CHR d’ d’Orlé Orléans Mesures d’ d’hygiè hygiène en ré é animation mé é dicale r m Les infections nosocomiales Infection survenue au delà delà de la 48è 48ème heure aprè après l’l’admission à l’hôpital ce qui signifie qu’ qu’elle n’ n’est ni pré présente à l’admission ni en incubation « Au lieu de d’ d’ingé ingénier à tuer les microbes dans les plaies, ne serait il pas plus raisonnable de ne pas en introduire ? » En France 4.97% des patients sont touché touchés Pasteur 28 avril 1878 1- Éviter la transmission manuportée -Quels sont nos moyens de surveillance ? -Quels moyens de pré prévention mettons nous en œuvre ? -Quels germes isolons nous ? Pourquoi ? 2-Recherche de porteurs de bactéries résistantes (BMR) et des infections urinaires asymptomatiques Toutes les mesures prises sont conformes aux directives du CLIN 4- Infections liées aux différents dispositifs médicaux 3- les différents isolements 5- environnement 1 Éviter les transmissions manuportées Mise en place de la SHA au CHR depuis 2002 en 1è 1ère intention Un classement des établissements de sante ré réalisé alisé à la demande du ministè ministère montre que seulement 12% des établissements utilisent de faç façon satisfaisante la SHA 1 Sterilium versus bétadine scrub La SHA pré présente l'avantage d'un spectre large, large, ainsi que d'une efficacité efficacité sur les bacté bactéries vé végétatives 100 fois supé supérieure sur la flore ré résidente à tous les savons antiseptiques disponibles sur le marché marché europé européen pour le clostridium difficile le sté stérilium est moins actif que le lavage mé mécanique antiseptique des mains Nettoyage des surfaces à l’eau de javel dilué diluée 2 Recherche de porteurs de bacté bactéries résistantes (BMR)et des infections urinaires asymptomatiques 4 bacté bactéries sont à détecter systé systématiquement dè dès l’l’admission puis toutes les semaines 2 Les sites privilégiés sont SARM staphylococcus Aureus Méticilline Résistant ACD Aciné Acinétobacer sécré créteur de céphalosoprinases Déprimé primées KBLSE Klebsielle secré secrétrice de bé bétata-lactamases à spectre élargi PAIR Pseudomonas Aeruginosa Résistant à l’Imipé Imipénem Autres pré prélèvements bacté bactériens Faits sur prescription à l’admission PBO et hé hémocultures avant de dé débuter l’l’antibiothé antibiothérapie 3 Les isolements des patients porteurs de BMR L'isolement septique SARM nez peau ACD peau selles KBLSE selles PAIR selles Il peut s'agir : - de mesures d'isolement gé géographique (chambre individuelle) utiliser des "mesures "mesures barriè barrières" res" entre l'individu porteur de germes et son environnement maté matériel, ou humain, afin d'é d'éviter la transmission des agents infectieux au personnel ou aux autres patients. Mesures d’isolement géographique - de mesures d'isolement technique adapté adaptées en fonction des modes de transmission de la maladie par les liquides biologiques par contact... Chambre seule si possible Regroupement des porteurs de BMR dans une même unité unité Pancarte de signalement Informations aux visiteurs (intervenants hors service, famille) 3 Cas particuliers de notre service Pré Précautions standard ÎPort de surblouse à manches longues, de gants et de masque en fonction du type d’isolement ÎTri des dé déchets sac jaune DASRI et tri du linge spé spécifique double emballage ÎEn dernier pour les blocs, scanners… scanners….. ÎEn derniers pour les « soins» soins» quand il y a 2 patients par chambre ÎDossier patient à l’exté extérieur de la chambre Nous isolons les voisins des porteurs de BMR (si chambres à deux lits) Quand une BMR est dé déclaré clarée chez un patient,quelque soit le site, nous pratiquons l’l’isolement septique strict,contact et gouttelettes Maté Matériel, antiseptiques… antiseptiques…. à patient unique 4/ infections lié liées aux diffé différents dispositifs mé médicaux Nous isolons de maniè manière systé systématique en isolement BMR pré préventif: Tous les patients provenant des services du CHR hospitalisé hospitalisés depuis 72h ou ré récemment hospitalisé hospitalisés en clinique ou d’ d’un autre centre hospitalier jusqu’ jusqu’au retour de la flore Tous les consommables sont jeté jetés à chaque sortie double dé désinfection du maté matériel restant et des surfaces Les visiteurs sont invité invités à mettre surblouse, surblouse, gants et masques lorsque le patient est en isolement septique Le linge est fourni par l’l’hôpital Infection sur KTC 10 KT loc Infections sur KT KTP et KTC Bacter KT 3,9 5 1,4 1,3 2,5 2,9 2,8 3,9 Pneumopathies nosocomiales 5,3 4,9 5,1 3,1 4,1 4,3 2005 2006 1,4 0 2000 2001 2002 2003 2004 CHR Orléans, Réa polyvalente 4 Gestion au quotidien En 2006 2 bacté bactérié riémies sur 1000 jours de