les plus communes sont notamment la
rapies les plus communes sont notamment la
th
thé
érapie
rapie cognitivo
cognitivo-
-comportementale, la th
comportementale, la thé
érapie
rapie
d
d
exposition ainsi que la d
exposition ainsi que la dé
ésensibilisation des
sensibilisation des
mouvements
mouvements occulaires
occulaires. (Rapport, 2008)
. (Rapport, 2008)
3
pharmacologie
pharmacologie
La m
La mé
édication va permettre d
dication va permettre d
amorcer les th
amorcer les thé
érapies en diminuant ou en
rapies en diminuant ou en
supprimant les symptômes les plus graves (pens
supprimant les symptômes les plus graves (pensé
ées envahissantes, les
es envahissantes, les
paniques, les symptômes d
paniques, les symptômes dé
épressifs aigues, l
pressifs aigues, l
anxi
anxié
ét
té
éet le suicide).
et le suicide).
Les benzodiaz
Les benzodiazé
épines de classe interm
pines de classe intermé
édiaire comme le
diaire comme le loraz
lorazé
épam
pam 1
1 à
à4 mg
4 mg
/jour, le
/jour, le clonaz
clonazé
épam
pam 0.5
0.5 à
à6 mg/jour seront utilis
6 mg/jour seront utilisé
ées
es à
àcourt terme, en
court terme, en
attendant les b
attendant les bé
én
né
éfices de la th
fices de la thé
érapie.
rapie.
Pour l
Pour l
insomnie grave, le
insomnie grave, le t
té
émaz
mazé
épam
pam, le
, le clonaz
clonazé
épam
pam et le
et le trazodone
trazodone
peuvent être utilis
peuvent être utilisé
és au coucher.
s au coucher.
Les patients souffrants d
Les patients souffrants d
un SSPT sont g
un SSPT sont gé
én
né
éralement plus r
ralement plus ré
ésistants aux
sistants aux
m
mé
édicaments, de sorte que les doses standards s
dicaments, de sorte que les doses standards s
av
avé
éreront souvent
reront souvent
insuffisantes, il faut y aller avec les doses maximales. (Lalond
insuffisantes, il faut y aller avec les doses maximales. (Lalonde, Aubut,
e, Aubut,
Grunberg et col. 1999).
Grunberg et col. 1999).
Le traitement par m
Le traitement par mé
édication sera tr
dication sera trè
ès diff
s diffé
érent pour chaque personne
rent pour chaque personne
puisque ce sont les symptômes qui d
puisque ce sont les symptômes qui dé
étermineront sur quoi nous voulons
termineront sur quoi nous voulons
agir, par exemple l
agir, par exemple l
insomnie et l
insomnie et l
hypervigilance
hypervigilance ou encore la d
ou encore la dé
épression,
pression,
etc.
etc.
Compl
Complé
éments
ments
L
L
Ombudsman des Forces arm
Ombudsman des Forces armé
ées canadiennes enquête
es canadiennes enquête
(rapport, 2008)(rapport, 2008)
Programme de soutien social pour les blessures de stress op
Programme de soutien social pour les blessures de stress opé
érationnel (OSISS)
rationnel (OSISS)
Les
Les É
États
tats-
-Unis commencent
Unis commencent à
àé
étudier un nouveau syndrome, les l
tudier un nouveau syndrome, les lé
ésions c
sions cé
ér
ré
ébrales
brales
traumatiques (
traumatiques (Traumatic
Traumatic brain
brain injury
injury).
).
Sur 1.64 million de militaires qui ont
Sur 1.64 million de militaires qui ont é
ét
té
éd
dé
éploy
ployé
és depuis 2001, 18.5% souffraient de SSPT ou de d
s depuis 2001, 18.5% souffraient de SSPT ou de dé
épression
pression
caract
caracté
éris
risé
ée, 19.5% souffraient de TBI avec ou sans SSPT ou d
e, 19.5% souffraient de TBI avec ou sans SSPT ou dé
épression.
pression.
((TanielianTanielian, , JaycoxJaycox, et al., 2008), et al., 2008)
117 soldats canadiens sont morts en Afghanistan depuis le d
117 soldats canadiens sont morts en Afghanistan depuis le dé
ébut de la mission en
but de la mission en
2002.
2002.
Au cours de la derni
Au cours de la derniè
ère d
re dé
écennie, 132 militaires canadiens en fonction ont mis fin
cennie, 132 militaires canadiens en fonction ont mis fin à
à
leurs jours. L
leurs jours. L
arm
armé
ée canadienne a enregistr
e canadienne a enregistré
éannuellement de 10
annuellement de 10 à
à14 suicides chez
14 suicides chez
ses soldats.
ses soldats.
