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Morin Nicolas
Sch précise que les innovations mineures arrivent souvent par grappes. Pour lui, l’entrepreneur est seulement
celui qui introduit l’innovation qui va apporter son génie dans l’entreprise.
L’entrepreneur apporte son génie et reçoit le profit, mais s’il n’y a pas de profit et qu’il y a des pertes, c’et le
système bancaire qui épongera ses pertes. L’innovation est très vite copiée par les autres et le profit va vite
régresser. Les concurrents sont appelés « l’ouragan perpétuel de la destruction créatrice » (car il vont détruire
le profit créé et il y a destruction de l’innovation car elle va être copiée et banalisé.) pour palier à ça, il va falloir
que l’entrepreneur invente et innove à nouveau.
Innovations majeures : concernent une branche d’entreprise dans une activité.
Elles vont inspirer Nicolas Kondratieff pour justifier (longues vagues de l’économie capitalistes) les vagues de
l’économie.
L’entrepreneur Schumpeterien ne disparaitra que quand il aura épuisé cette innovation et qu’il sera indemnisé
des futures pertes.
E. ESPRIT D’ENTREPRISE CHEZ KEYNES
Keynes va ajouter quelques points que n’a pas éclaircis Sch.
Il va mettre en évidence deux types d’esprits : l’esprit d’entreprise et l’esprit de spéculation.
« il est dommage qu’il n’y ai pas assez de personne qui aient cet esprit d’entreprise. »
L’esprit d’entreprise est le fait « d’avoir le courage de vaincre les forces obscures du temps » = affronter
l’incertitude économique. Pour Keynes il y a bcp plus de personnes qui ont l’esprit de spéculation (grâce à
l’existence de la bourse.). Lens gens vont chercher à faire du profit à court terme en spéculant en bourse.
Pour étudier l’entreprise, Keynes parle de ce qu’il appelle l’incitation à investir des entrepreneurs. L’efficacité
marginale du capital (EMK), taux d’intérêt (i). C’est le rendement anticipé du capital. Due à la psychologie de
masse. Taux d’intérêt se détermine par la rencontre de l’offre de monnaie et de la demande de monnaie.
La demande de monnaie va augmenter.
Pour Keynes, qu’il y ai très peut d’entrepreneurs est dommage car ils n’ont pas la trempe pour affronter le
futur qui est toujours incertain. Il est plus confortable de spéculer sur le court terme.
Les préférences des riches contrecarrent l’emploi des pauvres. Paradoxe de la pauvreté en abondance.
Fétichisme de la liquidité (clin d’œil à Marx).
F. SYNTHESE
Dans ces différents courants, il y a des approches du profit et de l’entrepreneur pessimistes et optimistes. Il n’y
a qu’une approche pessimiste, c’est l’approche Marxiste car elle se termine par la liquidation de
l’entrepreneur. Pour certains auteurs, il y a des profits structurels, conjoncturels, et sur le progrès économique.
PROFITS STRUCTURELS
Opposition entre petite structure et grande structure. Pour Marshall il y en a qui sont fait pour les petites
structures, alors que d’autres seront également faits pour les grandes structures.
Si on parvient à se mettre en position de monopole, on est sur de
capter un profit.
RM = (P*Q)/Q
L’atomicité : entreprises égales et innombrables.
Profil structurel de monopole