complémentarité unilatérale. La réaction du non-agir que sollicite l’occasion n’est pas constitutive ou
réelle de l’action du non-agir, c’est pour lui une simple relance.
Non-commutabilité. Un des deux principes universels de la MQ, d’origine algébrique, à cote de la
superposition. Il stipule que les produits inverses de deux « quantités physiques » ne sont pas égaux
ou commutables. Transformé ici en ordre unilatéral ou de la Dernière Instance dont il est
inséparable. Il stipule maintenant que celle-ci comme générique et la philosophie qui est son objet
et même son occasion herméneutique ne sont pas commutables ou forment une complémentarité
unilatérale.
Non-einsteinien (cf non-gödelien, non-schrödingerien, non-cohenien, etc.). Le « non » qui modalise
les noms propres assignes à une théorie ou un système de pensée est, comme le « sans », une
caractéristique du générique qui use de la science ou de son pouvoir critique sur leurs propres et
dernières prétentions philosophiques. Le « non » dit l’Un-en-Un d’Einstein, de Gödel, etc. et non pas
leur être. Il a donc une valeur négative extrêmement réduite et n’engage aucune dialectique de
contraires ou d’opposes, aucune opération d’’évidement, à la rigueur une neutralisation ou une
simplification de la transcendance pour le corpuscule passant à l’état de particule, ou encore de
négation de-dernière-instance. En toute rigueur il faudrait parler de non-négation ou de non-néantir
sans en appeler à une dialectique. Son effet est celui d’un « transfert brisé ou unilateral », la
transcendance subsiste en perdant sa forme doublet, l’immanence est ré-affirmée ou radicalisée
comme superposition. C’est l’effet général de la substitution de la superposition à l’identification ou
au doublet philosophique.
Ondulation. Notée algébriquement -1. Objet élémentaire macroscopique puis microscopique dont la
SG pout suit la connaissance particulaire sur la base du quart de cercle « imaginaire ». Sous cette
forme réduite et déduite du quart, c’est l’a priori morphologique de la « correlation » (du non-
rapport ou unilation) onde-particule. Ou encore la distance semi-extatique, semi-phénoménologique
ou unifaciale qui donne la particule comme clone du corpuscule.
Ondulatoire. 1. Adjectif ou parfois nom général pour tout ce qui concerne le phénomène et la
thématique des ondes, s’oppose alors plutôt à corpusculaire (les corps individuels ou
macroscopiques dans lesquels on inclut le concept et ses variétés). Dans le passage de cette
physique classique ou newtonienne à une conception quantique de l’ondulatoire et de la particule,
le phénomène ondulatoire obéit alors à des lois nouvelles que nous utilisons pour le vécu
(superposition et non-commutativité, nombre complexe ou imaginaire) et qui ne sont pas celles des
corpuscules mais des particules. Ondulatoire est ici employé pour l’interprétation quantique des
ondes, rarement pour leur interprétation macroscopique. 2. La MQ résorbe mathématiquement la
dualité onde/particule au profit de la particule. Nous donnons plutôt un certain privilège à
l’ondulatoire en général en le distinguant évidemment du corpuscule et partiellement de la particule
dont elle est la forme génétique. Onde et particule sont le « même » et/ou « distinctes », onde-
particule et corpuscule également mais cette fois à une apparence objective près. L’ondulatoire est
aussi particulaire mais pas à la manière classique, l’ondulation n’est que la forme même de la
particule (pas sa matière) comme s’il y avait superposition et non-commutativité de l’onde et de la
particule. Le résultat est la dualité unilatérale de l’ondulation « comme » particulaire. L’onde est un
phénomène d’immanence radicale par superposition, la particule est l’excès de transcendance
« simple » mais bifaciale, achevée sans être fermée, sur l’immanence qu’elle est aussi. On distingue