cathé cathétérisme 10 infections locales Injections directes ou pose de perf avec compresses sté stériles imbibé imbibées d’antiseptique Utiliser des protè protèges rampes et robinets Utiliser la mé méthode dite « vase communiquant » pour changer un flacon sans ouvrir le circuit Éloigner le point s’ s’injection du point d’ ’ insertion du KT en d ajoutant lors de la pose des prolongateurs qui resterons jusqu’ jusqu’au retrait du kt Gestion des lignes de perfusion Changement des tubulures, rampes prolongateurs de pousse seringue toutes les 96 heures ( recommandations du service hygiè hygiène du 12/01/2006 ) 5 pansement Habillage de l’opérateur L’habillage sté stérile n’ n’est pas pré préconisé conisé Port de masque Gants non sté stériles aprè après dé désinfection des mains à la SHA Toutes les 96 h ou + si non hermétique Laisser le point de piqûre toujours visible Réfection du pansement Nettoyage du site d’ d’insertion du kt puis du pourtour avec un savon antiseptique Rinç Rinçage au sé sérum physiologique Séchage Application d’ d’un antiseptique de contact Pose d’ d’un pansement type opsite ou tegaderm surveillance Infections sur KTP ¾ Surveillance du point de ponction par l’IDE qui note sur le DJ et signale: Rougeur autour du point de piqû piqûre Écoulement sé séreux ou purulent Fiè è vre inexpliqué Fi inexpliquée Ablation du KT avec mise en culture Devant la recrudescence des bactériémies au CHR le service d’hygiène hospitalière préconise depuis décembre 2006: *Pose des KTP avec des gants sté stériles aprè après un protocole bétadine en 5 temps 6 pré prévention des pneumopathies nosocomiales *Changement des tubulures et du KTP toutes les 96 heures sauf si il y a des signes d’ d’infections ou inutilité inutilité du KTP *Surveillance du point de ponction, des signes locaux d’ d’infection, rougeur, douleur, induration… induration…. Position 30° 30° du patient Soins de bouche 2 fois/é fois/équipe, vérification du ballonnet de la sonde d’intubation Mesure du ré résidu gastrique aspiration gastrique avant transport allongé allongé soins de bouche approfondi avant traché trachéotomie, réintubation programmé programmée filtre expiratoire changé changé toutes les 48, Pour le respirateur: tuyaux à usage unique, filtre inspiratoire changé changé mensuellement Manipulations hygié hygiéniques des aé aérosols, NO, humidificateur/ré humidificateur/réchauffeur 7 filtre patient changé changé toutes les 48h ou plus si necessaire Pneumopathies à PYO Résultats / Evaluation 231 germes isolés de 203 VAP 29 VAP sans germes identifiés 2000 19% 2001 46% 2002 Évaluation des pratiques professionnelles paramé paramédicales Changement du ré réseau 2003 2005 d’eau été 2004 2005 56% 68% 73% Proportion de Pyocyaniques Cocci + Pyo 61% Autres BGN 5 L’environnement du patient En 2003 les pneumopathies nosocomiales repré représentaient 12% des patients ventilé ventilés + de 2 jours En 2006 le taux est descendu à 6% grace aux diffé différentes mesures cité citées plus haut La chambre au quotidien La chambre d’ d’un patient porteur d’une infection L’eau L’air Le maté matériel L’eau 2 circuits d’ d’eau: ¾ ¾ Un circuit d’ d’eau spé spécifique pour les dialyses Un circuit d’ d’eau pour les éviers Contamination du circuit d’ d’eau par un pyocyanique avec en parallè parallèle, augmentation des pneumopathies pyocyanique Moyens mis en œuvre: ¾ ¾ ¾ ¾ Chloration massive de l’l’eau qui s’ s’est ré révélée inefficace Utilisation d’ d’eau miné minérale pour les médicaments par voie enté entérale (cause des infections à pyo) pyo) Réfection du circuit d’ d’eau concerné concerné Changement des robinets à cellules dans lesquels une petite quantité quantité d’eau stagne 8 Gestion du des appareils de dialyse Entretien des lavabos Décontaminant désinfectant Désinfection chaleur quotidienne des appareils détartrant Désinfection hebdomadaire des osmoseurs Désinfection spécifique mensuelle et changement des filtres Entretien de la chambre à la sortie du patient L’entretien de la chambre au quotidien A chaque équipe Entretien de la chambre par les AS -Tout ce que l’l’on touche Lit, petit maté matériel, sol Avec nettoyant désinfectant Trempage dans un produit décontaminant de tout le maté matériel le supportant Essuyage humide pour le reste sols et murs compris 9 Le maté matériel à usage unique étant resté resté auprè auprès du patient est jeté jeté Gestion des respirateurs zTuyaux Double dé désinfection si le patient est porteur d ’une BMR LA GESTION DES FIBROSCOPES BRONCHIQUE à usage unique zStérilisation du circuit expiratoire (portion interne de la machine) Décontamination du fibroscope L’air La dé décontamination du fifro est gé gérée par le service d’ d’endoscopie Conclusion Des questions ?? 10