V) Soustraction de deux nombres relatifs
Soustraire un nombre relatif, c’est ajouter l’opposé de ce nombre.
Exemples :
(-9)-(+3)= (-9) +opposé(+3) 13-(-7)= 13 + opposé(-7)
= (-9) +(-3) = 13 + 7
= (-12) = 20
-11-(+12)= -11+opposé(12) -33-(-15)= -33+opposé(-15)
= -11+(-12) = -33+15
= -23 = -18
VI) Simplifications d’écritures
1) Suite d’additions de nombres relatifs
Dans une suite d’additions, on peut supprimer les parenthèses et les signes d’addition.
Exemple :
A = (-5) + (+7,1)+ (-10) peut s’écrire : A = -5+7,1-10
2) Suite d’additions et de soustractions
Dans une suite d’additions et de soustractions, il faut penser à remplacer toutes les soustractions par l’addition
des nombres opposés.
Exemple :
B = +23-(-7)-(+1,8)+(-1)
B = +23+(+7)+(-1,8)+(-1) On a transformé toutes les soustractions en additions.
B = 23+7-1,8-1 On a simplifié l’écriture.
B = 28,2-1 On a effectué le calcul.
B = 27,2
ADDITION ET SOUSTRACTION DES FRACTIONS
I) Valeurs approchées d’un quotient
Lorsque la division de deux nombres a et b (b
0) se « termine », le quotient
est un nombre décimal. On
peut donner sa valeur exacte.
Exemples :
= 0,625 ;
=-3
Lorsque la division ne se termine pas, on peut donner des valeurs décimales approchées de
.
Exemples :
la calculatrice affiche 3.1271271. La division ne se termine pas.
Pour donner une valeur approchée d’un nombre, on peut tronquer ou arrondir.
3 est la troncature à l’unité de
3,12 est la troncature au centième de