Diffusionnisme Culturalisme Fonctionnalisme

Mle: Théorie et Paradigme en science de l’homme - 1ère année sociologie LMD
THEORIE ET PARADIGME EN SCIENCE DE L’HOMME
Chapitre I Diffusionnisme
1Définition du diffusionnisme
2Les caractéristiques de processus de la définition
3L’objet d’étude
4Les écoles du diffusionnisme
a- L’école allemande
b- L’école américaine
c- L’école anglaise
5Critique
Chapitre II Culturalisme
1Naissance du culturalisme
2Définition de cette théorie
3Les approches culturelles
4Les caractéristiques de la culture
5Objet d’étude du culturalisme
Chapitre III Fonctionnalisme
1Définition du fonctionnalisme
2Le fonctionnalisme absolu
a- Malinowski
b- Merton
c- Alfred Radcliffe Brown
3Le fonctionnalisme modéré
a- Le structuro-fonctionnaliste de Talco tt Parsons
Chapitre IV Structuralisme
1Définition et naissance du structuralisme
2Les précurseurs de cette théorie
a- George Dumézil
b- Ferdinand de Saussure
[1]
Ali Moussa comorien

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c- Roman Jakobson
d- Noam Chomsky
3La théorie dans le domaine de la science social
a- Les caractéristiques de la structure selon les sciences sociales
4Domaine sociologique
5Domaine de l’anthropologie
Chapitre V Evolutionnisme et Contrat social
1- L’évolutionnisme
2- Le contrat social
3- Le passage du contrat social à l’évolutionnisme
Définition de quelques termes
La théorie : c’est une recherche spéculative qui se base sur les hypothèses
explicatives. Le mot vient de l’anthropologie. On distingue 2 deux types de
théories : théorie systématique (général ou global) et théorie partielle (qui
réussisse le mieux car elle révisable). Selon les chercheurs, les résultats sans
théorie sont inclassables.
Le paradigme : c’est l’expression imaginé et concret pour une réalité abstraite.
Le paradigme doit avoir un langage spécifique, particulier qu’on le retrouve
dans les œuvres scientifiques.
La différence entre théorie et paradigme est le paradigme n’est plus imposant
que la théorie et c’est la théorie qui transforme en paradigme.
CHAPITRE I
Le diffusionnisme
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Ali Moussa comorien

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1- Définition du diffusionnisme
C’est le mode avec lequel on propage soit une opinion ou un trait culturel. C’est
un mot d’origine latine defender qui veut dire étendre et détendre.
2- Les caractéristiques de processus de la définition
Le diffusionnisme est long au début, s’accélère au milieu et se ralenti à la fin.
Cette théorie est apparue à la fin du XVIIIème et au début du XIXème siècle
mais elle s’appelle au départ L’histoire culturelle en Allemagne.
3- L’objet d’étude
Elle a pour objet d’étude l’acculturation ou suivre la distribution géographique.
L’acculturation est résultat d’embrassage de culture direct (colonisation) ou
indirect (internet, TV, Vidéo) d’un certain degré d’assimilation de la société
réceptrice. On distingue 3 types d’acculturations :
-Acculturation spontané
-Acculturation planifié
-Acculturation imposé
4- Les écoles du diffusionnisme
a- L’école allemande
Les fondateurs sont : Graebner, Schmid, Friedrich Ratzel.
L’idée directrice de cette école marque que « c’est l’esprit qui change la
matière ».
Graebner (1877-1934) explique le phénomène de diffusion par la propagation
d’invasion local. Le diffusionnisme se produit (propage) grâce au contact
culturel.
Ratzel (1844-1904) se base sur le mouvement migratoire (sol, société et Etat). Il
met en lumière le rôle des mouvements migratoires comme processus
civilisateurs permettant la diffusion technique. Il a distingué deux principes du
mouvement migratoire :
-Tous les milieux sont traversés et retraversés.
-Les sociétés contemporaines sont produit mixte c’est-à-dire il n’y a pas de
race pure.
b- L’école américaine
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Ali Moussa comorien

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Les précurseurs sont : Henry Morgane (anthropologue), Edward Sapir (étude de
la culture) et Tylor.
L’idée directrice de cette école est que, le diffusionnisme culturel ne peut pas s
faire sans qu’il y a contact. La cause est l’école hyperdiffusionnisme en disant
que : « la source principale se vient de l’Egypte ».
Edward Sapir dit qu’on trouve la culture dans le domaine de la langue…….
c- L’école anglaise
Les précurseurs sont : Burnet, Tylor et Henry Morgane.
Selon eux, les sociétés s’évoluent avec les mêmes schémas : Sauvagerie-
Barbarie et Civilisation.
Tylor dit que : on ne peut pas séparer la culture et la civilisation. Il a essayé de
relier la culture et la civilisation car c’est le bon sens de la morale.
H. Morgane dit que : la société est évoluée de la même façon c’est-à-dire elle
adopte le même schéma qui inclus trois types qui sont : la sauvagerie, la barbarie
et la civilisation. Et chacun est parti en 3 niveaux : inférieur, moyen et supérieur.
La différence entre la sauvagerie utilise les choses comme elles sont, la barbarie
utilise les forces physiques que mentales et la civilisation utilise la pédagogie.
La société archaïque se base sur les sociétés parentés.
5- Critiques
L’utilisation de la théorie de machiniste de Morgane et l’utilisation de la théorie
de communication.
CHAPITRE II
Le culturalisme
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Ali Moussa comorien

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1- Naissance du culturalisme
Le culturalisme est né aux Etats-Unis sous l’impulsion de Ruth Benedict et
Ralph Linton. Il vient de l’ethnologie (étude de différente ethnie : population et
culture) qui la base de l’anthropologie (étude de la science de l’homme,
religion). Il a vu le jour par ce que le gouvernement américain a demandé aux
scientifiques de créer une science qui montre que la meilleure culture parfaite est
celle des Etat Unis (pays multi ethnique, entre 1930-1950.
2- Définition de cette théorie
Le culturalisme est une théorie globale ou systématique. Dans 163 définitions de
la culture aucune ne donne une définition complète. Tylor est le seul est relié la
culture et la civilisation. Il a montré que : la culture est connaissance, la
croyance, la pratique et le comportement que l’homme acquit à l’état de la
société. Le mot civilisation est d’origine latin qui veut dire Civis =citoyen et
Civilis= poli.
3- Les approches culturelles
a- Culturalisme psychologique
Chaque culture particulière trouve son trace dans le comportement.
Margaret parle du caractère culturel, il dit : parfois la culture change le
caractère de la nature de l’homme.
Benêt dit que : à chaque culture, on trouve des traces dans le langage.
Abraham Cardiner parle de la pratique de la psychanalyse. Il montre qu’est ce
que c’est :
-Le ça : représente la personnalité de base.
-Le moi : institution primaire (la famille).
-Le sur moi : institution secondaire (école, religion), qui subordonne la
famille.
Alors que Freud parle du psychisme humain et on a :
-Le ça : recevoir de tout ce qui est refoulé.
-Le moi : le médiateur
-Le sur moi : la moralité et la société
4- Les caractéristiques de la culture
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Ali Moussa comorien