Au cours des cinq derni
Au cours des cinq derniè
ères ann
res anné
ées, le nombre de soldats souffrant de probl
es, le nombre de soldats souffrant de problè
èmes
mes
psychiatriques est pass
psychiatriques est passé
éde 3501
de 3501 à
à10252, alors que ceux touch
10252, alors que ceux touché
és pr
s pré
écis
cisé
ément par le
ment par le
SSPT ont connu une hausse vertigineuse, passant de 102
SSPT ont connu une hausse vertigineuse, passant de 102 à
à6504 en date du 31 mars
6504 en date du 31 mars
2007.
2007.
(La Presse canadienne, 2008)
(La Presse canadienne, 2008)
R
Ré
éf
fé
érences
rences
Anciens combattants canada. (2008).
Anciens combattants canada. (2008).
Le syndrome de stress post
Le syndrome de stress post-
-traumatique (SSPT) et le stress
traumatique (SSPT) et le stress
li
lié
éà
àla guerre.
la guerre.
La nouvelle charte des Anciens
La nouvelle charte des Anciens Combatants
Combatants. Canada.
. Canada.
Lalonde, P., Aubut, J., &
Lalonde, P., Aubut, J., & Grunger
Grunger, F. (1999).
, F. (1999).
Psychiatrie clinique
Psychiatrie clinique : Une approche
: Une approche bio
bio-
-
psychosociale
psychosociale (tome 1) Introduction et symptômes cliniques
(tome 1) Introduction et symptômes cliniques
. Montr
. Montré
éal
al :
: Gaetan
Gaetan Morin
Morin É
Éd.
d.
La Presse canadienne (2008).
La Presse canadienne (2008).
132 militaires canadiens se sont suicid
132 militaires canadiens se sont suicidé
és au cours des 10 derni
s au cours des 10 derniè
ères
res
ann
anné
ées
es
.
. É
Édition du lundi 03 mars 2008.
dition du lundi 03 mars 2008.
Le Devoir, (2008).
Le Devoir, (2008).
Le souvenir des v
Le souvenir des vé
ét
té
érans devenus sans
rans devenus sans-
-abri
abri
. La Presse canadienne.
. La Presse canadienne. É
Édition du
dition du
mardi 11 novembre.
mardi 11 novembre.
McFadyen
McFadyen, M. (2008).
, M. (2008).
É
Évaluation de l
valuation de l’é
’état des services de sant
tat des services de santé
émentale de la BFC
mentale de la BFC Petawawa
Petawawa.
.
É
Étude de cas men
tude de cas mené
ée par l
e par l
Ombudsman du minist
Ombudsman du ministè
ère de la D
re de la Dé
éfense nationale et des Forces
fense nationale et des Forces
canadiennes. Canada.
canadiennes. Canada.
McFadyen
McFadyen, M. (2008). Rapport sp
, M. (2008). Rapport spé
écial au ministre de la D
cial au ministre de la Dé
éfense nationale.
fense nationale.
Un long chemin vers
Un long chemin vers
la gu
la gué
érison
rison : Le combat contre les traumatismes li
: Le combat contre les traumatismes lié
és au stress op
s au stress opé
érationnel
rationnel
. Canada.
. Canada.
Routhier
Routhier, C. (2004).
, C. (2004).
É
Évaluation psychologique des traumatismes militaires
valuation psychologique des traumatismes militaires
. Qu
. Qué
ébec
bec : Les Presses
: Les Presses
de l
de l
Universit
Université
éLaval.
Laval.
Tanielian
Tanielian, T.,
, T., Jaycox
Jaycox, L.H., et (l
, L.H., et (l’é
’équipe d
quipe d’é
’études des blessures invisibles) de la Rand Corporation.
tudes des blessures invisibles) de la Rand Corporation.
(2008).
(2008).
Cessez le massacre! Une nation p
Cessez le massacre! Une nation pè
èse les cons
se les consé
équences palpables des blessures de guerre
quences palpables des blessures de guerre
invisible
invisible
. Diplomatie, vol no 35, p18
. Diplomatie, vol no 35, p18-
-25.
25. Areion
Areion group, France.
group, France.
Tanielian
Tanielian, T.,
, T., Jaycox
Jaycox, L.H., et (l
, L.H., et (l’é
’équipe d
quipe d’é
’études des blessures invisibles) de la Rand Corporation.
tudes des blessures invisibles) de la Rand Corporation.
(2008).
(2008).
Post
Post-
-Deployment Stress
Deployment Stress : What You Should Know, What You Can Do
: What You Should Know, What You Can Do
, RAND/CP
, RAND/CP-
-535
535
(3/08),
(3/08), É
États
tats-
-Unis
Unis.
.
Questions
Questions
1 / 3 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !