Le scandale de la propagande et de la publicité indécente du vaccin

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Le scandale de la propagande et de la publicité indécente
du vaccin Gardasil
(Source : Sylve Simon)
Commentaire :
Ajoutez à cet article l'affreuse campagne québécoise : "C'est le vaccin ou la ceinture de chasteté"
Les laboratoires doivent faire preuve d’imagination pour vendre leur poison.
Aucun vaccin n’a jamais bénéficié d’une publicité aussi envahissante et indécente que le
Gardasil®. Il y a eu, certes, le scandale du vaccin de masse anti-hépatite B qui, de son temps,
a révolté une grande partie des médecins français, mais la campagne s’était limitée à
l’hexagone, aucun de nos voisins européens, ni même les Américains, n’avaient adhéré à
cette vague de folie.
Le Gardasil® est l’exemple même de l’agressivité mensongère de certains laboratoires.
Merck, fabricant du vaccin, a financé une campagne de promotion intolérable à travers le
monde, avec l’aide de lobbyistes professionnels. Aux Etats-Unis, ils ont obtenu que 80 % des
États exigent ce vaccin pour l’entrée à l’école, encouragent la vaccination dans les
campus universitaires, et que les services de l’Immigration imposent à toute jeune fille
ou femme de 11 à 26 ans, immigrée, d’apporter la preuve de sa vaccination si elle est
candidate à la résidence permanente aux États-Unis.
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Dès le 2 février 2007, le laboratoire a trouvé un complice de choix dans le déni de démocratie.
Rick Perry, gouverneur républicain du Texas, avait donné l’ordre de vacciner toutes les jeunes
filles de plus de 11 ans dans son État, au mépris des lois du Texas, des droits et de l’autorité
parentale, et de l’éthique qui concerne une maladie uniquement transmissible par le sexe. Fort
heureusement, ce politicien véreux a été attaqué par ses propres partisans, désavoué par les
officiers fédéraux et a dû abandonner ce projet.
Il est à craindre que cette tyrannie médicale qui s’est manifestée au Texas ne soit que le début
d’une bataille monumentale entre les droits des citoyens et le contrôle des gouvernements.
Un échec à tout point de vue
Toutefois, après un départ fulgurant et en dépit de ses efforts et de lacomplicité des officiers
fédéraux des États-Unis ou des pouvoirs publics européens, malgré des budgets considérables
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consacrés à la publicité, malgré le lavage de cerveau infligé à la population, le laboratoire Merck
n’a pas réussi à imposer son vaccin Gardasil® à toutes les filles de 9 à 26 ans, loin de là. Il en a
été de même au Canada et en Europe où ce vaccin, critiqué de toutes parts et qui a subi des
moratoires dans de très nombreux pays, est bien moins porteur de bénéfices que ne
l’espéraient les laboratoires. Il fallait donc le rentabiliser à tout prix.
C’est ainsi qu’au lieu d’utiliser des arguments scientifiques irrecevables, ou une publicité
éhontée qui a choqué praticiens et patients, le laboratoire a trouvé un moyen plus subtil, mais
peut-être plus efficace : convaincre les spectateurs de cinéma. Aussi, le laboratoire a-t-il
lancé une grande campagne publicitaire durant tout le mois de juin 2008, dans 26
cinémas à travers les États-Unis. Elle a débuté avec le film Sex and the city, que tout le
monde avait pu voir à la télévision en série, mais qui arrivait alors sur le grand écran. Avant
d’avoir le droit de regarder le film, les spectateurs étaient forcés de subir une avalanche
d’informations biaisées. La campagne s’adressait aux femmes de 19 à 26 ans, mais Merck
espérait toucher aussi un public plus jeune et, préparant l’avenir, il n’a pas caché qu’il
comptait également tester son vaccin sur les garçons et les jeunes hommes qui peuvent être
porteur du virus HPV. Ainsi, le vaccinGardasil® a pu se vendre au cinéma comme les sodas et
les pop-corn. Ensuite, de la même manière, on a distribué aux candidates au
vaccin des bons d’achats pour des vêtements et autres avantages en nature.
Il en a été de même au Royaume-Uni où, le 16 février 2010, le Mail on line nous apprenait que
les filles âgées de 16 à 18 ans empocheraient un bon de 45 livres si elles acceptaient de
recevoir les trois injections du vaccin, le consentement des parents n’étant pas
nécessaire.
Le même scandale a touché la Belgique. (Voir à ce sujet les articles d’Initiative Citoyenne).
En France, nous n’en sommes pas encore là, mais nos moyens publicitaires sont tout aussi
contestables. Ainsi, en automne 2008, alors que l’Institut Pasteur était à l’honneur, on pouvait
entendre sur toutes les ondes que leur dernière « découverte » était le « vaccin contre le cancer
du col de l'utérus », ce qui est un énorme mensonge car, outre le fait que l’Institut Pasteur
n’est pas le découvreur du vaccin mais seulement son distributeur, il n’existe aucun
vaccin contre les cancers. Mais cette annonce très racoleuse fut répétée tout au long de cette
journée, et elle l’est encore par certains, ce qui prouve que les laboratoires ont bien raison de
mentir puisque tout le monde les croit.
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Sur la plupart des sites Internet concernant le Gardasil®, et le Cervarix®, on retrouve sans
cesse l’insupportable affirmation qu’il s’agit de vaccins « contre le cancer du col de l’utérus »,
quand ce n’est pas « le cancer » sans autre précision.
Pourtant, l’Institut national du cancer
des États-Unis estime que la relation directe entre le virus et le cancer n’est pas du tout
prouvée, d’autant que le cancer est en général observé seulement 20 à 50 ans après
l’infection.
Quant au GRSP (groupement régional de santé publique d'Aquitaine) il a osé diffuser sur le
Webb une chanson « rap » qui répandait la peur et conseillait d’allez se faire
vacciner. Comment ose-t-on encore qualifier ce commerce de « santé publique » et comment
les patients peuvent-ils encore avoir confiance en l’industrie pharmaceutique qui agit comme
un vulgaire marchand de tapis ?
La complicité de certains politiques
Chez nous également, les hommes politiques sont loin d’être blancs comme neige. L’ancien
ministre de la santé Xavier Bertrand a tout fait pour aider la promotion de ce vaccin qui a obtenu
son AMM à une vitesse accélérée, soit en 9 mois, à la surprise des spécialistes. Avant de
quitter le ministère de la santé, et deux mois avant que la commission de la HAS ne rende son
avis, il a annoncé à l'Assemblée Nationale que le vaccin Gardasil® serait remboursé à 65 %
avant la fin du 1er semestre, car il ne voulait pas perdre de temps et attendre que la HAS (Haute
autorité de santé publique) rende son avis, considérant ce vaccin comme une « avancée
majeure de santé publique ». Leministre ayant déjà annoncé son remboursement, la Haute
autorité de santé n’avait pas le choix et ne pouvait que rendre, elle aussi, un avis favorable sur
ce vaccin, tout en admettant qu’en l’état actuel du dossier, son efficacité au-delà de 5 ans
n’était pas établie. Pourquoi notre ministre était-il si pressé ?
Il est certain que le chiffre d’affaires qui en a découlé représente une belle rente pour Merck et
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Sanofi-Aventis car 370 000 Françaises sont en âge d’être vaccinées chaque année.
Dans tous les pays, le Gardasil® a provoqué de très nombreuses attaques du corps médical,
excepté en France, où nous persistons à toujours appliquer la même tactique dépourvue de
tout esprit critique : accepter les ordres des laboratoires, inciter à une consommation massive,
prescrire à tout va, et toujours dans l’impunité totale.
Malgré ces efforts, Merck a vu son chiffre d’affaires rétrécir comme une peau de chagrin. Il
fallait donc trouver encore une autre solution, puisque les précédentes n’avaient pas été aussi
rentables que l’espérait le laboratoire. En vérité cela fait longtemps qu’il l’avait imaginée mais,
devant la déconfiture actuelle, Merck a mis les bouchées doubles.
À présent, aux États-Unis, un comité consultatif d’experts américains vient de recommander la
vaccination des jeunes garçons à partir de onze ou douze ans contre les papillomavirus
humains (HPV) sous le prétexte qu’il est « transmis sexuellement » et qu’il est donc
« responsables de maladies vénériennes dont des cancers ». C’est ainsi que le cancer devient
une maladie vénérienne.
Les recommandations du comité doivent encore être approuvées par les Centres fédéraux de
contrôle et de prévention des maladies (CDC), mais il est certain qu’ils vont les entériner,
alléguant que cette vaccination avec trois doses, déjà approuvée pour les jeunes filles par les
CDC, permettra de protéger les garçons contre certaines infections transmises sexuellement,
comme l'apparition de verrues génitales, ainsi que contre certains cancers. « Celles-ci sont
fréquentes et peuvent survenir à des âges précoces. Leur fréquence est en augmentation », a
souligné le communiqué de Sanofi Pasteur MSD qui reprenait l’information et qui a ajouté que
le « Gardasil a été reconnu efficace pour la prévention des lésions précancéreuses anales liées
au HPV », alors que la preuve n’a jamais été établie.
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